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| Valerian K. Toulganine - V'là que nous arrive un train plein de Beretta et de Browning Ven 18 Avr - 18:09 CARTE D’IDENTITE Prénom : Valerian Konstantinovitch Nom : Toulganine Surnom: Tool' Sexe : Mâle Taille : 1 mètre 86 Poids : 83 kilos Âge : 45 ans Nationalité : Russe ET À PART ÇA… Tu ressembles à quoi ? Grand et assez bien bâti, sans doute de part ses origines lointaines. Son plus grand problème est qu'il est depuis assez longtemps maintenant, négligé envers lui-même : Il ne prends plus la peine de se raser complètement, il préfère laisser un collier assez dense de plusieurs semaines avant de reprendre le même rituel. Il laisse délibérement pousser ses cheveux, ne s'occupant que de couper les pointes quand elles le gênent. Un regard sévère surmonté de sourcis, donnant à son expression facile un air froid. Des cernes sous les yeux, à cause de son insomnie chronique et l'angoise de la page blanche.
Des ronces... Enfin un tatouage plutôt. Un tatouage qui représente des ronces, qui se promènent de son omoplate gauche jusqu'à son muscle pectoral. Vestimentairement parlant, souvent habillé avec des couleurs sombres, tirant vers le rouge, brun ou noir. Rarement habillé de façon classieuse, ne prenant plus la peine de mettre ses vêtements pour les grandes occasions, car il sait qu'il n'en a plus l'utilité depuis qu'aucun éditeur ne fait appel à lui. J’parie que t’as une cervelle de moineau ! Forte personnalité, un peu grande gueule sur les bords doublé d'une volonté de prendre l'ascendant sur l'autre de manière inconscient, le plus souvent. Tempérament à l'emporte pièce, passionné et énergique. Déteste la stupidité et la vantardise, aime faire valoir son point de vue autant que possible : De la manière douce, couverte ou avec fermeté. Valerian est actuellement tombé dans une dépression à cause de son boulot qui le mène nulle part. Il a de multiples projets en cours, mais rien n'aboutit. Il s'emporte, s'énerve et s'enferme souvent dans une prostration silencieuse. Ses crises d'angoisses ont fait surgir de l'insomnie ainsi que de nombreuses migraines, qui le rendent encore plus taciturne et renfermé, victime de colère pour un rien.
Outre cet aspect, il fut un temps où Valerian aimait montrer qu'il écrivait dans un but : Plus de justice et d'égalité dans ce monde. Il s'est battu pour ça, mais à fini par devenir un cynique qui n'a guère d'illusion sur ce qu'est devenu le monde et la société en générale. Cela le conforte dans son étant psychologique, cherchant de plus en plus à trouver des réponses par et pour lui-même uniquement. Et ne joue pas du violon... La Russie c'est loin. C'est pourtant là qu'il est né en 1969. C'était encore l'URSS à l'époque, ses parents étaient des commercants et il a vécu dans un confort assez relatif. Il a cru comme beucoup durant ces vertes années, qu'il était possible de pouvoir construire une société nouvelle, qu'importe le nom qu'on lui donnait. Il s'est donné à fond dans ses études, pour pouvoir se donner un avenir : Intéresser par les arts et surtout par l'écriture, il voulait vers 14/15 ans, donner un nouveau souffle à la littérature russe. Valerian a participé à toutes les organisations et tous les mouvements possibles à l'intérieur de son pays, pour donner un sens à son idéal. Comme on le sait désormais, tout s'est écroulé en 1991. A 22 ans, il doit vivre désormais dans un pays où la protection sociale et la misère ne fait qu'augmenter.
Il perd ses parents dans ces années là, devant vivre de petits-boulots pour pouvoir vivre, ou plutôt survivre à cette nouvelle période spéciale de sa vie. Il est passé par tous les boulots possibles, allant jusqu'à balayer dans les rues pour devoir se payer ses études. Il n'avait pas oublié que le but principal qu'il s'était fixé, était de devenir écrivain, produire quelque chose de nouveau, de radicalement neuf. Malgré cela, il ne réussit pas à pouvoir percer dans son pays, après l'obtention de ses premiers contrats avec des éditeurs. Ses ouvrages étaient qualifiés de trop "nostalgiques" et "irrél". Désabusé par la tournure des choses, il décidé d'émigrer de son plein gré, pour découvrir l'Europe dans un périplus de cinq années. N'ayant aucune envie de retourner dans on pays d'origine, Valerian décida d'aller vers le "coeur de la bête" et de se fixer aux Etats-Unis. C'est là que la chance commence à sourire pour lui : Localement il commençait à se faire un nom, écrivant plusieurs petits ouvrages d'anticipation sociale, qui lui rapportèrent de quoi pouvoir vivre enfin dignement et non plus devoir faire des sacrifices énormes pour pas grand chose.
Comme à chaque fois dans sa vie, un tournant radical s'opère : Alors qu'il passe une soirée dans un bar, il se retrouve dans une bagarre et blesse mortellement un individu qui heureusement, se remettra de ses blessures. Il passa quelques mois en prisons, pensant que cette nouvelle notoriété gagné lui permettrait de se faire connaître. Ce fut le contraire qui se passa. A cause de cet incident, son estime sembla baisser et ses éditeurs refusèrent de continuer à soutenir un écrivain qui avait fait de la prison pour une vulgaire bagarre dans un bar, en manquant de tuer quelqu'un. C'était la dégringolade : Plus d'inspiration, le whisky, les call girls... La fin du rêve américain et le début de la gueule de bois. Comment ça ils se sont tous transformés ? Valerian n'a pas de famille ici, ses deux frères sont restés au pays. Son petit cercle d'amis a vite fondu comme neige depuis qu'il a été jugé comme pestiféré après son affaire. Souvent solitaire, il a adopté cette posture de défense et de vie, qui lui va très bien. Son axiome de vie repose désormais sur "Tant que personne ne me marche sur dessus, je promet de ne pas faire l'inverse". Ses rares fréquentations se résument désormais à quelques poivrots dans les bars et des filles faciles. Le néant quoi pour faire simple, rien de bien sérieux. Ah, tu t’en es sorti grâce à ça... L'instinct de survie et de préservation. Valerian a compris que être au fond du trou, c'était la seule sensation de liberté qui vallait d'être vécu. A partir de ce moment là, il suffit de donner le maximum pour être rigoureux avec soi même pour ne pas faire n'importe quoi. Une sorte d'abnégation et un refus de l'absurde, car l'absurde composait déjà sa vie et son quotidien. Ce fut comme un déclic : Etre une épave n'allait certainement pas l'aider et tant que la vie normale suivait son cours, tout ceci avait en effet un sens. A partir du moment où tout s'est subitement cassé la gueule, ça a volé en éclat comme si une bourrasque de vent s'était pointé pour faire le ménage. Ce qui l'a sauvé de tout ça, c'est une révolte contre l'absurde et le vide de l'existence mise bout à bout. Avec ça, il pourrait même se fabriquer des ailes pour voler...
Avant que le monde parte en couille ? La routine : Souffrant d'insomnie depuis quelques mois et de migraines atroces, il était allez voir à l'hôpital si il était possible de pouvoir le soigner de son insomnie chronique et lui prescrire de quoi combattre efficacement ses douleurs au crâne. Evidemment, rien pour son insomnie mais quelques boîtes de médocs pour faire passer ses maux de têtes. A partir de là... Il s'est rendu compte qu'il se passait quelque chose en ville. Mais quand t'as un mal de crâne jusque dans les cheveux et une gueule de bois, tu mets du temps pour que ça arrive à ton cerveau et que ça soit analysé correctement. DITES NOUS QUI VOUS ÊTES ! Le principal trait de mon caractère ? Passionné Ce que j'apprécie le plus chez mes amis ? L'honnêteté Mon principal défaut ? Impulsif Mon occupation préférée ? Ecrire tout et n'importe quoi Mon rêve de bonheur ? Une plage de sable fin et un verre de rhum Quel serait mon plus grand malheur ? Finir handicapé physiquement Ce que je voudrais être ? Un écrivain bien dans sa peau La couleur que je préfère ? Le Rouge La fleur que j'aime ? Les Orchidées Mes héros ? Batman & Lénine Ce que je déteste par-dessus tout ? La stupidité Personnages historiques que je méprise le plus ? Gandhi, Lincoln et Thiers Ma devise ? "Demain c'est loin" Mon mot préféré ? Conviction Le mot que je déteste ? Résignation Le son, le bruit que j'aime ? Unverre qui se rempli d'alcool Le son, le bruit que je déteste ? Des talons hauts Mon juron, gros mot ou blasphème favori ? Bozhe moi ! La plante, l'arbre ou l'animal dans lequel j'aimerais être réincarné ? Un chat, pour rien foutre
Si j'étais une épice ? Du câpre Si j'étais une boisson ? De l'absinthe Si j'étais un chiffre ? Le numéro 0 Si j'étais une citation ? « J'aime ceux qui n'ont en partage que leur rage et leur dégoût. Ceux-là n'ont pas besoin d'espoir pour se battre. J'aime ceux qui habillent leur rage et leur dégoût du manteau glacé de la raison. Ceux-là n'ont pas besoin de chance pour l'emporter. J'aime ceux qui vêtent la raison des fleurs éparpillées de leurs rêves. Ceux-là n'ont pas besoin de dieux pour bâtir. J'ai assez des cruautés que j'ai vues, des bêtises auxquelles j'ai assisté, des tristesses qui ont passé près de moi, pour savoir que le monde est mal fait, et je le lui dirai, au premier jour, à coups de fusil... Pas d'enthousiasme de commande, non ! Mais la fièvre du bien et l'amour du combat ! » Jules Vallès (Elle est longue, mais voilà !) Si j'étais un mot ? Cicatrice Si j'étais un adjectif ? Mortel Si j'étais un verbe ? Trancher Si j'étais une erreur de jeunesse ? Un tatouage dérangeant Si j'étais une odeur ? Du soufre Si j'étais un des 7 péchés capitaux ? La Luxure Si j'étais une forme géométrique ? Une Alvéole Si j'étais un tissu ? Du Madras Si j'étais une pierre précieuse ? Le Topaze Si j'étais une combinaison de poker ? Une Paire Si j'étais un jeu de société ? Un Jeu d'Echecs
[/size]Je suis dans une maison, et je vois une fillette, seule dans la rue. Des zombies accourent vers elle... Dans mon groupe de Survivants, je suis celui.... Je dirais que je suis plutôt... Mon arme préférée est... Je suis seul dans ma planque, tous mes compagnons sont de sortis, quand un bruit retenti... Un de mes compagnons a été mordu et va se réanimer... DITES NOUS AUSSI CE QUE VOUS SAVEZ FAIRE ! Répartissez entre toutes ces compétences 250 Niveaux. Bricolage : 40/100 Vol: 30/100 Discrétion: 35/100 Scout: 25/100 Vitesse: 30/100 Corps-à-Corps: 40/100 Tir: 20/100 Médecine: 30/100 ET EN VRAI ?! Pseudo : Koba Date de naissance : 28.04.91 Comment êtes-vous arrivez ici ? Annuaire des forums Des questions ? C'est quand qu'on mange ? Personnalité de votre avatar : Jim Carrey ma gueule ! |
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| Re: Valerian K. Toulganine - V'là que nous arrive un train plein de Beretta et de Browning Ven 18 Avr - 18:12 Bienvenu monsieur! |
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| Re: Valerian K. Toulganine - V'là que nous arrive un train plein de Beretta et de Browning Ven 18 Avr - 22:52 On mange quand tu veux du moment que c'est pas nous le repas mon gars ! Bienvenue en enfer |
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| Re: Valerian K. Toulganine - V'là que nous arrive un train plein de Beretta et de Browning Ven 18 Avr - 23:38 Bienvenue, l'écrivain torturé russe ! Je te conseille de commencer à RP en semaine deux, de préférence en milieu de semaine. En effet, une ellipse aura bientôt lieu, nous faisant passer de la semaine deux à la semaine cinq. Celle-ci prendra place au début du mois prochain, ce qui nous laisse peu de temps pour terminer les RP de la deuxième semaine. Donc je pense que la meilleure des choses à faire, c'est de penser à ce qui est arrivé à ton personnage les premiers jours et de le détailler dans ton premier RP. Ca t'évitera d'être stressé / décalé. :3 Voilà ! Te voici validé(e) ! Les Durs sous la Dent ~ Bravo, vous êtes un Dur sous la Dent ! Vous êtes difficile à attraper, un peu hargneux et vous éclatez des zombies tous les matins. Ils ont tous peur de vous, zombies et humains confondus !
La première arme que tu trouveras en Rp (tu la trouves où tu veux et quand tu veux) sera ... un talon aiguille (20 cm ! Même quand on est pas fan de ce genre de chose, ça peut faire mal !)
Tu as donc à ton inventaire : - 1 Talon aiguille - 3 unités de nourriture - 2 unités de médicament |
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| Re: Valerian K. Toulganine - V'là que nous arrive un train plein de Beretta et de Browning Sam 19 Avr - 0:14 Bien bien bien, c'est noté. Je vais faire toussa toussa. Merci pour votre accueil également. |
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| Re: Valerian K. Toulganine - V'là que nous arrive un train plein de Beretta et de Browning Sam 19 Avr - 1:58 Un nouveauuuuuuuuuuuuu Damn, j'aime ton personnage Bienvenue compagnon, si t'as des questions, ma boîte MP est ouverte. |
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| Re: Valerian K. Toulganine - V'là que nous arrive un train plein de Beretta et de Browning Sam 19 Avr - 10:06 Bienvenue !! :yiiiiha: |
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Maximilian Carlton Chef incontestée psychorigide Survival Coins : 109 Age : 34
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| Re: Valerian K. Toulganine - V'là que nous arrive un train plein de Beretta et de Browning Sam 19 Avr - 15:24 BIENVENUUUUUUE :niahou: J'ai tellement RI devant l'une de tes phrases : "Comme à chaque fois dans sa vie, un tournant radical s'opère : Alors qu'il passe une soirée dans un bar, il se retrouve dans une bagarre et blesse mortellement un individu qui heureusement, se remettra de ses blessures." Merci beaucoup pour cet éclat de joie XD J'espere que tu te plairas ici ^^ Pour les RPs, Phoenix Tiers vient de se faire abandonner par son partenaire (mais la personne qui le joue n'est pas là du week end ^^), ou sinon tu peux également tenter de te joindre à Alice Dean et Ben Black :3 Bon jeu parmi nous ! |
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| Re: Valerian K. Toulganine - V'là que nous arrive un train plein de Beretta et de Browning
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