Bien apparemment, j'étais tombé sur "un bon bougre", le genre de type à se faire baiser par n'importe quel homme déterminé ; déterminé et dangereux tel que Jack. Il le regardait de haut Alors que sa petite famille était effrayée par ces récents événement.

Des armes, se demandait Jack, pourquoi pas? ça lui permettrait de s'équiper, de mieux s'en sortir que les autres et peut-être même de s'amuser un peu. Il se demandait quel genre d'arme l'attendait là-bas. ça lui arrivait souvent de foncer sans réfléchir, c'était là l'un de ses nombreux défauts.

Jack arriva dans le hall d'entrer de l'hôtel en essayant de passer inaperçus (Du genre avec une petite poubelle sur la tête par exemple) Il pensait être super bien camouflé pourtant !

Petit coup d'oeil à droite, petit coup d'oeil à gauche. Première impression? Il était pas mal du tout cet Hotel! il aurait sans doute ramené deux trois nana si elles ne s'étaient pas toute transformés en pseudo zombie. Peut être qu'il devrait tenter sa chance avec un zombie.

Il ne fallait pas qu'il se détourne de sa mission! Mais bon il avait le temps et puis qu'est-ce qu'on aurait à foutre que cette petite famille meurt entre temps? Se serait peut-être même mieux. Vous en pensez quoi ?  il s'en foutait aussi. Il alla regarder derrière le comptoir voir s'il n'y avait pas deux trois objets intéressent.

Rien d'utile...

Malheureusement pour toi, le comptoire n'a rien a offrir. La caisse a déjà été forcée, et même le petit panier à bonbon pour les enfants a été vidé... Pas de chance !!

Le calme de la pièce n'est perturbé que par le bruit de tes pas.... Mais, si on tends bien l'oreille, un bruit louche provient du comptoire de service de bagagerie un peu plus loin... N'est ce pas la douce mélodie d'une mastication enjouée d'un zombie en plein festin d'intestins que l'on entend ?? Tu devrais peut-être garder tes distances, non ?

Aucun autre danger ne semble se signaler sinon... Les quelques cadavres en putréfaction (ew...!) qui traînent encore dans la grande pièce ne réagissent pas à ton passage... Ils ont l'air bel et bien morts.... ouf ! S'offre donc à toi le choix de trois portes : une à droite, une à gauche et une au milieu. Am...stam...gram... Laquelle choisiras tu pour continuer ton chemin ?

Quoi que tu fasses, ne te fatigue donc pas à appuyer sur le bouton de l'ascenseur comme un fou furieux, il n'y a plus d'électricité depuis plusieurs jours dans la ville, tu n'as toujours pas remarqué ?! Allons, il va falloir être sportif et passer par les escaliers...en espérant que la voie sera libre... !

Il n'y avait rien pour lui, pas le moindre objet utile pas le moindre Bonbon (une larme coula sur son visage en se rappelant à quel point il aimait les bonbons). Jack n'avait pas encore remarqué le mort vivant se nourrir, jusqu'à ce qu'il l'entende mâchouiller. Bon, ben c'était l'heure de la pause casse noisette! Le bourreau enfila son poing américain qu'il avait sortis de son sac à dos. Il se rapprochait lentement vers la bête. C'était peut être cette chose qui avait volé les bonbons! l'ordure! il fallait lui montrer qu'on ne rigolait pas. Vengeons les Bonbons...!

En vérité, voir ce zombie se nourrir impunément de cet âme perdu le mit hors de lui. Il se rappelait le museau ensanglanté de Krauzy (son carlin), ses yeux auparavant qui brillait s'éteindre à petit feu alors que la bête se satisfaisait de ce petit être inoffensive. Il était l'heure pour chacun d'entre eux de crever, de souffrir de mourir encore; une fois de plus.

Il n'avait pourtant rien ressentis lorsque Krauzy rendu l'âme. Jack n'avait même pas prit la peine de l'enterrer, de dire les bénédicité. L'âme du carlin était peut être là errant dans la ville à la recherche de son maître n'attendant qu'une chose. La Paix éternel.
Parmi tous les êtres vivant, Krauzy était le plus pure, le plus gentil... Si il n'était pas faible il ne serait pas mort, il serait là encore, à ses côtés.

Jack serrait le poing et bondit sur le zombie pour essayer de lui fendre le crâne en un coup.

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'Dé de Réussite' : 20

Son poing traversa le crâne du zombie comme si il n'y avait rien dedans. Lorsque Jack retira son poing on pouvait voir à travers le trou qu'il avait fait dans la tête de cette chose, faible et inutile. C'était ainsi et pas autrement. Tant qu'il vivrait il tuerais des "Goloume". Krauz arracha une plante de son vase et le planta avec la terre dans le trou qu'il avait fait dans la tête du zombie à présent mort. La dépouille semblait plus vivante à présent (un sourire aux lèvres). Il était venu faire quoi ici déjà? A oui, les armes.

Jack s'était dirigé vers une multitudes de portes. Ok, une à gauche, une en face et une à droite. Il n'avait pas besoins de réfléchir de toutes les façons si il se trompait il ferait demi tour, pas pressé du tout. Alors il poussa la grande porte du milieu et y pénétra. (Quel était cette pièce...?)

Tu t'es bien débrouillé avec le zombie. Une chance qu'il ai été distrait par son festin ! Une belle occasion pour faire du jardinage créatif, en effet... Quoi qu'il en soit, tu ne t'es pas préoccupé du cadavre et tu pousses désormais une bien dangereuse porte... Tu aurais peut-être du tendre l'oreille avant de te précipiter dans la gueule du loup....ou plutôt du chien.

En effet, le pauvre toutou se tient au milieu du couloir, à côté de sa maîtresse inerte. Elle a le crâne explosé et le chien la défend sans doute depuis des jours. Par le plus grand des miracles, le petit cabot n'a pas été la cible des zombies qui ont préféré courrir après les touristes terrifiés... Quoi qu'il en soit, il est épuisé et donc nerveux et agressif. Dès qu'il t'aperçoit, il se redresse sur ses pattes et se met à grogner férocement. C'est un petit chien, mais la bête bondit, tout crocs dehors, rendu fou par les récents évènements.

Tu peux tenter de l'esquiver en utilisant ta compétence de fuite avec un lancer de dé. Si tu échoues, il sera capable de refermer sa petite mâchoire sur ta cheville avec force. De quoi te faire boitiller pendant quelques jours, sans compter la nécessité de désinfecter la plaie... Qui sait où les crocs de ce petit cabot ont trainés avant....

Libre à toi ensuite de tenter d'achever le pauvre toutou ou de quitter le couloir en abandonnant l'animal fou à son triste sort pour continuer ton chemin...

J'avais ouvert la porte sans me soucier de ce qu'il y avait derrière. J'aurais pu m'attendre à un revenant, à un survivant agonisant, un gars ou une nana se faisant dévorer les intestins par un revenant peut être même un revenant fécondant un cadavre mais pas à un chien!

Il était vraiment trop mignon, mis à part qu'il grognait et qu'il était à deux doigts de me sauter dessus. A ses pattes, il y avait un cadavre. Ce n'était pas très ragoutant alors que je commençais à avoir faim. Ben maintenant plus très faim moi! Pis qu'est ce qu'il faisait là lui? En vie en plus! Plus coriace que Krauzy.

Wow! Il me bondit tout à coup dessus. Je tenta une roulade sur le côté en espérant ne pas me faire attraper par l'animal apparemment très très grognon.

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'Dé de Réussite' : 5

5+6=11 réussis de justesse

Je suis le meilleur! oh oh oh! Bon j'avoue qu'il ma écorché la jambe, mais sa aurait pu être pire. D'ailleurs sa faisait un mal de chien. ah ah jeu de mots!

C'était quoi son problème à ce putin de cabot. Il avait envie de crever, il était genre suicidaire? Sa existe sa un chien sadomaso? Étrange... Mais je ne pouvais pas écarter cette possibilité. Le couloir était mal éclairé je ne discernais pas tant que sa sont regard mais d'après sa réaction pas très accueillante il ne m'aimait pas trop ou alors il m'adorait à la folie du genre qui aime bien châtie bien!

Je me demandais pour la première fois de ma vie ce que je devais faire. Le tuer ou le résonner? Je savais qu'essayer de résonner un animal psychopathe était sans doute peine perdu. D’ailleurs cela faisait combien de temps qu'il était là, dans ce couloir, près de ce cadavre puant. Pis qui s'était ce mort là, à terre? Le chien ne lui avait pas pissé dessus... Et moi il m'harcelait de coups et blessures? What the fuck?!

Je savais ce que je devais faire. Je sortis de mon sac à dos une boite de conserve, lentement pour ne pas le faire paniquer. En espérant qu'il ait encore un peu d'humanité, pas très sur du coup. C'était pas la meilleur bouffe du monde mais c'était ni périmé ni trop dégueulasse. Je l'ouvrait doucement et essayait de lui faire signe de venir se nourrir.

-Hey... Petit... du calme. Je ne te veux pas de mal. Tien regarde,c'est pour toi.

Je lui souriais pour tenter de l'apaiser ne serais-ce qu'un peu.

-Je ne te veux pas de mal tu sais? je suis juste venu chercher deux trois truc pour quelqu'un. Viens, mange tout ira mieux.

Heureusement pour toi, la mâchoire se contente de claquer dans les airs, à quelques centimètres de ta cheville. Malheureusement pour toi, tu écopes tout de même d'une griffure. Légère, par chance. Pas de quoi s'affoler. Mais tu ferais mieux de te méfier, l'animal n'est clairement pas coopératif...

Pourtant tu tentes tout de même de l'amadouer avec ta précieuse nourriture... Grave erreur. L'animal en est déjà à la phase offensive. Il ne réfléchit plus et en veux à quiconque s'approchera de sa maîtresse. En plus, tu as la même forme que ces brutes de zombies qui ont planté leurs crocs dans sa jugulaire...! L'animal prend un court instant pour te défier du regard, il montre les crocs en lâchant un grognement féroce.

Deux choix s'offrent à toi :
- Faire immédiatement demi-tour pour sauver tes fesses. Tu t'en sors alors avec -1 de nourriture et -5 de santé.
- Insister face au chien fou. Si tu choisis de l'affronter tu devras faire un lancé de dé de corps-à-corps. Si tu choisis de seulement prendre le temps de récuppérer ta nourriture, tu devras faire un lancé de dé de fuite pour esquiver une nouvelle attaque avant d'attraper ta boîte de conserve salvatrice si aisément abandonnée.

Petit chien... Tu ne semblais pas vouloir te ressaisir. Qu'aurais-je dû faire? Te laisser là, sauver ma peau et la tienne mais tu mourrais rapidement. Je n'avais pas vraiment envie de m'inquiéter pour toi. Je voulais te résonner, t'aider, mais apparemment tu n'étais pas disposé à m'écouter, à te nourrir. Je suis désolé, trop de souvenir remontais à mon esprit alors que tu souffrais la mort de ton maître. L'une de ces choses avait dévoré mon fils Kraukrau. Je crois que je souffrais plus que je ne l'admettais et c'est peut être ça qui éteignait le peut de lumière qui restait en moi.

-Petit, dis-je d'un tons calme, je vais devoir te briser le cou et mettre un terme à tes souffrances.

Quel était son nom? Je ne le connaissais pas et pourtant je m'étais déjà attaché à lui. Junior, c'est ainsi que je décidais de le baptiser. Tes yeux brillaient comme si il avait plu des lunes à l'intérieur, ton poil crasseux et sombre m'attristait terriblement. Tôt ou tard la mort te rejoindrait et ce que la terre avait créer, elle le reprendrait.

Alors je m'avançais vers toi pour te saisir brutalement et fermement. Te Maîtriser totalement te montant prêt de mon visage que je te regarde de plus prêt. Avais-tu peur ou étais-tu soulagé?

-Tu vas rejoindre ton maître Junior.

Je tentais donc de tordre sèchement ton petit cou.

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