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 For the good of Mankind.
Ethan Murphy
Femme à tout faire & mascotte
Ethan Murphy
Survival Coins : 69
Age : 29
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Fiche perso
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For the good of Mankind.    
Lun 14 Sep - 10:41
      Le jour peinait à te réveiller, tu restais engourdi par le froid et cette sensation qui te faisait croire que tout ceci n’était qu’un rêve. Pourtant, tu étais bien lucide, choisissant toujours ta survie plutôt que celle des autres. Ta philosophie était de te dire que, comme tu comptais survivre jusqu’à la fin, et les autres pas forcément, autant prendre leur vie puisqu’elle avait moins de valeur que la tienne.
 
      En parlant de ces « autres » dont la route avait croisé la tienne, ils devaient être sept au maximum. Deux dans les premières semaines hors de ton appartement, Maria et sa sœur Lisa. Deux gamines faciles à manipuler, Maria croyait dur comme fer en l’humanité et Lisa, la plus méfiante avait été mordue. Tu as convaincu les deux filles d’aller sur un toit, pour plus de sécurité, et tu as balancé la plus jeune du haut de l’immeuble. Sa sœur, horrifiée, et toi avez regardé la chute et l’horrible bruit sourd d’un corps qui s’écrase cinquante mètres plus bas. Elles n’ont pas hurlé, Lisa te fixant de ses grands yeux, tu ne demandais pas si son regard fiévreux te remerciait ou te maudissait, tu t’en fichais. La grande sœur, une blonde ni jolie ni laide s’accrochait à la rambarde, les yeux exorbités. On aurait dit qu’elle allait se jeter par-dessus bord elle aussi. Mais non, elle s’est éloignée et à sangloté dans son coin. Tu l’as laissée en plan, prostrée ainsi, elle ne te serait pas utile.
 
      Ensuite, pendant que tu cherchais à quitter la ville, tu as croisé le chemin d’un groupe de militaires dissidents. Ils avaient quittés l’armée qui tirait sur les civils, et aidaient un maximum de gens. Ils étaient trois, et patrouillaient dans le quartier en quête de gens à secourir. Le reste du groupe, que tu n’as jamais vu, était caché dans une base secrète. Deux jours durant, vous n’avez croisé que des cadavres bien morts ou un peu trop vivants à ton goût. Tu parlais peu, agissais vite. D’un tour de main, tu les as convaincus de t’emmener vers le barrage militaire. Il était assaillit par les zombies, attirés par les crépitements des balles et les hurlements de détresse des civils qui tombaient sous les coups de leurs défenseurs. Ces trois-là ont tentés de sauver les gens menacés par les hordes de morts-vivants. Toi… non. Tu as ignoré leurs appels  l’aide et même la supplique du meneur qui t’enjoignait d’aller porter le message de leur mort au groupe.
 
     La dernière personne que tu as croisée, longtemps après Maria et Lisa, longtemps après les militaires était une jeune fille. Elle était assise sur un pan de mur en béton, dos à la ville et les jambes dans le vide. Elle semblait à la fois si frêle et si forte, qui tu as tout de suite décrété qu’elle ferait un appât merveilleux. Tu as donc attendu qu’elle fasse un signe dans ta direction, mais elle semblait absorbée par sa rêverie. Pourtant, tu savais qu’elle t’avais vu, puisque son corps s’était tendu dès ton arrivée. Après un moment, ta patience s’est effondrée comme un château de carte, tu as fait un pas en avant, signifiant que le moment d’observation était fini. Son visage s’est tourné vers toi avec douceur, elle était jeune, bien trop jeune pour finir dans ton lit, ou quoique ce soit qui puisse te servir de lit… Ta gestuelle exprimait ton assurance, tu étais certain que tu pourrais la manipuler à ta guise.
 
ETHAN : Salut, j’suis Ethan. Qu’est-ce que tu fais là ?
 

     Tu adopte un ton mielleux et bas, totalement éloigné de son ton cinglant habituel. D’un geste, tu englobe la ville et ses environs, pour lui signifier que tu te fichais de savoir pourquoi diable était-elle dans la zone infectée. Elle y était, tout comme toi, fin de l’histoire. En revanche, avoir assez d’assurance pour se poster à la vue de tous là-haut, ça t’impressionnait un peu. 
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Re: For the good of Mankind.    
Mer 16 Sep - 18:48
              Alice savait qu’elle ne s’en sortirait pas, elle était trop peu sûre d’elle, trop peu débrouillarde. Trop gentille aussi. Elle vagabondait en évitant les zombies, elle ne supportait pas de tuer ce qui autrefois avait été humain. Son esprit se déchirait entre la peur et la volonté de survire. Elle n’y arrivait pas, concevoir ce nouveau monde, l’apprivoiser. La jeune fille brune avait même imaginé se suicider. Mais quelque chose comme l’espoir la faisait vivre.
 
              Après une ou deux semaines en solitaire, plus par défaut que par choix, elle avait croisé la route d’un petit groupe de survivants. Elle tentait de se protéger du froid en entrant dans une maison, quand un bruit lui fit tourner la tête. Une jeune femme avait glissé sa tête hors de la porte d’entrée de la maison voisine et la regardait avec de grands yeux inquiets. Alice cru comprendre dans son regard qu’on ne voulait pas d’elle dans le coin et tourne les talons. Mais la femme se met à chuchoter très vite « Attendez ! Hum... Vous n’avez pas l’air d’avoir été mordue, venez vite vous abriter ! »
 
              Ainsi dit, ainsi fait, Alice s’engouffre dans la maison alors que la porte se referme. Il y fait tiède, et elle sent une odeur douce de cannelle. La jeune femme la dépasse, à présent elle sourit de toutes ses dents. D’un geste elle fait signe à Alice de la suivre dans le salon, avant d’avoir au préalablement demandé à la brune de quitter ses chaussures de marche. Dans la pièce, une fille d’une dizaine d’années joue silencieusement avec sa copie conforme en plus jeune.
 
« Voici Iris, la grande, et sa sœur Rose. Je suis Eva, leur maman. Tout en parlant, elle se rapproche d’un homme qui enlace sa taille. Mon mari Charles, que tout le monde appelle Charlie. Dan n’est pas encore là, il est un peu grincheux mais très gentil ! Et toi, ma belle, qui es-tu ? »
 
              Alice assimile les informations avec un brin de jalousie. Voici une famille heureuse et réunie. Elle laisse une petite minute s’écouler avant de se présenter à son tour.
 
« Bon… bonjour, je suis Alice. J’étais à l’hôpital quand… quand… soudainement, elle fond en larmes retenues depuis trop de jours, Eva se précipite à sa rencontre et la serre.
- Ce n’est rien… la… Ne t’inquiète pas, tu es en sécurité avec nous, tu peux rester ici… »
 
              Quand plus tard, le dénommé Dan est rentré, il a râlé un peu, mais finalement, après quelques expéditions hors de la maison, il s’est aperçu qu’Alice avait un don pour le bricolage et elle avait vu plus de zombies que lui. Eva restait à la maison avec ses filles, Charlie, Dan et Alice –et ce malgré la tentative d’Eva de la garder en sécurité- allaient chercher en ville de la nourriture et de quoi subsister. Sans en toucher un mot à la famille, Alice et Dan sentaient que cette situation pourtant idyllique ne pouvait pas durer.
 
              La nourriture consommable se raréfiait, et d’autres groupes de survivants plus violents s’opposaient au partage. Quand Charlie fut blessé par un jet de pierre, le groupe décida unanimement d’aller se procurer des victuailles plus loin en ville, quitte à dormir dehors. Mais les allées et venues du groupe finirent par attirer des vivants, qui convoitaient le logis accueillant.
 
              Après une grande semaine d’un confort luxueux, Alice et son groupe se retrouvaient à nouveau sur les routes. Charlie et Eva avaient confiance en elle, et son jugement par rapport aux zombies. Cela paniquait la jeune fille, une telle responsabilité… Mais par chance, Dan était fait d’un bois dur, il commençait à se rôder. Le jeune homme était certes un brin difficile d’accès, mais au fil du temps, Alice s’en rapprochait. Il n’était pas aussi froid qu’il le laissait à penser, et quand ils partaient plus tôt le matin pour vérifier si le groupe pouvait se déplacer sans danger, lui et la brune pouvaient discuter et échanger.
 
              Alice, Dan et Charlie étaient persuadés que l’endroit le plus sécuritaire serait hors de la ville, dans la campagne environnante. Alice pensait aussi y retrouver sa famille. Pendant deux semaines, la grande famille fit le tour de la ville, cherchant un endroit où la milice ne tirait pas sur les civils et où ils pourraient escalader les barricades de béton. Mais, alors qu’ils avaient trouvé l’endroit parfait, et qu’Eva aidait Rose et Charlie son autre fille, Dan et Alice surveillaient les alentours. Les deux adolescents avaient repérés les zombies qui avançaient vers eux alors même que les adultes s’occupaient encore de leur progéniture. Charlie aidait à présent Eva à grimper, il était resté au sol. Alice serait au contact des zombies dans cinq secondes, juste assez pour pousser Dan vers l’homme, lui ordonnant d’aller l’aider.
 
« Je vous rejoins de l’autre côté ! Allez-y ! »
 
              Elle engage le combat contre la horde, le peur au ventre. En perdant du terrain, elle s’assure que Dan est monté, attrapé de force par Charlie, avant de détaler. Dans sa fuite, en longeant les murs, elle tombe sur un autre groupe de zombies. Mordue au flanc, Alice réussit à fuir, alors même qu’elle est condamnée.
 
              Elle grimpe sur une barricade de béton criblée de balles. Tandis qu’elle songe, un étranger arrive. Un instant, son cœur s’affole de savoir qu’il pourrait être Dan, qu’il puisse la voir ainsi. Pourtant, ce n’est pas lui. Il s’impatiente et coupe le silence en paroles vaines. Il grimpe à ses côtés alors qu’elle lui donne son nom.
 
« Je m’appelle Alice. Je... J’attends. »
 
N’ayant pas envie d’en ajouter plus, elle laisse à l’homme le temps de poser une autre question. Il ne le fait pas, alors elle reprend.
 

« Qu’est-ce que tu cherches ? Je… je ne pourrais pas t’aider… et elle lui montre la plaie. Je crois que je vais bientôt mourir. »
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Re: For the good of Mankind.    
Lun 21 Sep - 14:35
Alice était brune, Alice savait où elle allait, Alice n’était pas une gamine. Définitivement par l’héroïne de Lewis Carol. Tu réprime un soupir de colère quand elle te montre sa blessure, faite par un zombie, tu en donnerais ta main à couper ! Tu as été imprudent sur ce coup, risquant d'être à ton tour blessé ! Tu savais que les humains, quand ils étaient désespérés, pouvaient avoir un comportement dangereux. Même si tu voyais bien que celle-là commençait déjà à transpirer et haleter, sans doute n'aurais-tu aucun mal à la pousser dans le vide. Ainsi donc, elle ne te sera d'aucune utilité… à moins que… Tu t’assois à côté d’elle, essayant de ne pas avoir l’air trop dégoûté par la plaie.
 
ETHAN : Je cherche quelqu’un avec qui faire un bout de route… Une famille quoi…
 
              Tu tires la corde des sentiments, certain qu’elle peut t’aider à trouver ton bonheur. Car oui, tu veux un groupe. Qui peut te protéger et servir d’appât s’il le faut. La jeune fille relève la tête, comme si la notion de famille lui avait fait courir mille volts dans le corps. Tu souris, la mettant en situation de confiance. Elle plante ses yeux dans les tiens et t’affirme connaître un groupe, elle te montre la direction.
 
              Alors que tu t’élance vers le sol pour aller les retrouver, tu te fais la réflexion qu’il ne faut pas laisser un futur zombie dans la nature. Elle risquerait de te sauter à la gorge plus tard. Tu lèves la tête vers elle, souriant et lui balance une réplique digne de Sœur Marie-Thérèse.
 
ETHAN : Tu devrais venir avec moi… tu ne veux pas leur dire un truc ? Je t’aiderais à… partir… si tu veux...
 
              Tu inclues de fausses hésitations dans ta voix, et ça marche. Ta gentillesse apparente de donne un haut-le-coeur que tu cache en sautant au sol avec précaution. Après un instant de doute, la jeune fille se laisse tomber à côté de toi, et prend la tête de la marche. Quand tu crois entendre le crissement de pas sur le sol, tu lui éclate la tête avec ton pied de biche, son corps s'éffondre comme une poupée désarticulée. Un instant tu t'appuie contre un arbre, la main sur la bouche pour couvrir ta nausée. Puis comme si l'instant de faiblesse d'avant n'avait pas existé tu pousse le corps hors de la vue de quiconque. Elle avait la tête dure, tu te masse le poignet en grimaçant. 
 
              Un gamin arrive, du genre baraqué et pas de bonne humeur. Un adolescent quoi, donc une masse de problèmes en vue. Il te regarde, puis son regard coule vers la barre de fer. Tiens, Ethan, tu as oublié un petit détail… Il gronde, cherche autour de toi le zombie qui aurait perdu aussi fraîchement la vie… enfin la mort…
 
Dan: Tu connais pas une certaine Alice ? Brune, avec des tresses. Du genre... naïve.
 
              Tu ne dis rien, il module sa voix de façon à ce que tu comprenne qu'il te menace. Et que la douceur de sa voix indique que cette Alice n'était pas qu'une survivante pour lui. De toute façon il te dépasse et va jeter un œil à l’endroit où tu as laissé sa petite copine. Tu profites du fait qu’il ait le dos tourné pour te barrer en courant, l’entendant à peine gémir de douleur. Par contre, tu ne l’entends pas promettre de te tuer.

    
               De nouveau sur la route, tu désespère de trouver un groupe pas chiant.
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