Je ne sais plus quoi faire maintenant. Je commence par voir mes parents mort juste devant notre maison et ensuite je perd mon frère car je n'ai pas su resté éveiller correctement. La mort de Dave est ma faute, je n'ai même pas été capable de nous protéger. Dire qu'il s'est sacrifié pour son petit frère irresponsable. Et voilà, je suis sans famille dorénavant. Combien de temps vais-je pouvoir survivre dans ce monde avec ces créatures ? Je me le demande bien. Je n'est presque pas de nourriture, juste quelques sandwich que je n'avais pas mangé le midi et une pochette avec pleins de médicaments à l'intérieur. Je garde toujours cette pochette dans ma voiture. Je sais que ça peut être utile, surtout à partir de maintenant.

Pour l'instant je roule, vers où je ne sais pas. Je continu ma route en espérant arriver à une ville sécurisée. J'ai conscience qu'il y a peu de chance que j'y arrive et surtout vivant. Je vois beaucoup des ces créatures sur les côtés, j'essaye de les éviter alors j'accélère.
A force de rouler, je vois que le niveau d'essence baisse de plus en plus, je croise les doigts pour arriver à une ville avant de tomber en panne.
Une demi-heure plus tard je vois une sorte de ville se dessiner au loin mais la voiture commence à ralentir. J'approche de plus en plus de la ville avant d'y arriver vraiment. Je suis maintenant à peu près dans le centre, là où sont la plupart des magasins. A ce moment là, ma voiture s'arrête, sa y est j'ai plus d'essence.
Je suis donc descendu de la voiture pour aller voir dans les magasins. J'en vois un où la vitre est cassée, évidemment je ne suis pas le seul à vouloir survivre ici. J'entre doucement pars celle-ci pour trouver de la nourriture, s'il en reste bien sûr. J'avance vers les rayons avant d'entendre un peu de bruit, j'arrête de bouger pour pas me faire repérer.

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'Dé du Destin' :

Je reste le plus silencieux possible même si je pense que je me suis fait repérer. J'entends quelques pas dans les rayons puis, plus rien. Je me demande ce que fait cette personne ou cette chose. J'essaye de continuer ce pourquoi je suis venu, de la nourriture. J'observe le rayons sans bouger et mes yeux tombent sur un paquet de pâtes. Je l'attrape avec une main mais le paquet fait un peu de bruit. Je le mets dans mon sac avec le moins de bruit possible.


[Dé du destin : Un joli seau d'eau...]


Le calme planait jusqu'à ce que quelque chose me fasse perdre mon équilibre et que je finisse par tomber au sol. Je me retourne d'un seul coup pour voir à qui j'ai à faire. Et là je vois que c'est une femme avec une canne. Je la regarde avant de me relever rapidement, un peu trop rapide d'ailleurs. Je heurte le rayons avec mon sac dans les mains et quelques objets au dessus du rayon bouscule un seau. Malheureusement pour moi, ce seau est rempli d'eau et tombe très près de moi. Je n'ai même pas eu le temps de l'éviter que l'eau est arrivée sur moi. Je suis maintenant tout trempé,«Je n'ai même pas d'autres vêtements en plus...»me dis-je. Je regarde la jeune femme qui se trouve devant moi, je me demande bien ce quelle pense de moi après ça. Je tente d'essorer mes vêtements mais ils sont vraiment trop mouillés. Pendant que je fais ceci, je l'entend me parler alors je lève les yeux vers elle. Bon je pense qu'il faut que je fasse gaffe pour ne pas trop l'énerver sinon ça va finir mal pour moi je crois.
Je remets mon sac sur mon dos et je m'approche vers elle. Elle au moins, elle a trouver plus de choses que moi ici. Je la regarde mettre ses trouvailles dans son sac avant de lui adresser la parole :« Ne t'en fais pas, je ne serais pas une gêne pour toi ». Je me dirige vers la fenêtre par laquelle je suis arrivé et me retourne vers elle : « Je suis Aloïs et toi ? ». Bon je me donne pas trop d'espoir, on risque de peut être ne pas s'entendre ou le contraire. Mais je tente, comme on dit, qui tente rien n'a rien. Je suis seul pour l'instant alors si je pouvais ne plus l'être ça m'arrangerais bien. Si cette fille est dans un groupe, autant faire en sorte qu'elle m'y emmène. J'ai des capacités dans le médical ça devrait l'intéresser surtout si elle a des gens à soigner.


Je sors donc par la fenêtre cassée sans attendre sa réponse, de toute façon elle va sortir par là aussi donc bon. Je l'attend dehors en me demandant comment je vais faire avec mes vêtements tout mouillés.

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#1 'Dé de Réussite' : 20

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#2 'Dé de Réussite' : 2

Au final, j'avais pris le sceau qu'elle m'avait tendu, ça peut toujours servir, comme pour me défendre à coup de sceau dans la tête des zombies. Je suis donc sorti avant elle. Peut être qu'elle croit que je n'est pas entendu son nom mais si quand même. Je l'ai donc attendu en dehors de la boutique.


Quand elle est sorti, j'ai bien vu qu'elle n'avait pas du tout envie de me parler, tant pis. Je vais essayer de faire connaissance avec elle, faut bien que j'essaye, de toute façon qu'est-ce que je risque ? A part continuer ma route seul pour le moment. J'aillais la suivre et parler un peu avec elle jusqu'à ce que j'entende des grognements dans mon dos. Elle aussi les a entendus, en même temps comment ne pas les entendre. J'ai été surpris quand elle m'a prit par le poignet mais j'ai couru avec elle, non je ne veux pas mourir.
Arrivé vers des maisons, nous entrons dans une d'entre elles. J'entre après elle sans faire un bruit, il y en a peut être à l'intérieur aussi. Pendant qu'elle essaye de bloquer la porte, je fais un tour dans les pièces de la maison pour être sûr qu'on est en sécurité ici. Je reviens dans le salon vers elle où les rideaux sont maintenant tous fermés. Je la regarde et l'écoute avant de lui répondre. « Oui, ça serait du suicide de sortir maintenant. »
Je me met à faire le tour du salon pour voir si je pouvais des choses intéressante mais il y en avait pas trop. J'irai faire un tour dans la cuisine après.
Je la vois regarder les photos qui se trouvent sur les meubles, je m'approche d'elle en l'entendant murmurer quelque chose. J'arrive à peu près à savoir ce qu'elle dit. Je regarde les photos puis elle. « Tu crois qu'il y a une chance que tout redevienne comme avant ? .» J'essaye de garder espoir mais c'est pas si simple.