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| MAE ➳ but now we’re stressed out Mar 12 Avr - 12:38 Maelys Ivanov (feat. Luca Hollestelle) Le personnage Prénom : Maelys Nom : Ivanov Surnom : Mae ou "mais, si tu sais, la meuf un peu relou et grave bizarre, là" Sexe : Féminin |
Taille : 1m65 Poids : 57kg Âge & DOB : 20 ans (même si elle en fait moins la majorité du temps), le 7 novembre. Nationalité : Américaine mais avec des origines plutôt diverses |
Etudes : Informatique Orientation sexuelle : Elle ne se définit pas vraiment Statut social : Classe moyenne Ambition : Survivre, ce serait cool. Etre une héroïne aux yeux des autres, ce serait mieux. |
Son caractère T'es impétueuse, indépendante, une vraie tornade. T'es franche, directe. Pas le temps pour les conventions sociales, après tout. Souvent ton honnêteté se métamorphose rapidement en méchanceté, en violence. Mais tu ne t'excuses jamais, t'aimes pas reconnaître que tu as tort. Tu veux te donner ce petit genre de demoiselle solitaire, bien dans ses baskets, qui n'a ni lois, ni roi, qui n'a pas besoin des autres mais quelques compliments suffisent à t'amadouer. Tu peux te méfier de la personne la plus simple et aimable de la terre et courir vers les déchets de cette société. Certains parlent de tendance à l'auto-destruction. Toi, tu t'en fous. Tu te justifies auprès de toi-même à coup d'arguments bidons. "Non mais j'ai conscience que c'est un connard, c'est juste qu'il m'intrigue". Tu veux juste pas voir les choses en face : t'es influençable. On te met sur un podium et ça y'est on peut te modeler à notre guise. C'est souvent le bordel dans ta tête d'ailleurs, tiraillée entre ta personne et ton sur-moi. A toujours vouloir montrer ta force, t'en oublies tes faiblesses, tu te persuades qu'elles sont passagères, anodines, parfois inexistantes. T'aimes pas qu'on te voit comme un être faible, qu'on cherche à te protéger. Alors juste pour leur prouver que t'es pas ce petit chiot perdu, cette petite chose fragile, tu pousses tes limites davantage, parfois jusqu'à te mettre en danger inutilement. Mais t'es tellement obsédée par ce que l'on peut penser de toi que tu t'en fous. D'ailleurs, t'as tendance à tout sur-interpréter à ce sujet. "Tu veux un coup de main" qui sonne à ton oreille, "tu me sembles fragile, laisse les hommes s'occuper de ça" qui retentit dans ton esprit. Ce qui te donne souvent un air d'hystérique, un air de névrosée à deux doigts de la crise de nerfs. Pourtant quand t'es seule, t'es calme, contemplative, béate, un brin enfantine. Enfin, la majorité du temps. Parfois, une haine étrange se met à bouillir en toi, tu ressasses des évènements du passé, des paroles, des caresses puis ça explose. Tu fais des tours dans un cercle de deux mètres de diamètre en parlant à mi-voix. Tu répètes les mêmes mots en boucle et en boucle, une main sur la tête. Tel un savant fou qui en perd la raison. T'en as fait flipper plus d'un comme ça d'ailleurs. Mais rares sont ceux qui le savent vraiment au final parce que tu ne cherches pas trop à te frotter à une quelconque vie sociale. Parce que, t'as pas besoin des autres, pas vrai? Parce que t'essayes de te convaincre que tout ce que tu fais n'est que pure stratégie, que te sentiments sont incapables d'entraver tes décisions ou ta perception du monde. T'as autant de facettes qu'un dé, autant de facettes qui te font perdre la tête. Au final, tu cherches juste quelque chose qui saura apaiser cet esprit bouillonnant. Quelque chose ou quelqu'un. Son physique Niveau taille, t'es dans la moyenne mais c'est pas pour autant qu'on te prend au sérieux. Parce que, oui, tes parents t'ont fait don d'un visage enfantin, d'un visage qu'on regarde pour rétorquer "oh, elle est mignonne celle-là". Surtout depuis le début de l'épidémie, pas moyen de se maquiller, tu peux facilement faire seize ans aux yeux d'inconnus. Puis c'est pas comme si ta corpulence pouvait t'aider. Ouais, certes t'es pas la plus mince, disons que t'es dans la norme, quelques petites poignées d'amour, un peu de cuisses. Mais t'as l'impression d'avoir encore le corps d'une gamine, pas spécialement de formes. Et puis, avec cette odeur d'apocalypse, ça s'est pas arrangé hein? T'as perdu pas mal, si c'est une nouvelle qui ferait plaisir à certaines personnes, toi tu te retrouves face à une vulnérabilité de plus en plus flagrante face au miroir. Tu complexes pas mal sur ton aspect femme-enfant, tu sais que tu pues la fragilité à des kilomètres alors t'essayes de lutter avec ton regard. Parce que ouais, si chaque parcelle de ton corps semble appeler, hurler des "protégez-moi, je suis une gamine", ton regard, lui, héberge une flamme, une force, une colère. Il héberge ta seule protection face à ce monde hostile. Ses compétences Quand tu vois te faire discrète, t'excelles plutôt bien dans la matière. T'es agile, faut dire, habituée à sortir et rentrer discrètement de chez toi en pleine nuit, à grimper dans les arbres encore aujourd'hui. C'est cette agilité et cette discrétion qui t'ont appris à survivre dans une presque-solitude jusqu'ici. Après, on peut dire que ton impulsivité peut être autant un poids lourd qu'une bouée de sauvetage. Tu réfléchis pas 5 minutes si tu te vois dans l'obligation de sauver ton petit cul. Ton instinct de survie arrive facilement à prendre le dessus. Puis, y'a ta hargne aussi, t'es un tant soit peu musclée mais c'est vrai que tu peux avoir cet aspect faiblarde. Pourtant, suffit d'un peu d'adrénaline et t'es déchaînée. C'est vrai que t'arriveras quand même pas à défoncer un mec d'1m90 baraqué mais ça peut toujours faire la différence si ton adversaire a légèrement l'avantage question morphologie. Sinon, t'as pas grand chose en plus que les autres, c'est sûr, c'est pour ça que depuis le début de l'épidémie, t'essayes de gagner en masse musculaire. Avant l'épidémie T'as grandi dans une famille aimante. Fille unique, t'as toujours été le centre du monde de tes parents, leur unique réussite. Longtemps ça t'a pesé. Tu sais bien qu'au fond, ils voulaient juste mettre toutes les chances de ton côté, te rendre apte à vivre ta petite vie, ce genre de choses. Tu sais qu'au fond, c'était que de la maladresse, que le Mais tu l'as encore au travers de la gorge. "Mae, tiens toi droite." "Voyons, une jeune fille ne dit pas ce genre de choses." "Tu trouveras jamais de mari comme ça." Enfin, ce genre de remarques anodines qui t'ont fait bouillir de l'intérieur. Parce que t'avais ton modèle à côté: ta tante. Une figure forte, indomptable et indépendante. Tu te rappelles des longues conversations entre ta mère et sa soeur. Comment elle criait haut et fort que non, elle ne se plierait pas à ce que veut la société d'elle. Tu te rappelles de vos sourires complices. Tu te rappelles quand elle te prenait à part et te parler. C'était bien la seule d'ailleurs qui te parlait vraiment, qui t'écoutait, qui te considérait pas comme une simple gosse. Ce fut ton modèle très longtemps, celle qui avait allumé la flamme qui t'embrase encore aujourd'hui. C'est elle qui t'a amené à fuguer très jeune loin de ta maison. Mais bon, t'es pas une vraie révolutionnaire, tu trompes personne. Tu revenais souvent quelques semaines plus tard retrouvant tes parents en panique et en larmes. Mais t'étais leur bijou, le centre de leur monde. Jamais , ô grand jamais, ils n'osaient t'engueuler, ils avaient trop peur que tu partes. Ils cherchaient à te gâter, pensant que tu te sentais juste mal aimée. Des engueulades qui perçaient les murs de ta chambre, c'est tout ce que t'as retenu toi. Au final, ça t'étouffait plus qu'autre chose. Tu regrettes parfois de pas t'être contentée d'une discussion entre deux fugues pour leur expliquer tes motivations, pour leur explique c'était le monde qui tournait pas très rond, pas eux. mais la communication ça n'a jamais été ton point fort hein? Surtout qu'en dépit de ton amour pour eux, tu continuais à nourrir cet étrange sentiment que tu aurais pu être tellement mieux s'il t'avait élevée différemment. Tu t'es mise à te détester la nuit et détester le reste du monde le jour. T'étais instable, à pleurer pour un rien, à hurler pour tout. Tes parents, eux, étaient dépassés par la situation. A se blâmer de ton mal-être, à revenir sur des détails. "Ouais, c'est à cause ta soeur tout ça!". Tu voulais ressentir quelque chose face à ce couple qui se déchirait sous tes yeux, tu voulais te blâmer, chialer, t'arracher les cheveux. Mais non. Rien. Tu n'as pas vraiment réagi. Don quand ils ont officiellement annoncé leur divorce, t'as juste annoncé froidement "ok, de toute façon, d'ici la fin de la procédure, je serais en études supérieures, je partirais d'ici". Et c'est ce que t'as fait. T'as entamé des études en informatique, en collocation avec ta tante. Vous n'étiez plus aussi proches que lorsque t'étais enfant mais ça ne te dérangeait pas. Au final, t'as vite compris qu'elle était comme tes parents, à vouloir te bâtir dans le ciment et tu sais que le résultat l'a plutôt déçue. Pendant deux ans d'études, tu t'es confinée au minimum de vie sociale nécessaire à ta survie dans ce monde hostile. T'as étudié. T'as lu. T'as dessiné. |
Après l'épidémie Tu te rappelles très bien comment ça s'est passé. T'as jamais été connectée au monde réel. Tu savais qu'il y avait des problèmes mais c'est tout. Tu savais pas quoi. T'étais même pas au courant de l'avancée de la science. Tu te souviens juste qu'un jour, ta tante n'est pas revenue du boulot. On devait être fin février, par là? Sur le coup tu t'es pas étonnée, elle était prof, il lui arrivait de rentrer tard pour corriger des copies. Puis, bon, il lui arrivait de pas rentrer parce qu'elle avait rencontrer une charmante compagnie. Ce genre de trucs. C'était devenu tellement habituel que tu ne lui envoyais plus de messages quand ça arrivait. C'était un vendredi. T'avais le week-end devant toi pour rester cloîtrée dans votre petit appartement miteux. C'est d'étranges bruits qui t'ont fait sortir de ta torpeur d'ermite. Des cris, des bruits qui témoignaient d'une violence toute particulière. T'as ouvert la porte, pour jeter un coup d'oeil. Parfois tu te demandes ce qui ce serait passé si tu n'avais jamais ouvert la porte. Si tu t'étais contentée de fermer les yeux et de continuer à lire. Parce qu'une fois la porte ouverte, t'étais face à une des scènes les plus marquantes de ta vie. Une jeune fille, tout juste douze ans. Elle semblait empêcher quelqu'un de sortir de l'appartement. Elle hurlait, elle pleurait. Des bruits étranges derrière la porte comme des grognements. un truc inhumain. Sur le coup t'as pas réfléchi, tu t'es pas dit "ouais, c'est peut-être un jeu, je vais pas faire chier mon monde". Mais t'as senti un truc dans le regard de la fille, un truc qui t'a fait tilter. Quand t'es sortie l'air de rien, elle semblait presque étonnée de ton air serein. Juste une milliseconde. T'as vu de l'étonnement. Puis la peur a repris le dessus. T'as pris le parapluie qui trainait depuis des millénaires à côté de ta porte d'entrée.
"Pousse-toi."
Elle s'est écartée rapidement et a couru à l'autre bout du couloir en hurlant. Un truc a émergé de l'appartement en trombe dès que la jeune fille a lâché prise. Ouais un truc. Un truc définitivement pas humain. T'avais jamais usé de violences, t'avais pas de muscles, t'avais rien à part ce parapluie qui te semblait soudainement minuscule dans ta main.Tu ne sais par quelle miracle t'as réussi à bousculer le truc et à t'enfuir en courant auprès de la demoiselle. Tout s'est passé très vite. Vous étiez dans un cul de sac, une chose étrange à votre cul. Une porte était grande ouverte à votre gauche. T'es entrée dedans en l'entraînant , t'as pas réfléchi. T'as fermé tout ce qui était fermable sur cette porte, parce qu'apparemment les proprios étaient plutôt paranos. C'est là que tu t'es retrouvée face à un monde que t'avais oublié. L'appartement était sans dessus dessous. Des cadres par terre. Brisés. Des photos d'un passé heureux. Tu te rappelles que de bribes de votre cloisonnement dans cet appartement. Les bruits qui continuaient à faire rage dehors. Les boîtes de conserve en quantité astronomique. La jeune fille Zoey qui t'expliquait tout ce que tu semblais avoir loupé. En gros, des zombies. Elle sait pas d'où ils viennent. Ses parents qui ne sont pas rentrés depuis trois jours. Le zombie qui s'est retrouvé dans son appart est un pote de son frère avec qui il partageait l'appart. Son frère était parti chercher à bouffer une heure avant l'incident. Tu te rappelles qu'elle enchaînait pleurs et discours remplis d'espoirs. T'écoutais tout ce qu'elle te disait mais ça te paraissait juste surréaliste. Encore aujourd'hui, t'es à côté de la plaque. T'as d'ailleurs pas une minute pensé à tes parents. Tu t'es douté du sort de ta tante mais aucune larme n'a été versée. Peut-être un délire de protection de l'esprit. Au final, comme un film hollywoodien à une fin improbable, le frère est revenu avec deux adultes. Tu sais pas trop au bout de combien de temps, t'avais plus aucune notion du temps. Tu t'imaginais encore aller tranquillement à tes cours. Reprendre cette routine à la con. Ils vous ont sorti de là toutes les deux après que chacun ait trouvé son compte dans l'appartement. Un "merci" et t'as tracé ta route. Les deux adultes ont insisté pour que tu restes en leur compagnie parce que "une jeune fille ne peut se débrouiller toute seule", évidemment ça t'a poussé à leur montrer le contraire. Et peu importe ta sécurité. T'as décidé d'avancer toute seule.
T'as réussi à te débrouiller jusqu'ici en t'éloignant de la ville, en dormant dans les arbres la nuit. T'as survécu à la "chacun pour soi". T'as probablement fait des choses dont tu ,e devrais être pas fière mais t'y penses pas. Tu penses plus. Le peu de fois où tu réfléchis à la situation, t'es à deux doigts d'hurler, de crier. Parfois tu croises d'autres âmes, vous vous aidez le temps d'une petite heure puis tu t'en sépares peu importe à quel point ils insistent et argumentent. Les journées se ressemblent et tu veux pas bousculer cette nouvelle routine. T'as peur de devoir faire confiance puis t'as envie de montrer que tu sais te débrouiller seule.
Depuis quelques jours tu suis et observes de loin un groupe de personnes. Tu seras bientôt à court de bouffe et d'eau et la facilité te tente énormément. Ils ont pas l'air forcément très organisés et méfiants. Mais tu te tâtes dans l'ombre. T'as beau avoir passé le stade de la passivité, de la non-assistance de personnes en danger, t'as encore du mal à t'imaginer arriver au point où tu t'en prends directement aux personnes et à ce qu'elles ont bâti. Mais... une boîte de conserve c'est rien non? |
Les groupes Numéroter dans l'ordre de préférence le groupe que j'aimerais intégrer: [X]Les solitaires — [] Les Tapas Grillées — [] Les Bat People — [] Brigade Puis à qui veut bien de Mae par la suite. SceauDeLaine En bref Prénom : Solenn Age / DOB : 17 ans depuis le 6 janvier, toussa toussa Sexe : VAGINATOR ♀Pays : France Skype : Everybodyneedssomebodytolove (désolée, il est un peu court......) Souhaites-tu être ajouté à notre conversation skype spéciale Tyran-Land ? Seulement si y'a des pistaches! Fréquence de connexions : je suis en vacances d'été donc... bon... 7j/7 pour le moment. Où as-tu connu le forum ? : PRD, c'est Thoma qui a fait l'entremetteur Quelles sont tes attentes vis-à-vis de Tyran-Land ? Que je devienne votre queen, que les filles soient nues, qu'elles se jettent sur moi, qu'elles m'admirent, qu'elles me tuuuuuent, qu'elles s'arrachent ma vertuuuu Des questions ? Pour mieux se connaitre Film(s) favori(s) : WAHOU, PREPAREZ VOUS: the perks of being a wallflower, rushmore, fantastic mr fox, me and earl and the dying girl, my own private idaho, dead poets socety, pulp fiction, reservoir dogs, the hateful eight, psycho, one flew over th cuckoo's nest, matrix, usual suspect, il buono il brutto il cattivo... Livre(s) favori(s) : la mère de gorki, wwz de The King Of The Handsom Bats brooks, les harry potter, la liste de schindler de keneally, le cycle de la fondation d'asimov (pas fini), le cycle de l'assassin de robin hobb (pas fini), dome de king, la ballade de lila k de blandine le callet, la mécanique du coeur de mathias malzieu.. Musique(s) favorite(s) : je vais plutôt donner des artistes parce que POUAH: twenty one pilots, stupeflip, odezenne, cage the elephant, sia, fauve, boulevard des airs, hozier, jamie t, catfish and the bottlemen... Plat(s) favori(s) : Les pistaches (ok c'est pas un plat), les légumes au curry, les pizzas végétaliennes et chèvre miel et les panna cotta. Série(s) favorite(s) : doctor who, teen wolf, the 100, american horror story, broadchurch, hemlock grove, misfits, true blood, orange is the new black, the originals. Le mot de la fin : PISTACHES
Dernière édition par Maelys Ivanov le Jeu 5 Mai - 15:32, édité 10 fois |
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