(feat. Donald Glover)
Prénom : Anoki Nom : Diop Surnom : Andi Sexe : J'suis un bonhomme, t'as vu |
Taille : 1m87 Poids : 90 Âge & DOB : 29 ans & 06 juillet 1996 Nationalité : Américain avec des origines africaines |
Métier / Etudes : Militaire Orientation sexuelle : Caméléon Statut social : Célibataire Ambition : Sauver le monde ? |
Son caractère
Tu es quelqu'un de sérieux, de responsable et d'obéissant. Quand on te donne une mission, tu iras jusqu'à bout pour la mener à bien, faisant fi de tes sentiments, émotions, voire douleurs. L'important est de réussir et de tout faire pour se dépasser. Qu'il s'agisse d'étudier pendant des heures, de rester éveiller des nuits entières ou même d'apprendre à tricoter, si cela t'est imposé et nécessaire, tu le feras. Tu possèdes donc une certaine force d'esprit.
Tu ne laisseras jamais derrière quelqu'un dont tu es proche. Les autres, tu t'en contrefiches et serais prêt à t'en séparer sans une once de remords. Toutefois, quand tu t'attaches à quelqu'un, tu t'y accroches. Tu le feras passer avant le reste, quitte à parfois insister, t'énerver, manquer de tact. L'important est de garder ceux que tu apprécies en vie et dans la meilleure santé possible.
Toutefois, tu ne t'attaches que rarement aux gens. Il faut que tu leur trouves un intérêt concret. Il doit avoir quelque chose à t'apprendre ou quelque chose que tu peux lui apprendre.
De ce fait, tu n'es pas réellement impliqué dans les relations amoureuses qui, à tes yeux, ne sont que sources de tracas.
Tu fais parfois preuve d'une certaine nonchalance, voire d'indifférence. Ce n'est pas que tu ne ressens rien. Tu refuses simplement de laisser tes émotions intervenir et te dicter ta conduite. Tu préfères tenter de réfléchir, de calculer les risques, avant de te lancer. Seuls tes proches ou une incompréhension profonde et agaçante te font déroger à cette règle.
Tu es quelqu'un d'assez cru. Tu dis les choses comme tu les penses et ne pourrais clairement pas tenir le rôle d'un médiateur. Cela peut facilement agacer tes interlocuteurs et, de fait, en arriver aux mains. Toutefois, il ne t'a jamais paru pertinent de te retenir de dire les choses.
Son physique
Ton visage est relativement allongé, te donnant l'impression que ton menton forme un triangle. Ta barbe et ta moustache, souvent de trois jours, soulignent tes pommettes, qui ont une tendance à être très marquées lorsque tu souris. Ton nez t'impressionne ; grand et plat, il t'a parfois donné envie d'imiter toutes ses donzelles superficielles qui déboursent des sommes impressionnantes pour modifier leur apparence. Heureusement, tu n'as jamais eu l'argent ou le temps nécessaires à une telle modification. Tes yeux, noirs, sont soulignés par des cils assez allongés et des sourcils que tu qualifierais de proéminents. Ton front paraît relativement long, notamment quand l'envie te prend de redresser ta tignasse composée exclusivement de poils de moutons australiens...
Ton visage est particulièrement expressif. Il t'est donc difficile de cacher tes émotions, ce qui t'a souvent valu des moqueries de tes collègues ou des remontrances de ton père. Clairement, le pokerface n'est pas pour toi. S'il est de plus en plus fermé depuis la fin du monde, ton visage s'illumine encore parfois. Tes sourcils sont régulièrement haussés et une petite moue d'incompréhension se dessine régulièrement en plein milieu de ta figure.
Tes épaules sont larges. Ton corps est relativement musclé. D'ailleurs, ton poids s'explique par tes heures d'entraînement. Tu as toujours privilégié la salle de sport aux salles de restauration. Tes jambes sont allongées, ce qui te permet de te déplacer assez vite. Toutefois, ta carrure t'empêche d'avoir de réels bons réflexes. Tu ressembles donc souvent à un porcelet tentant d'être gracieux quand il te faut escalader quelque chose ou faire preuve de souplesse.
Trois choses font partie de toi : ta boucle à l'oreille droite, ton tatouage sur l'épaule gauche et tes habits de militaire. Ils sont une seconde peau, une seconde nature. De fait, dès que tu ne les portes pas, tu te moques totalement de ton image. Tu possédais, avant l'épidémie, une certaine garde-robe, mais n'as jamais pris soin de ton apparence. Tu récupérais le premier tee-shirt, le premier jean et les premiers sous-vêtements du tas. Tu n'as donc jamais paru très beau ou très charmant aux gens. Aujourd'hui, tu te contentes de ce que tu peux trouver qui peut t'aller un minimum.
Ses compétences
Ta formation te permet de maîtriser relativement aisément les armes à feu. Tu y as été entraîné des mois, voire des années. Elles ne te posent donc que peu de problème. La seule chose dont tu auras peut-être besoin, c'est d'un temps pour adapter la visée au poids et à la portée de l'arme.
Tu es capable de te battre correctement au corps-à-corps, là encore, grâce à ta formation, mais tu préfères clairement pouvoir attaquer à distance. Le risque te paraît bien moins élevé.
Tu as un certain sens de l'observation, notamment parce qu'on t'a appris qu'il était important de pouvoir repérer facilement l'ennemi.
Tu connais également quelques rudiments de cuisine. Tu ne pourrais clairement pas être cuisinier dans un restaurant – non pas que cela soit encore utile aujourd'hui – mais tu es capable de t'en sortir à peu près.
Tu n'es clairement pas un fin bricoleur mais tu pourrais créer des objets utiles. Certes, ceux-ci céderont certainement bien vite mais ils pourraient peut-être te donner un délai afin d'être plus rapidement en sécurité.
A l'inverse, plusieurs compétences importantes te manquent.
Les armes de jet et de tir ne te correspondent pas réellement. Tu n'y as surtout jamais été réellement confronté. Elles pourraient donc te poser un réel problème si tu n'avais que cela en main.
Tu es incapable de fuir devant un opposant quelconque. On t'a appris à régler immédiatement les différents problèmes et principalement avec les poings. De fait, tu n'es ni fin médiateur ni potentiel diplomate. Il ne faut clairement pas compter sur toi pour régler pacifiquement une situation de crise.
La médecine t'est totalement inconnue. Tu serais peut-être capable de faire un garrot, de mettre un petit pansement sur un bobo ou de prendre un doliprane, mais tes connaissances s'arrêtent là.
L'idée de voler qui que ce soit te paraît absolument incongrue. Tu n'as jamais essayé et tu te serais très certainement fait recevoir par ton père si l'idée t'avait ne serait-ce que traversée l'esprit.
Avant l'épidémie Tu es né à Oakland et y a toujours vécu. Ton père, militaire et extrêmement fier de pouvoir défendre sa patrie, t'a bien fait comprendre dès ton plus jeune âge que tu ferais ce métier plus tard si tu ne voulais pas être renié à vie. Ta mère, femme au foyer, a parfois tenté de le raisonner mais elle n'y est jamais parvenue, souvent rabaissée par cette figure stricte, voire injuste.
Ton éducation n'est pas des plus simples. Ton père refuse de te laisser être un enfant et t'apprend à sa façon ce qu'il estime être les rudiments de la vie. Tu décides donc bien vite d'être le petit garçon docile et obéissant qu'il te somme de devenir. Tu es sage à la maison, travaille bien à l'école et ne sors pas avec tes camarades de classe après les cours. Tu rentres en courant chez toi et apprends à développer des capacités de combat. Ton père t'inscrit à la boxe et te propose de t'apprendre à tirer relativement tôt. Trop tôt aux yeux de ta mère qui n'aura cependant pas le dernier mot.
Tu as huit ans. Ton père est en service à l'étranger et ta mère commence à aller mal. Tu ne sais pas ce qui lui arrive mais les médecins qu'elles voient n'ont pas l'air très heureux. Tu te retrouves donc chez tes grands-parents pendant quelques temps. La vie là-bas ne te satisfait pas. Tu as du temps libre. Tu te fais gronder si tu ne vas pas te promener dans le quartier. Tu as le droit de poser tes pieds sur la table basse et de manger des bonbons avant le repas. Ton monde est dérangé. Tes règles habituelles ne sont plus là. Tu ne parviens pas à t'adapter. Le formatage de ton père a été trop efficace.
Tu as douze ans et tu viens de perdre ta mère. Tu pleures à son enterrement, dans ton costume noir trop grand pour toi. Tu en veux à ton père, à cet homme qui t'a dit que, de toute façon, puisqu'un médecin disait qu'il n'y avait plus rien à faire, c'était comme ça et pas autrement. A ce même homme qui serre violemment sa main sur ton épaule afin de te signifier que tu lui fais honte en ce moment-même, que tu devrais être un homme et cesser de pleurer. Pour la première fois de ta vie, tu te moques de son opinion. A tes yeux, tout est de sa faute ; il n'a pas essayé d'avoir de deuxième avis, il n'a pas essayé de sauver ta mère...
Tu as quatorze ans et tu découvres la joie des camps de redressement. Ton père estime que tu lui mènes la vie dure depuis deux ans et vient de céder. Tu passes donc deux mois entourés de sales gamins, prêt à réapprendre des règles que tu connais déjà. Aux yeux de ton père, ce stage te fait du bien ; il te remet les idées en place.
Tu as dix-huit ans, tu viens de finir le début de tes études et entres en école militaire. La discipline ne te pose aucun problème. Le reste, si. Tu n'apprécies pas de partager un dortoir avec d'autres soldats. Tu ne supportes pas la nourriture artificielle proposée. Tu n'aimes pas les parcours d'adresse censés vous permettre de vous épanouir. Tu ne tolères pas les brimades de tes supérieurs. Toutefois, tu t'accroches et tu évolues. Tu gagnes en maturité ces années-là.
Tu as vingt-cinq et te sens enfin réellement soldat de ton pays. Tu es envoyé à l'étranger pour sauver des villes ravagées par le terrorisme. C'est ta nouvelle mission : abattre les ennemis pour permettre au monde de vivre en paix. Tu as le sourire aux lèvres même si tu as conscience que tu pourrais ne jamais revenir. Avant de partir, ton père t'a pour la première fois exprimé sa fierté. Tu peux donc mourir maintenant, pour ton pays, s'il le faut.
Tu as vingt-huit ans et tu viens d'enterrer ton père, mort par balle. Tu ne sais pas réellement ce qui lui est arrivé et tu n'en as que faire. Tout ce qui importe à tes yeux est que le cercueil rempli devant tes yeux est celui de l'homme que tu as craint et aimé pendant toutes ses années. Tu tentes de garder la tête haute, pour lui faire honneur, mais tu t'écroules rapidement, en larmes. Tu ne sais pas ce que tu dois dire ou faire de ta vie. L'armée t'accorde une permission. Tu restes donc à Oakland.
Tu es rappelé en février 2025. Apparemment, ton pays a besoin de toi... |
Après l'épidémie Premières semaines : Tu suis ton unité et ses divers déploiements, tentant d'abord de maintenir une certaine sécurité autour de l'hôpital avant d'être envoyé créer des barrages entre les diverses zones de la ville.
Tu vois la majorité de ton équipe tomber, dévorée par des zombies, le 9 mars 2025, quand le barrage entre Oakland Downtown et Oakland West rend l'âme. Si quelques collègues choisissent d'abandonner leur mission pour rejoindre leur famille ou simplement tenter de survivre seuls, tu n'y perçois aucun intérêt et décides de rejoindre les militaires au niveau du barrage suivant. La route te semble bien longue mais l'arrivée parmi les tiens te redonne le sourire. Tu t'en es finalement sorti.
Mi-mars : Tuer des vivants ne te semble pas être la meilleure solution, mais ce sont les ordres alors tu les suis. Les civils tentent de répliquer mais ils sont clairement moins bien préparés que toi. Une balle en pleine tête ne pardonne jamais. Tu détournes les yeux chaque fois, après avoir visé, afin de ne pas voir l'impact, la coulée de sang, le regard soudain vide, mais tu sais que tu n'as pas raté ta cible. Tu le sais car tu as été formé pour cela.
31 mars 2025 : L'ordre est donné de quitter la zone. Tes camarades et toi vous déplacez donc. Tu regardes le paysage de la ville disparaître de plus en plus à mesure que vous avancez. Pour le meilleur, a priori, quand tu constates la masse impressionnante de ressuscités qui peuple ton ancien territoire. Il est temps de tourner la page et de trouver une solution, une vraie solution, pas celle qui a été proposée jusqu'à maintenant. Une solution par laquelle vous aurez à sauver les humains et non à les éliminer un par un.
Juin 2025 : Vous êtes maintenant installés depuis un certain temps. Les jours te semblent bien monotones et tu ne sais pas ce que tu dois penser de ce qui fait maintenant partie de ton quotidien. Tu soupires en tirant une taffe sur l'une de tes dernières cigarettes. Les ordres te paraissent incohérents parfois, mais tu n'as de toute façon pas ton mot à dire. Peut-être aurais-tu dû partir en même temps que tes anciens collègues. C'est trop tard maintenant...
Fin juin 2025 : Du haut de ton perchoir, tu observes cet homme passer. Un grand brun. Il fera donc, lui aussi, partie de ta nouvelle mission. Tu secoues la tête et expires violemment. Non, vraiment, ce n'est pas la vie que tu imaginais.
Juillet 2025 : Tu es parti. Ou plutôt, vous êtes partis, toi et le grand brun, Finley. Il n'est pas en très bon état, mais rien de mal n'a réellement pu lui arriver. Il t'a touché et intrigué, ce mec qui ne cessait de demander où étaient ses amis. Alors, il t'a fallu savoir, découvrir, ce qu'il pouvait y avoir de si bien dehors pour qu'un homme dans sa situation s'inquiète pour l'extérieur et non pour sa propre survie.
Août 2025 : Ton quotidien est rythmé par les fouilles, les cachettes et une certaine monotonie. Tu es déjà lassé de ce train de vie. Pourtant, ton nouveau camarade ne se démonte pas. Malgré son état, il insiste et insiste encore, tentant sans relâche d'avancer vers les siens ou, du moins, vers un semblant de refuge. |
Les groupes
Groupe souhaité : Grunts Killer. Anoki a décidé qu'il suivrait Finley partout où il ira. Ce dernier a manifestement des choses à lui apprendre. De fait, puisqu'il veut rejoindre les Grunts, Anoki les rejoindra aussi.
Rôle dans le groupe : Au vu de son passif de militaire, Anoki peut aussi bien devenir "Gros bras" que "Maître d'armes" dans ce groupe. Jouer les durs ou tenter d'aider les autres à
devenir un peu plus utile se défendre lui convient. Il acceptera de toute façon la mission qu'on lui confiera et tentera de la faire au mieux.
Opinion du groupe: Anoki n'a aucune opinion sur ce groupe. Ce sont des humains sans défense entourés par des créatures monstrueuses qu'il faut abattre. Leur façon de se comporter par rapport aux autres groupes ne le choque clairement pas.
Autres groupes: Humanity : Il a absolument le même avis sur eux que sur les Grunts, si ce n'est que Finley n'a pas choisi de les rejoindre pour le moment. De fait, ils l'intéressent un peu moins.
Solitaires : Anoki les trouve à la fois plus malins et plus crétins que les autres. Se défendre tout seul contre les zombies lui parait plus simple, moins risqué. Toutefois, si les solitaires tombent sur des humains, le danger est bien plus grand – il en sait quelque chose.
Zone 51 : Anoki se force à ne pas penser à cette zone pour le moment.