William - Je n'suis pas un héros
Dim 4 Mai - 19:29
CARTE D’IDENTITE
Prénom : William
Nom : Hawke
Surnom: Will ?
Sexe : Masculin
Taille : 1m85
Poids : 71 kg
Âge : 30 ans
Nationalité : Américaine
ET À PART ÇA…
Tu ressembles à quoi ?
William mesure 1m85 pour 71 kg. Autant vous dire qu'il n'est pas très épais. Depuis tout petit il est comme ça et si vous voulez mon avis, ce n'est pas près de changer. Il n'aime pas trop manger, alors il n'a jamais pris de poids.
Hormis son allure de cure-pipe, ce qu'on remarque chez lui ce sont ses cheveux. Roux, longs et plus ou moins en bataille, ils ont été le grand dam de sa mère autant que sa marque de fabrique. Sa barbe habille le bas de son visage de la même couleur flamboyante. Il la laisse plus ou moins pousser, surtout en fonction de s'il peut se raser ou non.
Voilà pour son corps. Pour ce qui est de son visage, William a de grands yeux verts. Il paraît qu'il ne sait pas mentir parce que ses yeux le trahissent tout le temps, mais il n'a jamais compris pourquoi. Il a essayé devant un miroir pourtant... Mais bon. En vrai, ça peut avoir l'air un peu bizarre au début, mais ceux qui le fréquentent un peu ont, à la place de paroles, un livre ouvert sur ce qu'il ressent. Comme si son corps le forçait à s'exprimer un minimum. Je vous passerai les détails sur son nez et sa bouche, parce qu'ils sont parfaitement banals... Ses joues, elles, sont plutôt creuses. Roux comme il est, personne n'a jamais compris pourquoi il n'avait pas de tâches de rousseur. D'ailleurs, sa peau est pâle (comment ça, "c'est normal il est roux" ?) et ne bronze pas (pas de commentaire).
J’parie que t’as une cervelle de moineau !
Bon. On va commencer par le côté déplaisant de la chose, soit les défauts de William. Je vais parler pour lui parce que si vous l'attendez, vous allez attendre longtemps. Ce n'est même pas qu'il est timide, c'est pire. C'est le genre de mec qui ne placera pas un mot si personne ne le secoue. Il écoute mais il a toujours l'impression qu'ajouter quelque chose ne servirait à rien. Du coup, il a très peu d'amis. Il n'évite pas les gens mais personne ne sait, du coup, ce qu'il pense vraiment. Alors on ne prend pas la peine de revenir le voir. C'est bête parce qu'il aimerait bien que plus que trois personnes l'apprécient sans vouloir le changer. Même ses parents ont toujours voulu le forcer à parler.
Il a quand même quelques amis, ou du moins il apprécie quelques personnes. Avec eux, il parle un peu plus et il sait même être drôle. Il est plutôt protecteur, attentionné. Il essaie de les rendre heureux, du plus qu'il peut. C'est qu'avec leur mode de vie, ils ont besoin de se serrer les coudes... Ou peut-être qu'il a besoin de croire qu'il est important pour eux. Il n'y réfléchit pas beaucoup de toute façon, il agirait comme ça quoi qu'il arrive. Vous le savez pas encore, mais il a une fille. Ce qui implique qu'il a déjà eu des rapports avec une fille. Et ouais. Quand il veut, il arrive même à faire un peu de charme.
A part ça, il paraît qu'il est un peu trop sensible. En fait, c'est juste que la mort l'angoisse, le dégoûte un peu. Alors il évite les combats. Mais je vous vois venir d'ici, il n'est pas lâche ou peureux, c'est différent. Pour lui, la vie est quelque chose de précieux, alors prendre celle de quelqu'un ou quelque chose, c'est difficile. C'est un des principes que ses parents lui ont inculqué. Il essaiera de faire de même avec son enfant. Mais pour le moment, il cherche juste à la protéger physiquement et psychologiquement. Pauvre petite.
Et ne joue pas du violon...
Acte I. Petit matin de mai 1985, à San Francisco. C'était un tout petit bébé que Jane et Anthony Hawke avaient longtemps attendu. Il n'avait pas encore de frère ou de soeur, seulement ses parents pour lui tout seul. Ses parents, mariés par amour, habitaient une petite maison qu'ils avaient réussi à rendre confortable. Ils n'avaient pas beaucoup d'argent mais arrivaient bien à faire vivre trois personnes. Ils étaient commerçant, une petite boutique de fleurs. Jane créait de jolis bouquets, et Anthony s'occupait de la gestion.
Acte II. Six ans plus tard. La famille est attablée dans le salon d'Anthony et Jane. William aide autant qu'il peut sa mère à apporter les plats qu'elle a passé la journée à préparer. Sa petite tête rousse cavale dans toute la maison. Il y a aussi une petite chaise où un enfant de deux ans est assis. Il s'appelle Raphaël et c'est le petit frère de William. Quand tout est prêt, il finit par prendre place entre sa tante et son père. Tout se passait bien jusqu'à ce que Roger, le frère d'Anthony, aie une remarque un peu (beaucoup) déplacée. Le petit Will ne comprend pas tout mais il comprend que ce n'est pas quelque chose de très gentil. Comme quoi Jane aurait trompé son mari pour avoir un enfant avec une allure aussi différente que celle de tous les autres. Il ne savait pas ce que ça signifiait, d'être différent de sa famille. Anthony riait avec son frère. Et Jane ne trouvait pas ça drôle du tout. Elle était partie s'isoler dans la cuisine et elle avait crié sur son fils quand il était venu la voir. Elle lui avait bien expliqué ce que c'était, d'être bizarre. Il avait envie de lui dire que ce n'était que ses cheveux et qu'il voulait bien les couper si ce n'était que ça. Mais elle n'avait rien écouté et il avait du aller au lit.
Acte III. William a maintenant treize ans. Personne n'a arrêté de le charrier sur sa couleur de cheveux, mais il s'y est habitué. Il ne répond plus. D'ailleurs, il ne parle presque plus du tout. En vieillissant, c'est comme s'il avait perdu la parole. Il s'en sert toujours un peu, quand c'est nécessaire seulement. Contrairement à avant, il est beaucoup plus proche de son père que de sa mère. Il a d'ailleurs commencé à lui apprendre à tirer avec une petite arme à feu.
Acte IV. Fin de l'adolescence. En plus de lui apprendre à se battre, Anthony lui a appris à se débrouiller avec les chiffres. Et il se débrouille très bien. William commence à bien aimer ses cheveux et il les laisse pousser. Il a aussi eu sa première petite amie. Il obtient son premier emploi dans le petit commerce d'un ami de ses parents. Il tient les comptes, range toute sa paperasse et surtout, tient compagnie à l'homme.
Comment ça ils se sont tous transformés ?
Morts, transformés... Presque tout l'entourage de Will y est passé. Pour faire court, lorsqu'il est allé voir la maison de ses parents, il n'y avait aucun signe de vie à l'intérieur. Les deux semblaient avoir été abattus en phase de transformation. Une balle dans la tête, simple et efficace. Il était triste bien sûr, mais reconnaissant envers la personne qui avait pris le temps de les achever au lieu de les laisser devenir des... Enfin vous savez. La personne les avait même allongés très dignement sur leur lit.
Pour ce qui est de son frère, il ne sait pas. Vous vous doutez que si je vous dis ça, c'est qu'il est vivant. Mais William, il n'en sait rien. Est-ce qu'il vit, est-ce qu'il est mort, ou est-ce qu'il est entre les deux, aucune idée. Il ne cherche pas à la retrouver, même s'il aimerait retomber sur lui. Il l'aime son frère, mais il ne peut pas se permettre de le chercher.
Pour finir, il y a sa fille. Elle, il ne savait pas qu'elle existait avant. C'est au début de l'épidémie qu'il l'a rencontrée. En fait, il avait couché avec une fille comme ça, un soir, et il n'avait jamais eu de ses nouvelles. Et voilà qu'elle l'appelle, pour lui annoncer qu'il est père depuis presque deux ans. Il était déjà sur le cul mais elle ajouta que sa mère risquait d'être touchée par l'épidémie de zombies qui sévissait dans le quartier de l'hôpital. Alors elle lui a amené le bébé et elle est partie. La petite, elle avait les mêmes yeux que lui. Et elle s'appelait - s'appelle - Rose.
Ah, tu t’en es sorti grâce à ça...
Au cas où vous ne l'auriez pas encore remarqué, William n'a pas vraiment le physique d'un combattant, ni d'un survivant. Avec sa fille en plus, il ne peut pas se permettre de se battre avec tout ce qui passe. Sinon, il se débrouille avec une arme à feu, il sait à peu près tirer. Son plus grand atout, c'est sa discrétion. Il est roux, il est grand, et pourtant, il est capable de disparaître. Ou presque. C'est plus ou moins inné, il n'a jamais vraiment travaillé là dessus. Il file comme ça, il se glisse partout et on ne le remarque pas souvent. Grâce à cela, il est capable de voler quelques petits objets, pas trop surveillés. Mais ça lui a déjà servi pour faire du troc...
Avant que le monde parte en couille ?
Comme je vous l'ai déjà dit, William a récupéré sa fille après le début de l'épidémie. En fait, il ne savait même pas qu'il en avait une, il l'a appris quand on lui a mis dans les bras. Au début, il n'a pas vraiment su quoi en faire. Et puis bon, il n'allait pas la laisser dehors. Quoique d'autres l'auraient peut-être fait. Il n'était même pas sûr qu'elle était réellement sa fille, mais au vu de la couleur de ses cheveux, c'est quand même quelque chose de probable. A part ça, il a couru pour survivre...
DITES NOUS QUI VOUS ÊTES !
Le principal trait de mon caractère ? Loyal.
Ce que j'apprécie le plus chez mes amis ? Ils ne me forcent pas à parler.
Mon principal défaut ? Muet.
Mon occupation préférée ? Dessiner.
Mon rêve de bonheur ? Vivre une vie simple avec une femme et un enfant. Oui oui.
Quel serait mon plus grand malheur ? Perdre ma fille.
Ce que je voudrais être ? Euh.
La couleur que je préfère ? Le vert.
La fleur que j'aime ? Les jonquilles.
Mes héros ? Bono et Batman.
Ce que je déteste par-dessus tout ? Qu'on me fasse parler quand je n'ai rien à dire
Personnages historiques que je méprise le plus ? Mao Zetong.
Ma devise ? J'aime pas les devises.
Mon mot préféré ? Inouï.
Le mot que je déteste ? Croûte.
Le son, le bruit que j'aime ? Le bruit du vent ou celui du feu de bois.
Le son, le bruit que je déteste ? Les os qui cassent, la pluie.
Mon juron, gros mot ou blasphème favori ? Putain.
La plante, l'arbre ou l'animal dans lequel j'aimerais être réincarné ? Un renard.
Si j'étais une épice ? Cannelle
Si j'étais une boisson ? Café
Si j'étais un chiffre ? 6
Si j'étais une citation ? "I don't dare to move, I don't live. Whatever I do is a disaster." Oui, c'est dans Mr Nobody.
Si j'étais un mot ? Inouï
Si j'étais un adjectif ? Fantastique
Si j'étais un verbe ? Vivre
Si j'étais une erreur de jeunesse ? Le coup d'un soir moche le matin
Si j'étais une odeur ? Celle de la pluie
Si j'étais un des 7 péchés capitaux ? La paresse
Si j'étais une forme géométrique ? Un triangle
Si j'étais un tissu ? Le coton
Si j'étais une pierre précieuse ? Le topaze
Si j'étais une combinaison de poker ? Quinte flush, ça sonne bien
Si j'étais un jeu de société ? Le cluedo
(Rajouter "checked", comme ceci : "< INPUT type="radio" name="sauver" checked>" pour sélectionner votre réponse)Je suis dans une maison, et je vois une fillette, seule dans la rue. Des zombies accourent vers elle...
Dans mon groupe de Survivants, je suis celui....
Je dirais que je suis plutôt...
Mon arme préférée est...
Je suis dans ma planque, tous mes compagnons sont de sortis, quand un bruit retenti...
Un de mes compagnons a été mordu et va se réanimer...
ET VOUS SAVEZ FAIRE QUOI ?
Répartissez entre toutes ces compétences 250 Niveaux.
Bricolage : 0/100
Vol: 45/100
Discrétion: 80/100
Scout: 30/100
Vitesse: 30/100
Corps-à-Corps: 5/100
Tir:30/100
Médecine: 30/100
ET EN VRAI ?!
Pseudo : VerteFeuille
Date de naissance : 14/03/1995
Comment êtes-vous arrivez ici ? Dès que je trouve le pseudo de celle qui m'a tirée ici, je vous le dis ! Alexander le cuistot o/
Des questions ? Non m'dame !
Personnalité de votre avatar : Domhnall -ohmondieujel'aimeilestsimignon- Gleeson