Prénom : Huey Nom : Newton Surnom : Oncle Sexe : Masculin

Taille : 1 M 68 Poids : 61 KG Âge & DOB : 58 ans, né le 8 Mars à Chicago. Nationalité : Américaine

Métier / Etudes : Ex-détenu Orientation sexuelle : Hétérosexuel Statut social : Celibataire Ambition : S'éloigner le plus possible de cette ville de merde.

Natif de la NENUFAR ! de ville de Chicago aka "Chi-raq" et n'ayant connu que le système carcéral, il est difficile à intimider et a été témoin de toute l'étendu de la violence humaine. Ses années d'enfermement en ont fait un homme profondément curieux du monde qui l'entoure. Sa prudence lui empêche de s'attarder sur tout, mais il ne néglige rien et personne. Il a profondément foi en la nature humaine et a appris à apprécier chacun de ces contacts avec son prochain. Sa gentillesse désinterressée constrasté par sa nature intransigeante en a fait une figure paternel au sein de sa prison fédérale. Pour la majorité, l'Oncle était le titre le plus respecteux que pouvaient lui donner les détenus, incapable de sortir un "monsieur" pour qui le nom était devenu un signe de repression policière. Mais lui s'amusait à se convaincre qu'il s'agissait d'un quelqu'onc rôle qu'il se devait jouer.

Loin d'être comme toute cette nouvelle génération d'afro-américain ne brillant que par leurs exploits au Hall of Fame, leurs longs attributs en façade de PornHub, leurs blagues dans les talk-show de 21h ou leurs façons de s'appeler eux même "negro" sur MTV. Mr Newton reste tout de même un homme vivant avec son temps. Conscient d'être arrivé à la seconde moitié de sa vie, depuis un moment, n'ayant ni famille, ni amis a proprement parlé, il essaye de laissé une trace de son passage dans ce monde. Une fois que l'on acepte l'idée de passer sa vie entière entre quatre murs, l'on se contente de plaisirs simples, préférant consacré sa vie aux autres. A 58 ans, les remords et le regret sont des sentiments qu'il n'a plus l'âge de ressentir. 

Depuis le début de l'épidémie, l'Oncle n'a jamais eu à tué un humain. Mais il le sait, dans le monde actuel, rien n'est définitf. Pourtant il n'a jamais abandonné les faiblesses que sont la politesse, la galanterie ou tout simplement le respect d'autrui. Ayant pour princiepe qu'aucun n'home n'est au-dessus d'un autre, il privilégiera toujours le dialogue à l'affrontement. 


Mr Newton n'est définitivement rien de plus qu'un ancien. 

Vous savez ces petits vieux que l'on imagine pas jeune. Pas très grand, il n'est pas taillé pour l'effort physique, à se demander s'il a dejà eu besoin de courir ne serait-ce qu'une seule fois dans sa longue vie. Comme la plupart, l'actuel situation apocalyptique du monde à marqué son corps. Amaigris, affichant ici et là quelques récentes cicatrices, et cette désormais commune silhouette négligé. Négligé, mais pas inconvenant. Toujours habillé de noir, cendrés par l'usure. Couvert par un long manteau au haut col. Des mitaines en cuir, un sac à dos, une paire de sneakers et une casquete toujours vissé sur sa tête, l'Oncle ne s'encombre pas de chinoiserie. 

Un visage inexpressif, difficile à émotionné et un regard aiguisé, transparent la sagese de son âge. Un visage marqué plus par la vie que par son âge, il inspire le calme. Il garde sa barbe taillé et ses cheveux court, dés qu'il le peut. Gardant vissé toujours sur son nez ses grossière lunettes, elles sont tout ce qu'il a gardé depuis l'extinction du monde. Il en a toujours été fière, pleinement conscient du drôle d'air qu'elle lui donne. Ce côté intellectuel. 


Après quatre mois dans cet enfer, l'Oncle a prouvé qu'il était un survivant. Avec ses 58 ans et son gabarit de lâche, il ne c'est jamais reposé sur son physique. Privilégiant des approches plus intellectuel. Piètre cuisinier, médecin, bricoleur, bagarreur, athlète et toute une longue liste de compétences nécessaire à la survie, notre ancien détenu ne peut user que de sa tête pour s'en sortir et de son verbe. Depuis l'arrivé de ces morts-vivant, tout comme les quarante dernières années de sa vie, Mr Newton ne c'était jamais retrouvé seul une seconde. Il allait donc vite lui devoir trouver un nouveau groupe, ou bien s'adapter.

Avant l'épidémie Chi-raq, compression de "Chicago" et "Iraq", est un NENUFAR ! de ghetto. Dans les années 80, à la naissance de Huey, bien avant ce surnom, Chicago était une métropole du nord des Etats-Unis profondément noir. Malgré une expansion remarquable, comme toute ces foutues villes afro-américaine, le taux de criminalité était prodigieux et tout gamins pensaient devoir choisir, entre mourir pour une couleur de bandana ou finir en prison pour celles-ci. Mais lui, nourissait l'espoir de  parvenir à s'en sortir. Sortir de ce cercle vicieux. Né d'une mère anciennement toxico, sauvé par la foi et d'un père inconnu et élevé en plein milieu d'une zone de guerre entre les noirs et les latinos, il tenta de fuir tout ceci à la fac. Caressant l'espoir de pouvoir, à son tour, enseigner un jour il passait son temps à étudier et a cumuler les petits jobs. Il rencontra même une fille. Rosa, le seul amour de sa vie. Une belle fille, issue d'une bonne famille, à l'avenir prometteur. C'est tout naturellement qu'il l'avait demandé en mariage au bout de trois ans de relation. Elle avait accepté avec enthousiasme. Afin de financé, ce qu'il voulait comme le plus beau des mariages, Huey negligea ses études, pour travailler, reduisant ses dépenses au strict minimum. Mais au bout d'une année de dur labeur, tout bascula. Il avait vingt-deux ans et n'a que peu de souvenir de cette journée là. Il se rappel de la chaleur qu'il faisait et de l'atroce anxiété qui lui tirallais le bide alors qu'il achetait un de ces pistolets-mitrailleurs qu'on pouvait voir dans tout film de gangster de l'époque. Après ça tout c'était passé si rapidement.  "Pour le meurtre de Rosa White, le jury vous déclare?" "Coupable" "Pour le meurtre de Thomas Muller, le jury vous déclare?" "Coupable" Ils avaient déclarés passer l'éponge pour sa tentative de fuite étant donné qu'il avait tout avoué de son plein gré. De toute façon il avait pris pertpet'. S'en était suivi les pleurs de sa mère couvert par les applaudissement de la famille de son ex-future belle famille et celle de son amant. Après avoir découvert que sa dulciné le trompait, il avait pété un cable et avait vidé le chargeur de la mitraillette dans leur lit conjugale.  Immagine ce que peut-être une vie entière à passé dans une prison fédérale, alors qu'on ne mesure à peine un mètre soixante dix. Les 5 premières années sont les plus durs. Les anciens vous bizutent, et on ne parle pas de courir a poil, des pinces à linges sur les couilles, à travers le campus. Non là c'est, racket, bagarre et humiliation quotidienne. Vous vous demandez comment votre vie à pu prendre ce tournant. On regrette, supplie en bavant et est prêt à tout pour sortir de cet enfer. Au bout de 10 ans, on commence à se faire des amis. Le système carcéral n'a plus de secret pour vous et l'extérieur, n'est plus qu'un rêve que l'on essaye de se rappeler et d'embélir à la cantine. Les personne que l'on connait à l'extérieur commence à vous oublier et les visites s'ammenuise. Après 20 ans, l'Oncle perdit sa mère, dernier lien avec l'extérieur. Aillant passé autant de temps enfermé qu'à l'extérieur, votre cellule est ce qui ressemble le plus à votre maison. Si vous avez une bonne conduite, les gardiens deviennent cool et les échanges de services deviennent votre quotidien.  Une fois arrivé à 30 ans entre quatre murs, le monde ne ressemble plus qu'à un pays éxotique aussi tentant qu'éffrayant, voir une planète différente. Surtout quand une horde de zombies contagieuse à décidé de faire son apparition.

Après l'épidémie La prison fonctionna un bon mois sans incident particulier après l'annonce de l'épidémie. Certains détenus, aillant pour la plupart de la famille demeurant à Oakland, s'agitèrent mais furent vite  isolés. L'Oncle, n'avait lui, plus rien à perdre où que se soit. Il ne s'inquièta donc pas des événements qui se déroulaient à l'extérieur, certain que le gouvernement aurait bien vite fait de s'occuper de cette épidémie et qu'une nouvelle pub Coca-Cola, Axe ou bien une de ces marques de capottes sortiraient, détournant ce tragique incident.   Mais les jours passèrent, et la situation s'aggrava.  Le second mois, la télé qui jouait le rôle, de compagne, divinité, drogue tranquilisante et principale sujet de conversation se coupa. Coupé du monde, les gardiens commencèrent à déserter et la situation dégénéra rapidement. Les détenu reprirent avec une facilité déconcertante le contrôle de la prison. Personne ne vint assister les gardiens restants, à se demander pourquoi ils n'avaient pas tenter cela avant.  Mais leur excitation retombèrent rapidement. La réalité du monde une fois les murs passé furent traumatisante. Mr Newton en regretta ses barreaux et y resta cloitré avec une trentainne de détenus jusqu'à ce que le manque de vivres les forces à sortir.  Après quatorze semaines, l'oncle est désormais seul, livré à lui même, tout ces compagnons aillant fui ou péri.

Numéroter dans l'ordre de préférence le groupe que j'aimerais intégrer:
[4]Les solitaires — [2] Les Tapas Grillées — [1] Les Bat People — [3] Brigade