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Joyeuses fêtes à tous !
Tout le Staff vous souhaite de très joyeuses fêtes ! Manger comme des gros, buvez avec modération (hinhinhin) et faîtes des bisous à votre tante sexy pour nous ! <3
Breathe in, breathe out. {pv. Josh, début mai} Jeu 3 Mar - 1:26
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Le soleil commençait à descendre, baignant la rue d’une lueur orangée. La nuit n’allait pas tarder à tomber et Rosa perdrait l’avantage de voir ce qui se passait autours d’elle. Un de ses rares avantages. Elle prit une longue inspiration, suivit d’une expiration rapide. C’était une des seules choses qui la calmait quand Raylee n’était pas dans les environs. La jeune blonde essuya rapidement ses yeux, rendus humides à la pensée de son frère. Il allait tellement paniquer quand il reviendrait la ou il lui avait dit de rester ! Rosa sentit un sentiment de culpabilité lui serrer douloureusement le cœur. Elle n’avait pas fait exprès de partir si loin et elle ne voulait vraiment pas le faire s’inquiéter, mais elle avait pris peur. Elle avait vu un survivant chercher les bâtiments proches de là où elle se planquait et son instinct de survie avait pris le dessus quand elle l’avais vu sortir un pistolet. Elle avait courut, simplement. Aussi vite et silencieusement qu’elle le pouvait. Elle s’était glissée dans des passages étroits, pour mettre des obstacles entre elle et l’inconnu. Résultat ? Maintenant qu’elle était relativement calme et que son esprit ne lui hurlait plus de fuir, elle réalisait qu’elle était totalement perdue. Et si elle était perdue, ça voulait dire que Ray ne la trouverait pas. La peur remplaça la culpabilité dans son petit cœur d’adolescente. Elle n’était pas apte à survivre seule, de ça Rosa était parfaitement consciente. Oui elle était rapide, oui elle était agile. Petite aussi, elle trouvait facilement des cachettes dans lesquelles se glisser. Le problème était qu’une fois cachée, ou une fois avoir courut loin du danger, la faim l’attendrait. Et ça, Rosa n’était pas équipée pour y survivre, elle avait seulement deux petites de conserves de nourriture dans les poches de sa veste de cuir. Elle mourrait de faim dans sa petite cachette, ou peut-être de soif. Et si elle tombait malade ? Elle avait bien quelques médicaments dans les poches de ses jeans, mais uniquement un truc pour les infections et un pour la douleur.
Inspiration, expiration. Rosalyn ne pouvait pas se permettre de laisser la peur s’emparer d’elle comme ça. Ce n’était pas vraiment le fil de pensée le plus utile pour le moment. Inspiration, expiration. Rosa ferma ses yeux une petite seconde, se concentrant pour mettre la peur et l’anxiété de côté. Quand elle les rouvrit, elle était calme. Enfin, aussi calme qu’elle pouvait l’être. Elle jeta un regard circulaire autours d’elle, tâchant de voir si le quartier lui était familier. Malheureusement, c’était une rue résidentielle comme toutes les autres. Rosa refusa néanmoins de se laisser décourager, pas quand son frère devait se faire un sang d’encre pour elle. Un autre regard prudent sur les alentours, celui-ci pour voir si un zombie s’était aventuré dans le coin pendant qu’elle avait la tête ailleurs, et elle reprit son chemin. Lentement, cette fois. Attentive au moindre détail qui pourrait l’aider à s’orienter. Et là, à moitié caché dans l’ombre, un objet attira son regard. Ce n’était pas quelque chose qui serait utile pour se repérer, ça c’était clair. En plus, l’objet était beaucoup trop près de la porte défoncée d’une maison. Qui sait quelles choses pouvaient se cacher dans cette maison sans lumière, hm ? Surement rien de bien positif, mais soyons honnête. Entre la prudence et la curiosité, ce sera toujours la curiosité qui sera vainqueur. Enfin, pour Rosalyn. Une autre raison pourquoi elle ne devrait pas être seule, laissée à elle-même dans un monde trop dangereux pour elle. Enfin. Une dernière hésitation pour la forme, un petit mordillement de lèvre, et Rosa avançait doucement vers l’objet. Une sorte de bâton. Curieuse, elle tendit la main pour le prendre et mieux l’observer. Sa main venait à peine de se refermer sur le bâton qu’elle aperçut du mouvement dans les ombres de la fenêtre de la maison, visibles dans l’encadrement de porte. Une ombre se déplaçait lentement et péniblement. Rosa recula lentement, sans lâcher le bâton et sans quitter l’entrée du regard. Elle recula longtemps, jusqu’à être de l’autre côté de la rue, et n’arrêtant qu’en sentant une surface derrière elle. Une surface bien différente de ce à quoi elle s’attendait. Chaude au lieu de froide. Loin d’être aussi dure qu’un mur. Elle sentit le sang fuir son visage, la laissant blême comme un drap. Lentement, comme si un geste brusque allait déclencher un plus grand malheur, elle tourna la tête pour voir derrière elle. Puis leva la tête. L’homme, bien vivant heureusement, était bien plus grand qu’elle. Pas que ce soit rare, vu la petite taille de Rosa. Et vu le peu de douleur dans son cou, il était moins grand que Ray.
Rosa regarda l’homme de ses grands yeux verts, et s’éloigna de lui en vitesse tout en se retournant pour le regarder. Ses mains s’étaient levée automatique, ce fameux ‘’Je me rends!’’ universel. Tout en s’éloignant de lui, elle jetait de temps à autre un regard de la maison pour ne pas trop s’approcher. Qu’est-ce qui était préférable ? L’homme inconnu et probablement sur le point de lui voler ses médicaments et sa nourriture, ou ce qui était surement un zombie qui pouvais sortir et la dévorée à tout moment ? L’homme la laisserait vivre au moins, à moins d’être un monstre. Elle quitta la maison du regard et regarde l’inconnu de son meilleur regard suppliant, celui qui fonctionnait toujours sur Ray.
Re: Breathe in, breathe out. {pv. Josh, début mai} Ven 4 Mar - 18:51
Breath in, breath out
Rosalyn & Josh
Bruce et sa gueule de bois. Il me désespère. Est-ce qu'il est vraiment flic ? Je me le demande des fois, surtout maintenant, quand je le vois grogner, à moitié en boule et enroulé dans une couette qu'il refuse de quitter pour le reste de sa vie, comme il dit. Je râle et je lui hurle dans les oreilles juste pour l'agacer, parce qu'il a encore trop bu pendant que je dormais tranquillement, sans me douter de rien. Sans déconner celui-là, faut pas le lâcher d'une semelle. Puisque c'est ça, je décide de l'abandonner et d'aller faire un tour. Je ne vais pas me tourner les pouces dans cet appart' tout moisi pendant que môssieur décuve ! Alors je jette mon sac sur mon dos et mon fusil sur mon épaule, et me voilà partit pour une aventure en solitaire. Je ne suis même pas sûr que Bruce ai capté que je m'en vais, mais je m'en fiche. Il s'inquiétera quand il commencera à revenir à la réalité de ce triste monde.
Triste en effet, parce que quand j'arrive enfin dehors, même si le temps est clément et me donne envie d'aller traîner sur la plage, la rue n'a rien d'un paysage touristique. Cette ville tombe en ruines, et j'ai l'impression que c'est de pire en pire. Pourtant je ne me laisse pas abattre. J'allume une cigarette et je décide de faire un tour du quartier tranquillement, histoire de me dégourdir les jambes en espérant ne pas croiser trop de mort-vivants.
Mes prières sont entendues, je crois, parce quand je fouille rapidement le rez-de-chaussée d'un immeuble rien ni personne ne me saute dessus. Néanmoins, je ne trouve rien de très utile non plus, à part une petite bouteille d'eau que j'ouvre aussitôt pour avaler quelques gorgées. Ca commence à manquer, ce précieux liquide. Ca ça craint, parce qu'il va faire de plus en plus chaud, et je commence sérieusement à me tire qu'il va devenir urgent de trouver un moyen de se casser de cette ville pourrie - dans tous les sens du terme. Mais comme je remarque par la fenêtre de l'appart' que je visite que le soleil commence à décliner, je décide qu'il est temps de rentrer. Je glisse la bouteille d'eau dans mon sac, parce que ça ne fera pas de mal à Bruce après sa beuverie de la veille, et je quitte l'immeuble illico presto. Enfin moyen presto, parce que j'ai pas fait trois pas dans la rue que je m'immobilise aussitôt. Qu'est ce qu'elle fout ?!
Il y a une petite blonde qui marche à reculons en brandissant un espèce de petit bâton. Je la regarde faire en silence, fasciné par cette curiosité sortie de nul part, et je ne bouge pas d'un cil en remarquant qu'elle se dirige tout droit vers moi. Il faut qu'elle me rentre dedans pour enfin remarquer ma présence, et sa réaction de surprise me fait hausser un sourcil. Sérieusement ? Elle ne m'avait pas vu avant ? J'aurais presque pu ricaner si elle n'avait pas pris cette air terrifié qui m'oblige à la calmer avant tout. "Eh du calme. Je vais rien te faire. Je me demandais juste ce que tu fabriquais au milieu de la rue. C'était un peu étrange." Je finis quand même par me moquer gentillement avec un sourire en coin, et puis d'un mouvement de tête je l'interroge, en oubliant un peu Bruce pendant un instant. "Alors, tu m'expliques ?" Après tout ça n'est pas tous les jours qu'on croise des survivants encore sains d'esprit dans cette ville, alors même si la petite blonde a l'air jeune, j'en profite un peu pour lui faire la conversation. Peut-être qu'elle appartient à un groupe après tout ? L'espoir fait vivre !
Invité Invité
Re: Breathe in, breathe out. {pv. Josh, début mai} Mar 5 Avr - 20:50
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Rosa se sentit un peu ridicule vu le manque de réaction de l’homme. Un simple haussement de sourcil, sérieusement ? Au moins il ne semblait pas vraiment intéressé par les maigres ressources que la jeune blonde avait, c’était un début. Il lui adressa un petit sourire en coin en lui donnant des paroles rassurantes et en se permettant un commentaire sur sa présence dans la rue. Elle se détendit un peu mais se força à se souvenir que de simples paroles ne suffisaient pas à prouver que cet inconnu ne lui ferait rien. Les gens mentent tout le temps, après tout. Rosa mordit l’intérieur de sa joue en observant l’homme et soupira mentalement. Elle ne perdait rien à lui parler, non ?
« Je suis perdue.. Et il y a un truc qui bouge dans cette maison. »
Elle pointa du doigt la fameuse maison à la porte brisée et regarda en frissonnant l’ombre se déplacer encore. Un bref regard au bâton qu’elle avait ramassé par terre lui appris que non, ce n’étais pas une arme utile contre les morts. Un bâton de majorette, c’était bien sa chance ça… Rosa le fit tourner dans sa main en se demandant si elle ne ferait pas mieux de le jeter au sol. Un moment plus tard, elle le coinçait dans une ganse de son jean. C’est pas comme si elle avait une ceinture de toute façon, il y avait donc bien assez de place pour le bâton. Chose faite, Rosalyn reporta son regard sur l’inconnu et fit la moue. Toujours dire ‘’L’inconnu’’ ou ‘’L’homme’’ dans sa tête ça l’agaçait royalement. Elle voulait connaître son nom, ce qui voulait dire se présenter elle aussi. Méfiance ou pas, Rosa restait une jeune fille bien éduquée et toujours polie.
« Mon nom c’est Rosalyn. Et toi, qui es-tu ? »
Si l’homme lui répondit, la jeune adolescente ne lui porta aucune attention. Et pour une bonne raison ! À peine avait-elle terminé de poser sa question qu’elle entendit un grognement affamé venant de la maison derrière elle. Rosa se tourna lentement vers le trou béant et sombre qui était avant une porte et pâlit en voyant l’énorme mort-vivant qui y apparaissait. Manifestement, le peu de paroles échangées avaient été suffisantes pour attirer l’attention de cet estomac sur jambes. Par pur instinct de survie, la jeune blonde fila se planquer derrière l’inconnu. Il n’avait pas l’air trop méchant et honnêtement, entre lui et un cannibale décédé le choix était vite fait.
« Hum... Tu as une arme j’espère ? »
Depuis la sécurité relative qu’offrait sa position derrière l’homme, Rosa observa le zombie. Il était vraiment énorme, plus grand que Ray même. Il devait atteindre le deux mètres de haut, facilement. Avant de mourir il avait dut être très costaud comme type, mais maintenant tout ce qu’il évoquait à Rosa c’est un énorme panneau ‘’DANGER’’.
« Écoute, prend le pas personnel mais je vais te le laisser. J’ai aucune compétence de combat. »
Sans un mot de plus, la jeune fille grimpa sur un poteau électrique dans lequel il n’y avait plus de courant. À peine deux minutes plus tard, elle était assise tout en haut et regardait la scène qui se déroulait dans la rue. C’est ce qu’elle faisait normalement quand elle était avec Ray, se mettre en sûreté et le laisser s’occuper de la menace. Mais ce type qu’elle venait d’abandonner en bas n’était pas son grand frère tout-puissant. Elle ignorait tout de lui, y compris si il était bon en combat contre les morts. C’était donc avec un malaise grandissant qu’elle regardait l’homme, espérant ne pas l’avoir condamné à mort.
Re: Breathe in, breathe out. {pv. Josh, début mai} Dim 17 Avr - 16:56
Breath in, breath out
Rosalyn & Josh
La petite a l'air un peu inquiète, mais c'est tout légitime. Je ne vais pas lui en vouloir de se méfier des inconnus croisés dans la rue, même si je suis loin d'être aussi con que certaines de mes précédentes rencontres. Et puis depuis que je me suis débarassé de mon uniforme, je ne risque pas de me faire taper dessus pour la simple et mauvaise raison que je suis un militaire. Alors je ne vois pas le mal à discuter tranquillement avec la petite blonde un instant. Quand elle m'apprend qu'elle est perdu, je lui adresse un mouvement de tête compatissant. Combien de fois j'ai tourné et retourné dans cette ville de l'enfer sans savoir où aller ? De nombreuses, ou plutôt très nombreuses fois. Je ne suis même pas encore sûr de pouvoir m'orienter correctement après tout ce temps passé au milieu des rues désertes. Avec Bruce, on marche un peu au hasard et on regrette fortement San Fransisco. Néanmoins je n'y pense pas trop, parce que la petite me met aussi en garde en me désignant une maison apparemment hantée par un de ces monstres. "Ah oui ?" Je fronce les sourcils en suivant la direction pointée par son index et j'observe la dite maison avec un air soucieux.
Je n'aperçois pas de suite la menace, mais je décide de la croire sur parole lorsqu'elle m'interpelle à nouveau. Mon regard se pose à nouveau sur elle, et je ne me pose pas vraiment de question lorsqu'elle me demande mon nom. "Moi c'est Joshua." Je lui révèle avec un sourire, parce que ça fait plaisir de croiser des gens qui savent encore être sympas de temps en temps dans cette ville. Mais j'ai à peine répondu qu'elle se dépêche de me contourner. Je la suis du regard sans comprendre sur le coup, mais quand le grognement du trottoire d'en face me parvient, je comprends vite. Rosalyn s'inquiète aussitôt et m'interroge sur mon arme. J'attrape le fusil à pompe que je promène sur mon épaule et je lui montre avec un sourire. "T'inquiète pas, laisse faire les pros." Bruce aurait probablement ricané s'il avait été là, mais il est trop occupé à décuver pour m'empêcher de frimer un peu, alors j'en profite. Pourtant, la petite blonde ne semble pas beaucoup rassurée et s'excuse de ne pas prendre part au combat qui s'annonce - si on peut appeler ça comme ça.
Je hausse les épaules. C'est vrai que je ne lui ai pas révélé mon petit secret de soldat, mais un zombie isolé est loin de me faire peur, peu importe sa taille. Ils sont si mou de la cervelle que c'est presque déloyal de se la jouer à un contre un. Et puis des adversaires qui font deux têtes de plus que moi, j'en ai déjà eu à mettre par terre. C'est donc confiant que je m'apprête à marcher vers le pauvre zombie affamé, mais l'escalade de Rosalyn m'interpelle. C'est qu'elle est douée la petite ! En un instant, elle se retrouve perchée à m'observer avec son petit air désolé. "Eh t'es douée dis donc !" Je ne m'inquiète pas du zombie qui arrive dans mon dos, parce que c'est plutôt classe de savoir escalader les lampadaires comme ça, bien que t'ai probablement l'air con si une horde s'attroupe en dessous et que tu es coincé après. Je ricane mentalement en imaginant la scène, et puis comme le cannibal n'est plus très loin, je daigne finalement me tourner vers lui.
[Lancer de dé: 14+10=24 (réussite totale)]
Il a beau être grand, son infection ne date probablement pas d'hier. L'odeur qu'il dégage est plutôt nauséabonde et j'essaye de ne pas trop respirer cette odeur de pourriture qui me retourne l'estomac à la moindre inspiration. Je préfère en finir rapidement, et comme le zombie se dirige tout droit vers moi en faisant claquer sa machoîre comme s'il mordillait déjà dans mon bras, je profite de son élan pour le mettre par terre sans lui laisser le temps de m'aggriper. Le seul vrai avantage de ce virus, c'est que les gestes de combat deviennent tout de suite plus faciles lorsque la résistance au corps-à-corps est si faible. A part s'agripper à moi pour me croquer par tous les moyens, ce pauvre zombie ne réfléchit pas à ses mouvements. Il rencontre violemment le sol parce que je ne prends même pas la peine de l'y accompagner doucement dans mon geste. Je prends garde à ce qu'il ne m'attrape pas par la cheville et je lui colle aussitôt un coup de crosse dans la tête jusqu'à ce qu'il ne bouge plus du tout. Exploser la cervelle, il n'y a que ça de vrai. Le spectacle ne me réjouit pas vraiment et je grimace alors que le crâne cède enfin et que le monstre cesse de s'agiter. J'essuie brièvement mon pauvre fusil tâché sur la veste du cadavre et je retourne tranquillement sous le perchoir de Rosalyn après avoir jeté un bref coup d'oeil aux alentours. Je n'ai pas tiré pour ne pas attirer d'autres zombies, mais ça ne veut pas dire que celui-ci se baladait forcément seul. "Alors, la vue est belle ?" Je l'interroge avec un air un peu moqueur, mais je comprends comme ça doit être difficile de survivre dans ce merdier pour elle. Pendant un instant, j'ai presque envie de lui proposer de venir avec moi et Bruce, puisque c'est pour protéger les citoyens que nous sommes venus dans cette ville de malheur, mais je me rappelle soudainement qu'elle disait être perdue. Alors je lui laisse le temps de descendre, et puis je l'interroge. "Tu sais, je suis pas du coin mais si tu es perdue je peux peut-être essayer de t'aider ? Tu veux aller où ?" Ce con de Bruce aura qu'à m'attendre si je ne suis pas rentré à temps pour la nuit. Et s'il n'est pas content, il aura sa bonne vieille bouteille pour lui tenir compagnie. D'un autre côté, j'ai peut-être donné un peu trop d'espoir à la pauvre Rosalyn, parce qu'en vérité, j'espère qu'elle ne cherche pas une adresse bien particulière sous peine d'avoir l'air bien con.
Dernière édition par Joshua Atherton le Dim 17 Avr - 23:37, édité 1 fois