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Joyeuses fêtes à tous !
Tout le Staff vous souhaite de très joyeuses fêtes ! Manger comme des gros, buvez avec modération (hinhinhin) et faîtes des bisous à votre tante sexy pour nous ! <3
[SEMAINE 1] Il y a de l'orage dans l'air Sam 27 Juil - 0:22
Le calme de la cafeteria était bien loin... Le couloirs était rouge, non pas a cause de la peinture mais bien a cause du sang coagulé qui tapissai littéralement les murs. Des morceaux de chairs, un morceau d'une dizaine de centimètre d'intestin, des morceaux de cervelle et même un bras arraché gisait au sol. Un spectacle qui me rappelais brutalement l'Irak et ses putain de bombe a enrichie en uranium appauvrie. La seul différence était l'absence de cadavre. Ce qui était PLUS qu'étrange vus la quantité d’hémoglobine. Quelque portes étaient défoncé et gisait sur le sol, de nombreuses rayures constellais les vitres. Des traces de pas ensanglanté se dirigeais vers la droite. Bien donc ce seras a gauche. Je me retournais pour pousser la porte et faire signe à la jeunette de me suivre. Ses yeux s’agrandir a la vus du sang mais elle ne cria pas, elle se contenta d'examiner le couloir avec un regard horrifié, de mon côté j'arrivais a peut près à garder mon sang froid (après tout ce n'était pas mon premiers bain de sang). Je lui pris la main et la força à me suivre. J'avais du mal a marcher a cause du sang qui me collais au pied, même après avoirs dépassé les quelques mètre sur lequel il s'étalait. Une légère mélodie s'échappait de l'une des chambre "ouverte", elle provenait d'une boite a musique posé sur une table au milieu de la pièce. Merci de rendre l'endroit plus glauque qu'il ne l'ai déjà... L’accueil se trouvait tout au fond, la vitre qui devait en théorie s'élever au dessus du comptoir était en miette, les morceaux de verre à intérieurs, comme si elle avait était brisé de l’extérieur.
- Reste la, si tu aperçois quelque chose ou quelqu'un préviens moi.
Je me baissais et commençais a fouiller les dossiers à la va vite, espérant trouver se qui avait pus pousser une personne (ou plusieurs vus la quantité de sang impressionnante) à agir avec une telle violence. La plus part des dossiers était étalait par terre mais ils ne contenait rien d’intéressant. Peut être dans les tiroirs ? Non rien... excepté un flacon de morphine et une seringue, les tranquillisants d'urgence je suppose. Et bien c'est déjà ça. Je les pris tous les deux puis je refermais le tiroir.
Camé !:
J'espère que ça te conviendra, j'ai fait un peu agir ton perso mais je pouvais pas faire autrement donc si ça te conviens pas préviens moi et je changerais.
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Re: [SEMAINE 1] Il y a de l'orage dans l'air Lun 29 Juil - 12:08
Beurk ! Des zombies.
En entrant dans la psychiatrie, Camélia sut, enfin, elle devina qu'elle allait découvrir quelque chose de, non seulement dégueulasse, mais en plus horrible. Une corruption, une vraie de vraie. Elle le devinait, non pas parce qu'elle était devin, mais bel et bien à cause du liquide rouge qui tapissait les murs autrefois blanc de cette partie de l'hôpital. Fronçant le nez (l'odeur était insoutenable, une senteur de pourri mélangée avec du cadavre) elle avança lentement. La musique douce qui s'élevait d'une chambre à côté ne la rassurait pas, loin de là. Apparemment, pour Raphaël, elle avançait trop lentement. Il lui prit la main pour la guider entre les flaques de sang. Camélia aperçut des traces de pas, elle remarqua qu'ils allait dans la direction opposée. Heureusement. Elle fronça les sourcils : elle venait aussi de remarquait qu'un pied était soit plus grand que l'autre, soit il glissait par terre. Elle opta pour la deuxième solution. Était-ce un docteur qui s'était fait mal ou... pire ? Elle se détourna et vit l'accueil : la vitre qui était censé protéger la personne qui était derrière était brisée en mille morceaux, pas la meilleure protection finalement, le gars qui était dedans avait dû en baver. Voir plus grave, du genre, mourir un peu, vu le sang qui couvrait de nouveau le sol.
- Reste la, si tu aperçois quelque chose ou quelqu'un préviens moi. - Mais oui, c'est ça, comme si j'allais te laisser seul.
En vrai, c'était surtout elle qui ne voulait pas rester seule, mais elle ne se l'avouerait jamais, jamais de la vie. Plutôt mourir. Ce qui arrivera certainement. Elle laissa fouiller son camarade dans les tiroirs et avança sur la pointes des pieds (oui on sait jamais, il y avait peut-être encore quelqu'un de vivant...) et entrant dans la première chambre. Elle se souvint du briquet et referma sa main dessus, pour apporter un peu de réconfort dans son entreprise douteuse. Il n'y avait rien dans la chambre, mais pour paraître utile, elle imita son collègue de la mort et chercha quelque chose dans les tiroirs, sous les couettes... Elle ne trouva rien, sauf un journal qui était par terre, à côté du lit. On aurait dit le journal d'un médecin, mais où était ce médecin ? Sur la page de garde, Camélia lut : Docteur Hartmann, notes et résultats.
Elle lui passa le journal. À la connaissance de Camélia, un médecin ne laissait pas ses notes à la porté de ses patients. Elle décida retourner dans la chambre, pour partir à la recherche du gars, pendant que Blaire examinait le journal. Elle regarda sous le lit et étouffa un cri, elle plaqua sa main sur la bouche, et se retenu pour ne pas vomir. Dans l'ombre, la tête du docteur Hartmann, sans doute, regarda Camélia d'un regard fixe et vide, il était mort. Lentement, en tremblant, elle tendit la main et le sortit de sous le lit, il avait la joue déchirée, les cheveux rouges de sang, sa poitrine était entièrement ouverte, ses poumons déchirés. Il était coupé en deux, et Camélia n'avait pas envie de chercher ses jambes. Sa veste autrefois blanche était imbibée de sang. Elle chercha dans ses poches mais ne trouva rien, à part un malheureux stylo qui ne lui servira à rien sauf pour écrire ce qui lui arrive. Elle mit dans un coin de sa tête de demander à Blaire de lui donner le journal de Hartmann une fois qu'il aurait fini de le lire, il y avait certainement encore de la place à la fin.
codes par shyvana
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Re: [SEMAINE 1] Il y a de l'orage dans l'air Mar 30 Juil - 1:41
Je pris le carnet qu'elle me tandis et l'ouvris. A première vus rien de bien intéressant, il s'agissait simplement de la liste et des symptôme des patients d'un des médecin, mais quelque chose attiras tout de même mon attention. AUCUN des symptôme évoqué n'avait de rapport avec la psychiatrie. Je continuais donc de feuilleter avec un œil de plus en plus curieux les pages. Finalement a la moitié du carnet il mentionna un possible remède au cancer. Il faisait donc partie des médecins concernés ? Il décrivit succinctement l'évolution des patients, de l'injection jusqu’à leur enferment en passant par leur... RÉSURRECTION ?! Non... il avait du se tromper, abusé de la vicodine ou encore simplement devenirs fou pour une quelconque raison. Un mort NE PEUT PAS revivre. Mais d'un autre côté je ne devais rejeter aucune option, si tordus soit elle et après ce que j'avais vus c'était une option presque valable. Mais pour moi les "Zombie" c'est avant tous une bonne occasion de faire peur dans les salles de cinéma. Bien considérons cette option comme possible, la première chose a faire donc c'est éviter tout contact avec les morts ou les "infectés". Les dernières pages écrite était illisible et couverte de sang. Le peu que j'arrivai a déchiffrer parler d'un patient qui avait réussis a forcer la porte de sa chambre.
Je relevais la tête et cherchai Camélia du regard. Elle était accroupie dans une des chambres a côté de...
- Adams ! Recule !!! Je courus vers elle, l'attrapa et la tira en arrière. Tu l'as touché ?! Le mort ! Putain... Il faut désinfecter tes mains ! Viens avec moi !
Je lui attrapas le bras et courus vers les toilettes les plus proches, faisant fi du sang qui recouvrait le sol comme de sirop d'érable dur un pancake. J’ouvris la porte d'un coup de pied, j'allumai l'eau et lui plongea les mains dedans. Je pris le savon et lui frottas énergiquement les mains, elle se laissa faire les yeux écarquillés de surprise. Du bruit ce fit entendre dans le couloir mais je n'y fis pas trop attention, trop concentré sur la protection de la seul personne en qui je pouvais avoirs confiance pour l'instant. Jusqu’à ce que la porte s'ouvre sur un grognement sinistre. Avant de comprendre ce qui ce passais des mains froides m’agrippais les épaules et me tirais lentement vers vers sa bouche qui claquait. Je plaçais mon avant bras sur sa gorge et je poussais pour ne pas m'exposer a ses hachoirs. De mon autre main j'agrippais mon pistolet de détresse, avec un petit peu de chance la chaleur lui crameras le cerveau.
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Re: [SEMAINE 1] Il y a de l'orage dans l'air Mar 30 Juil - 7:50
Beurk ! Des zombies.
- Adams ! Recule !!!
Quoi ? Comment ? Camélia se sentit tirée en arrière par quelqu'un, elle tourna la tête et vit Blaire. Elle soupira de soulagement, mais celui-ci ne dura pas longtemps, il la regardait d'un regard horrifié. Qu'est-ce qu'elle avait encore foiré ?
- Tu l'as touché ?! Le mort ! Putain... Il faut désinfecter tes mains ! Viens avec moi !
Merde, elle n'y avait pas pensé, peut-être qu'il lui a refiler une maladie, pourtant, elle aurait dû savoir. Elle allait se frapper la tête de sa main mais trouva que ce n'était pas très malin. Il la traîna de tout le long du chemin qu'ils avaient pris plus tôt pour l'emmener dans des toilettes et lui lava les mains comme à une enfant de deux ans. Comme si ça ne suffisait pas, Camélia entendit distinctement un bruit. Pas, glisse, pas, glisse... Quelqu'un s'approchait.
- Blaire, je crois que...
Elle ne put finir sa phrase, la porte s'ouvrit sur un grognement qui n'avait rien d'humain. Dommage, elle aurait bien eu besoin d'humanité en ce moment. Quelque chose dut arriver car Blaire la lâcha enfin, elle put se retourner et voir le... truc qui essayait de les atteindre. Elle saisit son briquet et le plaça devant elle, comme si ça allait changé quoi que ce soit. Si elle avait de la dynamite, oui ça pourrait l'aider. Même un déo pourrait l'aider. Mais elle n'avait que ce misérable briquet. Ce petit bout de plastique. Et dans des toilettes, il n'y avait pas grand chose pour l'aider non plus, à part du savon qu'elle pourrait utiliser pour laver le machin. D'ailleurs, c'était quoi, ce truc ? Un humain malade ? Schizophrène ? Ou tout simplement psychopathe ? En tout cas il aimait bien mordre les gens, et Camélia mettrait sa main à couper que c'est ce con qui a tué le pauvre docteur Hartmann, et bientôt, ce seront eux les prochain sur la liste.
codes par shyvana
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Re: [SEMAINE 1] Il y a de l'orage dans l'air Mer 31 Juil - 1:59
Je lui ai asséné de multiples coups de crosse à la tête dans l'espoir qu'il me lâche mais ça semblai être peine perdus. Surtout quand je vis que la crosse de l'arme commençais à se fendre, il était évident qu'elle se briserait avant le crane de notre ami. Au vus du peu de chose que je savais sur les revenants le meilleur moyen de ce débarrasser d'eux c'était de leur détruire le crane. Mon calibre 4 bien ancré dans ma main je lui enfonçai le canon dans l’œil et vrilla pour l'enfoncer un peu plus profondément puis je pressai la détente. Le recule retira l'arme de son orbite et fis basculer sa tête vers l'arrière, mais ses mains ne se desserrèrent pas a ma grande surprise. On resta dans cette position le temps que la fusée baisse en puissance puis lentement ça tête se réinclina vers l'avant, les flammes qui jaillissait toujours légèrement de son œil me brulèrent le visage. Superficiellement certes, mais la douleur n'en fut pas moins cuisante (sans mauvais jeu de mot). Son visage fus parcouru de quelques spasmes nerveux mais il finit tout de même par me lâcher en s'écroulant lourdement par terre. Comme quoi on peut vraiment tuer avec n'importe quoi... étrangement aucune goute de sang n'avait était projeté de son orifice béant. Et ses multiples blessures ne suintaient pas non plus, comme si le sang avait déjà coagulé a l’intérieur de son corps. J’ouvris la chambre du pistolet et enfonçai une nouvel fusée a l'interieur, on est jamais trop sur puis je le remis a ma ceinture. Je m'approchais ensuite du lavabo, passa un peu d'eau sur mon visage et me laissai tomber par terre, m'adossant a une porte de chiotte.
- Deux seconde... je ne te demande que deux seconde s'il te pait laisse moi le temps de me remettre. Tiens... lis le, c'est assez instructif.
Après tout même si ce n'était encore qu'une gamine elle avait bien le droit de savoirs, ça vie aussi était en jeu. Je comptais fermer les yeux juste quelques secondes histoire de faire mentalement le point sur ce que nous devrions tenter de faire mais je crois bien que j'ai fini par m’endormir. C'était plus pour moi ces conneries, je me faisait vieux après tout, la seul chose a laquelle j'aspirai pour le moment c'était a un peu de sommeille ou a défaut un bon repas chaud au moins, je n'avais rien avaler depuis hier soir et mon estomac commençais a crier famine. Après quelques minutes (ou quelques heures) je sentis des petits mains se poser sur mes épaule avant de me secouer avec toute la force qu'elle pouvaient y mettre, le repos attendus n'était de tout évidence pas pour maintenant, on comptais encore sur ma vieille carcasse.
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Re: [SEMAINE 1] Il y a de l'orage dans l'air Jeu 1 Aoû - 11:08
Beurk ! Des zombies.
Le truc était mort. Totalement, complètement mort. Mais Camélia remarqua que Blaire avait eu du mal à se débarrasser de lui, les coups de crosse ne lui faisait ni chaud ni froid. C'est la fusée de détresse qui a eu raison de lui, elle se demandait où son ami a eu cette "arme" si l'on peut dire. Elle était encore son le choc, et ça se voyait : le briquet était toujours tendu devant elle, comme s'il faisait apparaître un bouclier magique. Elle avait peur, elle était terrorisée. Et elle détestait ça. Elle détestait se sentir faible, qu'on lui sauve la vie, qu'elle soit considérée comment une enfant. Bordel, elle savait qu'elle était plus que ça. Elle connait sur le bout des doigts ses qualités. Intelligente. Belle. Et surtout pas faible. Elle n'a jamais eu peur de rien. Mais c'était différent ici, elle se savait mais elle détestait ça tout de même. Son regard se durcit, elle rangea son briquet et laissa Blaire s'approcher du lavabo. Il se rinça le visage et se tourna vers elle. Il avait l'air fatigué, bon, elle imagine que c'est plus trop de son âge de se battre avec des monstres.
- Deux seconde... je ne te demande que deux seconde s'il te pait laisse moi le temps de me remettre. Tiens... lis le, c'est assez instructif.
Il s'assit et ferma les yeux. Camélia le laissa, elle s'empara du journal du docteur Hartmann et lut.
Après une demi-heure, elle avait finit, tout ce qu'elle devait savoir sur le virus, elle le savait. Par cœur. Dans sa poche, elle prit le stylo qu'elle avait découvert sur le docteur. Elle écrit. Du début jusqu'à maintenant. Elle essaya de l'expliquer avec humour, pour se rassurer, car la peur ne l'avait pas quitté pour autant. Il était temps de partir, elle le savait. Elle réfléchit où elle pourrait découvrir une arme. Avec le briquet, elle pourrait faire un lance-flamme, il lui fallait juste un déodorant. Où trouver un déo ? Dans les vestiaires, bien sûr ! Elle se leva d'un coup et secoua Blaire, toute contente.