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Joyeuses fêtes à tous !
Tout le Staff vous souhaite de très joyeuses fêtes ! Manger comme des gros, buvez avec modération (hinhinhin) et faîtes des bisous à votre tante sexy pour nous ! <3
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| [Semaine 1, Jour 1] Let's get the mother fuck out of here. (Terminé) |
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| [Semaine 1, Jour 1] Let's get the mother fuck out of here. (Terminé) Mar 8 Oct - 18:57 Votre nom est Darry Harvey, et vous avez la rage. A un point assez incroyable. Cette bande de fils de putes ont osé vous enfermer dans l'hôpital. Vous savez même pas pourquoi, mais ça craint. En plus vous êtes avec un gros tas d'enculés qui paniquent et courent dans tous les sens, et ils vous explosent les oreilles. Mais bon, vous ne pouvez pas dire grand-chose. Ils sont trop nombreux pour tous les tabasser, et il serait mal avisé de les provoquer en sachant que vous êtes tous enfermés ensemble et qu'ils sont en état de choc total. Vous ne tenez pas à faire l'objet d'un lynchage.
Vous décidez que la chose la plus logique à faire est de chercher une sortie, au lieu de faire comme tous ces fils de putes et demander à qui se plaindre. C'est pas de geindre qui va aider. Vous poussez une grosse vache qui bloque le chemin, la faisant un peu trébucher sur – oups, elle s'était cassé la jambe ? Tant pis. Fallait pas rester devant vous comme une abrutie. Vous ne vous intéressez pas à ses beuglements outrés. De toute manière, vous n'avez pas besoin d'elle. Elle est trop grosse pour être utile à des recherches, ou pour que vous vouliez la baiser, alors ce n'est pas important. Vous traverser le hall menant aux urgences rapidement, croisant quelques personnes – rares tout de même – ayant également eu la présence d'esprit de tenter de sortir. Vous arrivez dans le hall avec l'espoir de pouvoir encore sortir par là. C'était un espoir inutile, comme vous vous en doutiez. Toutes les issues sont closes. Mais vous ne désespérez pas encore.
S'il y a une chose que l'expérience vous a appris, c'est que les flics ne finissent jamais bien le boulot. Il y a forcément une issue qu'ils ont oubliée. Vous vous arrêtez de marcher pour un instant afin de réfléchir. Vous ne pensez pas qu'il y ait de sous-sols. S'il y en a, ils sont sans doute impossible à atteindre pour un patient, et peut-être également sans issues. Les portes d'entrées, les sorties les plus évidentes, sont évidemment fermées. Les fenêtre, barricadées. Bien sûr vous pourriez vous contenter de faire comme tous ces fils de putes une fois qu'il se seront calmés : attendre sagement. Mais... Pourquoi on barricade un hôpital, hein ? Pour une quarantaine, pas vrai ? Et pourquoi on fait une quarantaine ? Quand il y a une maladie grave. Et avec cette envergure, la maladie doit être putain de sa mère de terrifiante. Ce qui signifie que ces enculés vous ont enfermé ici avec un virus puissant et contagieux, potentiellement mortel, pour que vous alliez droit à vôtre perte. Vous aviez bien raison de ne pas vous fier aux flics. Les autorités, hein ? Que de la gueule.
Vos réflexions sont interrompus lorsqu'un quelconque connard vous bouscule, vous faisant presque tomber, pour aller se précipiter vers la sortie si évidemment close. Vous grogner une série d'insulte et vous dirigez vers les escaliers. Vous venez d'avoir une idée. Il est hors de question que vous restiez ici pour y chopper le quelconque virus qui traîne, alors autant essayer... Le toit. Peut-être qu'ils ont oublié le toit. C'est bien le genre des flics, ça. Et comme c'est un hôpital, un bâtiment public, ça doit bien respecter quelques règles de sécurités... Comme les échelles d'urgences en cas d'incendie... Ouais, idée géniale. Vous grimacez un sourire, ou plutôt un rictus, celui que vous faites chaque fois que vous avez une idée qui va vous permettre d'enculer quelqu'un d'autre et d'emmerder les poulets au maximum.
Vous commencer à monter vers le point le plus haut du bâtiment. Vous grimpez vers le haut des escaliers rapidement, vous aidant de la rampe et croisant quelques idiots paniqués qui se précipitent dans l'autre direction. Un de ces fils de putes surexcités va tomber et se rompre le cou, vous le sentez fort comme ça. Mais vous vous en foutez, pour le moment. En haut des escaliers... Oh, génial, le service de psychiatrie. Vous aviez besoin d'une bande de tarés en plus de tout ça. Vous ralentissez votre rythme. Il y a sans doute une porte plus discrète, avec d'autres escaliers menant au toit, et vous aurez besoin d'être sur vos gardes pour la repérer. Et vous n'avez pas envie d'exciter les fous dangereux en courant autour d'eux. Ils pourraient venir chercher la merde et vous n'avez pas le temps pour ça. Vous commencer à lentement parcourir le service, cherchant à droite et à gauche une porte qui semblerait être ce que vous cherchez. |
| | | Reiiko A. Jäger Femme à tout faire & mascotte Survival Coins : 329 Age : 27
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| [Semaine1 - jour1] Mise en charpie et visite médicale Mar 8 Oct - 20:05 Ça fait une heure ! Une foutue heure que j'attends ! Non seulement je me farcis une heure de voyage, mais en plus ce type est en retard ! Fichu psy ! Pour couronner le tout, y a pas un chat dans cette salle morbide ! Rah ! Je m'empare rageusement d'un vieux magazine people, et alors enfin, ENFIN !, le docteur se décide à sortir ! Miracle ! Il s'avance frais comme un gardon, me tend sa main lisse et vertueuse et se mange un vent. Bon, on rentre, oui ou non ?! Le pauvre quadra' lève un sourcil, hausse les épaules et me précède dans son antre de torture. Quand il ouvre quand sa bouche de psychopathe, une voix l'interrompt, le micro crache : « Écoutez-moi ici le Général Bloomsberg ! Nous allons vous demander de ne quitter les lieux sous aucun prétexte. Le Highland General Hospital est dès à présent en quarantaine, et ce pour votre sécurité ! Restez calmes et groupés, des nouvelles vous parviendront bientôt. » QUOIIIII ? Collision de regards. Ha bin vu la tête qu'il tire, le vieux a pas l'air de savoir de quoi il en retourne ! « Hey ! C'est quoi ce binz ? « Deuxième coup d’œil interloqué du pèpère, quoi ? j'ai oublié la formule de politesse ? Hé, c'est marrant, on dirait qu'il panique, il devrait pas me faire une crise de panique, hein, parce que moi, je le laisse mourir l'aut' barjo... « Hey, vous allez faire une crise cardiaque, non parce que moi, je sais pas faire le bouche-à-bouche, ou alors juste à des filles à fortes poitrines !
- Hein ? Que.. euh, non !- Et donc ?- Et donc quoi ?- Bah ! C'est où le restau' ?- Ah le rest... euh...- C'est QUOI CE BODEL ?! » Réveil du vioc. Nan mais le type, il a l'air mais paumé de chez paumé ! « Euh, je vais aller voir à l'accueil, restez ici. » Va cours vole et tombe dans les escaliers, tiens ! Euh, non mais finalement, reviens ! ça fait deux heures que je poireaute, j'en ai marre, reviens ! Je me mets à fredonner « I Need a Doctor » stupidement, à croire que ça va le faire sortir de sa pokéball... Oh... mais qu'entends-je ? Des pas ! Des pas ! M’enfin, il a pas l’air pressé le type, il traîne de la patte, limite. Eh mais ouais… c’est trop louche… Je le sens mal.. Putain ! Ah ! Le voilà, il pousse la porte, oh, merde. Y a du sang. Sur la porte. Il met du... sang. Hey, doc' blague pas, j'ai peur là. Oh putain... Doc'... t'as la patte qui traîne, tu pues... oooh, merde... t'es pas normal, t'es même... zombie ? Choppe une chaise ! Allez ! Lance ! Putaiiiin ! Stiiiiiiike, il tombe le con ! Empalé sous la chaise! T'es mort? Hein, dis-moi que t'es... ah, bah non. Juste le bras. Ooooh... le bras... l'os... le sang... Je gerbe par terre, ça pue le métal, c'est horrible. Aidez-moi... Tue le Reiiko ! Reprends ta chaise, meuf ! Et frappe ! FRAPPE ! ENCORE ET ENCORE ! Putain, j'ai mal, trop mal ! Je peux plus frapper, mais t'façon, il ressemble plus à rien. Mort. En charpie. Tu vas vivre. Je regerbe. T'façon il était pas humain... ou plus, je sais pas... Un zombie... putain... Je recule comme une débile, je me casse la gueule et rampe... reculer loin... loin... et pleurer aussi, je pleure un coup, adieu maquillage sophistiqué... oh ! Rentre dans le bureau et enferme toi... ooh... non, je re-sors ! Faut que je me casse de là ! C'est trop effrayant ! Oh, tu pues mec ! Wait, je te marche sur la gueule, enfin ce qu'il en reste, parce que tu comprends, je t'ai explosé devant la porte... hihi... Je regarde à droite, puis à gauche, non pas pour traverser mais pour ne pas me faire bouffer par un zombie… oooooh ! En voilà un, et vu le ricanement idiot que je viens d’avoir, je pense que je vais me faire prendre en chasse… Donc je vais devoir courir. Et vite. Et réfléchir, aussi. Ah, oui, courir. JE COOOOOURS PUTAIN ! J’ai jamais couru aussi vite, même pour un bus ! Sésaaaame ouvreuuuuh toiiiiiiiiii! Oh, bah tiens, ça résiste... oh, un type derrière... il se frotte le pif, oh, arrête mec, j'ai pas ouvert trop fort... bon, ok... " Ouais, mais bon, regarde si personne veut ouvrir la porte avant de t'y foutre devant quoi!" Drôle de gueule qu'il me fait, hé! Bah quoi? Quand j'ouvre, tu te mets pas devant, mec! Oh, il est pas moche, un peu la gueule du Doctor Who... petit, plus que moi, et la tête pas contente. Oh, ça va, tu va pas pleurer, si? " Moi, c'est Reiiko, et bref y'a des zombies! Fais pas cette gueule, c'est vrais! Oh, et pendant que j'y suis, je voudrais bien un miroir, parce que mon maquillage laisse à désirer! " Je fais volte-face, et fais ce que tu veux! Ah non, attends! " Ah! Y en avait un derrière moi, n'y va pas, c'est pas safe!" Mon speech achevé, je le bouscule légèrement (ou alors, il se pousse parce que bon, il est imposant quoi), et avance à l'aveuglette dans le couloir devant moi. |
| | | Invité Invité
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| Re: [Semaine 1, Jour 1] Let's get the mother fuck out of here. (Terminé) Mar 8 Oct - 20:52 Vous êtes toujours en train de marcher dans le couloir du service psychiatrique. Un peu plus vite toutefois. Vous entendez des grognements étranges derrière une des portes et ça ne vous donne pas vraiment envie de vous y attarder. Peu importe quels fils de putes au cerveau rongés traînent dans le coin, vous n'avez aucune envie de faire leur connaissance. Vous rasez les murs pour les éviter et... OUCH OUCH QUOI ? Quel est le fils de pute de putain de sa mère d'enculé qui vient de vous enfoncer une porte dans le nez ? Vous vous apprêtez à commencer une longue série d'imprécations et d'injures, mais... Oh, c'est une fille. Plutôt bien roulée, la nana. Bien mieux foutue que ce à quoi vous vous attendiez dans un endroit comme celui-ci. En fait, elle vaut tout à fait la peine de tenter son coup, huh ? Elle commence à parler. Vous écoutez à peine, occupé à fixer sa poitrine. Mais... « Je rêve ou t'as dit 'zombies' ? » Putain. Donc voilà ce qu'on trouve dans une unité psychiatrique... Ugh. Pour une fois que vous croyiez avoir touché le jackpot. Vous ouvrez la porte qu'elle vient de gentiment forcer dans votre nez... Oh, merde. C'est un cadavre, ça ? Merde merde merde c'est salement amoché... Vous avez vu un ou deux cadavres avant, mais de plus loin, et bien plus propres. Vous faites une grimace. Elle vient de tuer ce type en délirant à propos de zombies ? Okay... Okay, pas de panique. Tant que vous faites attention, elle ne risque pas de vous attaquer aussi. Vous placez tout de même votre main dans votre poche pour sortir votre canif au cas-- ET MERDE. Le canif a disparu. C'était en bousculant cette baleine dans les urgences ? Ou quand ce connard a failli vous renverser dans le hall ? Ou en grimpant les escaliers ? D'une manière ou d'une autre, vous êtes désarmé. Bon... Il semblerait qu'il faille écouter cette fille. Elle va vous apporter des problèmes sinon. Un miroir. Elle voulait un miroir, n'est-ce pas ? Vous chercher dans une de vos poches intérieures et trouver un miroir de poche à côté d'un peigne. C'est pas que vous vous recoiffez tout le temps comme un pédé ou quoi que ce soit, vous avez juste une image à conserver, c'est tout. Vous lui tendez. « Tiens, v'là un miroir. Donc dis-moi, poupée, tu vas où comme ça ? » Vous ne pouvez tout de même pas vous empêcher de la draguer un peu. Elle est quand même pas mal niveau physique. Et si elle est complètement barrée, elle doit être plus facile à choper, pas vrai ? Ouais, bon plan. Vous avez plus qu'à jouer le mec héroïque qui va la sauver des terribles zombies qui n'existent même pas, et vous vous assurez la victoire les doigts dans le nez. Vous lui offrez votre plus beau sourire. |
| | | Reiiko A. Jäger Femme à tout faire & mascotte Survival Coins : 329 Age : 27
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| Re: [Semaine 1, Jour 1] Let's get the mother fuck out of here. (Terminé) Mer 9 Oct - 8:02 « Je rêve où t'as dit 'zombies' ? « Je retiens un « tu rêve mon gars, allez réveille toi pour aller à l’école ! ». Non mais le mec, il veut en voir un en chair et en décomposition pour le croire ? Il me tend un miroir en ponctuant sa phrase d’un « poupée », le regard sur mes seins… Je mets le miroir dans mon sac-tigre, incline la tête dans un semblant de remerciement et lance : « Je sais que t’es pas bien grand, mais faut pas abuser, tu peux quand même regarder autre-part que mes seins, ok ? Genre… mes yeux ? C’est bien les yeux ? Bref… Je voudrais trouver des gens ! Tu vois, comme dans les films de zombies, une team quoi ! Parce que, éclater un zombie isolé c’est pas bien dur. » Je montre mon t-shirt maculé de sang, sous mon pull bleu (remis pour cacher le sang, c’est anti-esthétique le sang…). Je pense que l’effet « je m’y connais est passé », quant à celui « je te pète la gueule si tu penses encore à me mater » j’en doute. « Seul, ça va, mais un troupeau… vu le monde qu’il y’a, un tiers de l’hôpital est à jeter… » Il a pas l’air d’avoir déjà vu un mort-vivant, donc de là à en tuer… Enfin, tant pis, il pourra toujours m’aider… « Au fait, tu m’as pas dit ton nom ? Vu ta tête d’ahuri tu dois pas être du service Psy’. Moi non plus d’ailleurs, je suis une touriste dans cet hôpital… Une touriste le mauvais jour… » Je fais une pause, me mords la lèvre pour ne pas pleurer. Pas devant ce type ! Je vais revoir ma famille ! Je ne peux pas crever ici ! C’est trop bête ! « Je dois sortir… On s’en fiche de la team ! C’est chacun sa gueule ! Je dois me tirer d’ici et rentrer chez moi ! » Oui, mais les flics doivent pas être trop cons, ils ont bien dû fermer les portes. Ces connards nous regardent crever sans nous aider ! Alors… y a-t-il une autre issue ? N’importe où… « Par où ? Où tu allais toi ? » Je farfouille du regard aux alentours… rien… ah… si ! Eh bin, petit indice, tu étais bien caché ! « LE TOIT ! Forcément, de la haut, ils nous entendront crier ! Et ils viendront nous sauver !» Ou ils nous feront sauter la gueule. Mais ça, c’est pas le moment d’y penser, puisque mon pote le zombie a décidé de monter sa tête. Il tente d’ouvrir la porte, et le degeu risque d’y parvenir d’une minute à l’autre ! « Faut bouger, ou se battre, il arrive ! » |
| | | Invité Invité
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| Re: [Semaine 1, Jour 1] Let's get the mother fuck out of here. (Terminé) Ven 11 Oct - 18:07 Attends… Attends, y’a un truc en train d’essayer d’ouvrir la porte ? Mais… C’est un cadavre ! Vous venez juste de le voir en bouillie sur le sol… C’est pas des vrais zombies, c’est juste la foldingue qui—Mais elle vient de dire qu’elle est pas du service psy… Et d’ailleurs… Vous vous demandiez un peu plus tôt quelle épidémie pouvait occasionner ce genre de quarantaine. Des zombies semblent une bonne excuse.
Oh, putain.
Donc il y a vraiment des zombies, pas vrai ? Et c’est contagieux. Une nouvelle raison de fuir rapidement.
« Si j’étais toi, je garderais pas un T-shirt avec du sang de zombie dessus. On sait pas à quel point ces fils de putes sont contagieux. On devrait trouver des toilettes pour que tu puisses te changer, ou quelque chose. »
Putain, un tel gentleman, c’est même pas croyable. Vous résistez à l’envie de tenter de voir ses seins, et essayer de vous assurer qu’elle va effectivement balancer ce t-shirt. Si elle se transforme en zombie, vous n’avez pas envie d’être dans les parages.
« Il doit y avoir des escaliers quelque part. Sinon, faudra chercher dans les autres services. C’est un putain de sa mère de grand hôpital, donc y’a forcément un moyen d’aller sur le toit, car ils doivent avoir des hélicos pour transporter des blessés sur des longues distances. Si on peut trouver un ascenseur, ça serait le mieux. »
Vous êtes trop intelligent pour cette terre, c’est même pas croyable. Vous résistez à l’envie de sortir une cigarette - c’est pas trop le moment – et regardez autour de vous au cas-où il y aurait une arme. Jusqu’ici, vous ne voyez rien. Bordel de merde. Il faut vraiment se dépêcher et essayer de trouver quelque chose. Cette maladie risque de se répandre rapidement dans un endroit où il y a tout un tas de blessés incapables de combattre.
« Et pour l’équipe, t’as raison, faut trouver d’autres gens pour s’assurer plus de sécurité. Mais faut faire ça rapidement avant que ce coin soit un nid d’enculés de mort-vivants, et trouver un endroit avec des gens valides. Et aussi chercher des armes. N’importe quoi de dur et de gros irait… »
Vous regardez autour de vous. Y’a des toilettes dans le coin ? Elle peut pas garder ce t-shirt sur elle. Si elle le fait, faudra la laisser tomber, trop dangereux. |
| | | Reiiko A. Jäger Femme à tout faire & mascotte Survival Coins : 329 Age : 27
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| Re: [Semaine 1, Jour 1] Let's get the mother fuck out of here. (Terminé) Sam 12 Oct - 22:03 Quoi ? C’est juste une excuse pour m’dire que je pue… Dans les films, les filles elles puent pas ! Pis elles sont toujours au taquet niveau maquillage ! Et jamais sales… J’te jure… trop pas réaliste quoi ! t’façon, c’est bidon, on se contamine pas comme ça… pas dans les films du moins… Oh… mais.. ! On est pas dans un putain d’enculé de film ! « Il doit y avoir des escaliers quelque part. Sinon, faudra chercher dans les autres services. C’est un putain de sa mère de grand hôpital, donc y’a forcément un moyen d’aller sur le toit, car ils doivent avoir des hélicos pour transporter des blessés sur des longues distances. Si on peut trouver un ascenseur, ça serait le mieux. » Oh, parle bien avec ta bouche, mec ! Le toit c’est pas con, il a l’air stupide, mais utile ce gars… Bon, ok… j’irais me changer ! T’inquiète mon vieux, j’ai pris un T-shirt de rechange… Je sais pas pourquoi… prémonition, ou sixième sens féminin… Et qu’il enchaîne sur un ascenseur… Ouais, ton cerveau est vraiment parti avec le dernier train, mon pote… Des gens… ça me plaît pas trop… si ils sont aussi bête que lui, j’aurais pas de soucis à les manipuler, mais ils sont pas tous comme lui… et je risque d’être utilisée à mon tour… hum… Pour l’instant je dois me changer, sinon il va faire un caca nerveux… Putain de gosse, quoi ! « … Et aussi chercher des armes. N’importe quoi de dur et de gros irait… » Pfffft ! Heureusement que j’ai pas l’esprit mal tourné… Oups, c’est pas trop le moment de rigoler comme une débile, je crois… Enfin notre copain s’agite, et le bêta aussi… Je lui chope la quenotte et je file tel le vent, ou telle une fille avec un zombie au cul… au choix… Vus les dix minutes de courses qu’on vient de se payer, les couloirs et tout le toutim, on doit avoir mis une belle distance… Et là-bas, y’a des chiottes, et ici, ma vessie est pleine… « Hep, ça te dis de monter la garde ? J’vais pisser ! Eh oui, je suis une princesse typique… tu pourras y aller... » Wow ! Interception de regard lubrique… « Après moi ! » Je m’engouffre dans les W.C. en le plantant. Je fais mon affaire, me débarbouille la figure, j’en profite pour me remaquiller et sors, T-shirt changé, vessie vide, et dans la poubelle mon ex-t-shirt… « Fini ! Tu veux y aller ? Fissa fissa parce qu’on a un plan à trouver, de la bouffe, des amis, et du sommeil à rattraper ! » |
| | | Invité Invité
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| Re: [Semaine 1, Jour 1] Let's get the mother fuck out of here. (Terminé) Dim 20 Oct - 13:59 ((Désolé pour le retard. J'ai été quelque peu enterré sous les problèmes personnels récemment.)) Vous réfléchissez à ça pour un moment. Si vous aviez une bouteille, ça serait utile, pour mettre de l’eau, mais vous n’en avez pas, donc ça ne sert à rien. Vous devriez quand même aller pisser. Si vous allez vous retrouver au beau milieu de l’apocalypse zombie, il risque de pas y’avoir de pause pipi. « Ouais, j’y vais rapide. »
Vous entrez et choisissez rapidement des toilettes, les plus proches. Vous êtes sur le point de pisser et – oh tiens, c’est quoi ce truc ? C’est… Un ordinateur portable, un petit. Plutôt un netbook, vous croyez que ça s’appelle comme ça. C’est pas super lourd ce bordel, mais si quelqu’un vous cherche des merdes, vous pensez pouvoir lui éclater un peu la gueule avec. Génial ! Vous videz votre vessie et choppez ce petit fils de pute d’ordinateur en le glissant sous votre bras, puis vous ressortez et montrer votre découverte à la fille – c’est quoi son nom déjà ? Reko, un truc comme ça ? Bizarre.
« Un quelconque abruti a du emmener ça au chiottes pour aller surfer sur le net en se planquant, et l’a oublié dedans. On est bien au service psychiatrie, heh. » Vous ricanez un peu.
« En tout cas cet enculé d’ordi pourra ptetre servir. »
Jusqu’ici, vous pouvez le porter facilement parce qu’il est petit et léger, mais vous aurez besoin de trouver un sac, ou ce truc va se révéler plus emmerdant qu’autre chose.
« Okay, j’ai déjà fait quasiment tout ce service à pied avant de me prendre élégamment une putain d’sa mère de porte dans le nez, et j’ai rien vu qui ressemble à des escaliers ou à un ascenseur jusqu’ici, donc faudrait se tirer et chercher dans les autres services. T’sais c’que j’pense ? Ils ont dû mettre sécurité maximale sur la psychiatrie, pasque c’est les gens qui sont ici qui vont essayer de se barrer, pas les blessés. On peut probablement pas accéder au toit d’ici parce que ça craindrait trop, genre pour les suicidaires et tout. Faut chercher dans les autres services. »
Pourquoi ne pas y avoir pensé avant ? C’était si évident ! Dans votre énervement vous vous êtes précipité dans les premier escaliers et vous n’avez pas pensé à ça. Temps de rectifier votre erreur. Si vous pouvez vous tirer d’ici, et avec la meuf bonne en plus, c’est tout gagnant, alors vous avez de l’énergie pour ça. Vous souriez encore de votre grand rictus habituel.
« Tu veux aller où ? » |
| | | Reiiko A. Jäger Femme à tout faire & mascotte Survival Coins : 329 Age : 27
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| Re: [Semaine 1, Jour 1] Let's get the mother fuck out of here. (Terminé) Lun 21 Oct - 9:48 « Un quelconque abruti a du emmener ça au chiottes pour aller surfer sur le net en se planquant, et l’a oublié dedans. On est bien au service psychiatrie, heh. » Mes yeux brillent, limite, je sens les étoiles en sortir ! Un PC ! Et pas n’importe lequel…. Un bon ! Je tends les mains pour le caresser, style Gollum, mais je me stop en pleine transe. Eh, c’est lui qui l’a trouvé, doooonc… c’est le sien. Zut ! Moi j’en aurais bien voulu un de PC… Pis ça veut dire quoi « on est en psychiatrie » et son petit rire ? C’est se vieux délinquant sexuel qui devrait s’y retrouver ! Non mais j’te jure ! Le voilà qui déblatère sur la malheureuse porte qu’il s’est pris dans la gueule, ou que je lui ai doucement ouvert dessus… Bon en même temps, se foutre derrière une porte y’a plus malin, sérieux ! Il enchaine joyeusement sur une théorie fumeuse comme quoi les fous se suicideraient… Bon, ok, il n’est pas con. Et enfin, pour couronner le tout, c’est moi qui dois choisir notre destination future… A croire qu’on choisit notre nouveau centre Club Med pour les vacances… Bin oui, après tout, on risque juste pas du tout notre vie sur ce coup là. Non, non. Un vrai délire, quoi ! Le mec est tout sourire… faut VRAIMENT que je trouve quelqu’un d’autre avant de me faire violer… Enfin, j’ouvre la gueule : « Cool, allons chercher un Club Med ! » Oups, il a pas compris la blague… Bon c’était pas non plus évident … « Euh, bref… J’ai pas trop de plan, mais chuis crevée, alors on va dans un service de l’étage où y’a des lits, ou de la bouffe, parce que je te donnerais pas mes BN ! » Je montre mon sac pour illustrer ma phrase, et regarde aux alentours. Dans ce genre d’endroits y’a toujours un plan, style plan d’évacuation. Au mur y’a un vieux cadre jaunis ou je déchiffre « les antibiotiques c’est pas automatique ». Cool, ça peut toujours servir… L’odeur dégueulasse précède le son. Putain, ça pue la mort… Pas de doute à avoir sur l'identité de ce qui arrive... « On éclate le puant et après on file… aux soins des bientôt morts ! Paliamachin ! Mais avant, y’a le puant. » Ouep, le puant et pas de cachette en vue. Top cool ! On est dans la merde, et bien comme j’l’aime : puante à souhait ! J’ai pas d’arme et l’aut’ ira pas loin avec son PC… tant pis ! Je chope le cadre miteux, fait un sprint et BIM ! « En espérant que ces connards d’antibio’ soient automatiques chez toi ! » Eh bien non. Pour le coup, c’était pas une pub mensongère, et le machin avance vers moi, le crane décoré de morceau de verre… C’est le moment de la retraite, j’assène un dernier coup qui achève de disloquer le cadre dans mes mains, et file me cacher derrière mon pote de voyage. « Reii utilise Darry ! Darry Go ! » Je mime la sortie d’une pokéball et la jette au loin, vers le mort qui marche… |
| | | Invité Invité
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| Re: [Semaine 1, Jour 1] Let's get the mother fuck out of here. (Terminé) Lun 21 Oct - 11:30 Vous êtes vachement dans la merde. Voilà « le puant », comme elle a apparemment décidé d’appeler ces tas de merdes, qui s’avance vers vous. Pas de canif dans vos poches, rien que vos gros rangers et votre ordi portable pour lui défoncer la gueule.
Et bien…
C’est parti. Vous vous avancez vers le zombie lentement, à peu près à la même vitesse que lui. Il est moche, et puis pouah, il pue cet enculé ! Okay, temps de commencer. Pas beaucoup de chance ici, vous n’avez aucune arme, alors vous saisissez le PC à deux mains et espérez qu’il soit assez solide. Vous le soulevez au-dessus de votre tête et avancez jusqu’au zombie. Quand il se penche en avant pour vous mordre, vous abaissez brutalement l’ordi sur son crâne. Il y a un craquement, mais vous ne sauriez pas dire si la coque de l’ordi se fissure, ou si c’est le crâne du type qui souffre. Vous faites deux pas rapides en arrière. Le vieux moche dégueulasse n’a pas l’air très préoccupé par ce que vous venez de faire. Il avance à nouveau. Cette fois au lieu d’un mouvement de haut en bas, vous frappez horizontalement en travers de son visage. Un peu comme de lui donner une claque, mais avec un PC. Cette fois le craquement vient définitivement de lui. Vous avez sûrement cassé quelque chose. Un écoulement de sang venant de ses narines vous informe que c’est le nez. Vous commencez à bouger vers le côté, et comme il n’est pas très rapide, vous le contournez vite et marchez à reculons vers l’autre bout du couloir. Vous essayez de l’emmener loin de la fille. C’est pas le moment de la faire se faire bouffer aussi, ça ferait juste encore plus de zombies. L’autre vous suit. Vos mouvements brusques l’attire plus que votre compagne, donc il décide de vous chasser et non elle. Putain de sa mère de connard. Vous prenez l’ordi, le serrez fermement – les jointures de vos mains en deviennent toutes blanches – et vous frappez répétitivement de haut en bas, d’une manière diagonale, jusqu’à ce que la force des coups le fasse trébucher. Vous profitez de sa perte de stabilité temporaire et vous enfoncez le PC dans son cou en le poussant vers l’arrière. Il tombe. Parfait.
Maintenant qu’il est au sol c’est beaucoup plus facile. Vous vous jetez sur lui et commencez à écraser sa figure avec vos rangers. Vous frappez aussi violemment que vous pouvez, un grognement vous échappant à chaque coup. Des craquements provenant de son crâne vous assure que vous êtes proche du but. Cet abruti ne se rend pas compte qu’il est dans la merde. Il essaye de mordre dans vos chaussures. Quelques coups de talons bien envoyés décollent joyeusement sa mâchoire inférieure du reste de son visage et vous grimacez en la voyant pendre lamentablement, un peu secouée à chaque nouveau coup, tressautant comme un bout de viande dégueulasse. Mais vous n’arrêtez pas.
Finalement, au bout d’un temps qui vous paraît infini, vous arrêtez. Le poids de vos chaussures et la violence des coups a porté son fruit. Sa cervelle est étalée un peu partout et il ne bouge plus. Vous soupirez pesamment et vous éloignez du cadavre lentement. Il ne semble plus représenter de danger. Vos jambes tremblent légèrement. Vous les secouez et l’impression étrange disparait. Vous reculez vers la fille, tout en continuant de surveiller le zombie juste au cas où.
« Okay. Une bonne chose de faite. On devrait se barrer maintenant. Celui-là a sans doute contaminé d’autres enculés tout autour. Mieux vaut partir avant de les rencontrer. » |
| | | Reiiko A. Jäger Femme à tout faire & mascotte Survival Coins : 329 Age : 27
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| Re: [Semaine 1, Jour 1] Let's get the mother fuck out of here. (Terminé) Lun 21 Oct - 12:33 Ce bâtard ! Je l’ai vu, il a clairement fait en sorte que le zombie aille vers lui, pour pas qu’il m’attaque ! Comme si je pouvais pas me défendre ! Mais c’est le cas… je ne peux pas me défendre… J’ai même pas d’arme… putain… Ce mec est vraiment fort, ça je dois bien le dire… Il a carrément réduit en bouillie le cerveau du zombie ! Et il a pas tort, faut déguerpir, et vite ! J’enjambe le mort pour le rejoindre, passablement dégoutée par l’odeur immonde de ce machin. « Eurg ! C’est innommable ! J’ai envie de vomir ! » Je trace ma route vite fais, histoire de mettre de la distance entre moi et l’horreur et finis, par miracle, à trouver un plan détaillé de l’hôpital. « Si on va tout droit, on trouve les soins palliatifs. Il doit y avoir des escaliers ! On va pouvoir se tailler, et vite fais… » Je me retourne vers le type, il a l’air songeur. Vu de près, il est pas si moche… ouep… « On devrait dormir aussi, mec. Je tombe de fatigue. Il est quelle heure tu crois ? 7-8h de soir je dirais. Et franchement, j’ai pas envie de courir plus longtemps. » Je scrute vite fais le couloir derrière la porte à battants. C’est derrière cette putain de porte que réside notre espoir de sortie. C’est super ! J’ai déjà l’impression d’être libre… Mais c’est trop simple, non ? Et effectivement c’est trop beau pour être vrais… Y’a un putain de mort au fond, à droite… Je fais signe à Darry qui tire bientôt la même moue dépitée que moi. JE referme sans bruit la porte et pose mes fesses par terre. Il me faut une idée… Comment traverser sans bruit… Sans bruits ?! MAIS OUI ! C’est du bruit qu’il faut ! J’enlève mon sac et farfouille dedans…. De la bouffe, du maquillage et… OUI ! Des billes ! J’ai toujours de jolies billes sur moi ! Je les montres à Darry, victorieuse, mais il a pas l’air de comprendre… « Laisse tomber mec, t’es trop bête… » Donc, je r’ouvre les portes et prend deux billes. Je lève le bras et les lances ! Elles font un bruit du tonnerre dix mètres devant le zombie, qui s’empresse de s’éloigner de nous pour fondre sur les petites billes ! Je tire Darry avec moi, et on traverse ventre à terre ! Avant de fermer l’autre porte, j’aperçois le zombie qui glisse comme un con sur une bille, je barricade ma bouche pour ne pas hurler de rire ! « Hey, Darry ! Je suis un génie, hé ? » [FIN DU RP, SUITE AUX SOINS PALLIATIFS (on dort?)] |
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| Re: [Semaine 1, Jour 1] Let's get the mother fuck out of here. (Terminé)
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