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 13/05/2025 — Donner un fusil à un schtroumpf
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Reiiko A. Jäger
Femme à tout faire & mascotte
Reiiko A. Jäger
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Re: 13/05/2025 — Donner un fusil à un schtroumpf   
Mer 2 Mar - 17:53

Après avoir dégoté la meilleure trouvaille de l’univers depuis que les épiceries de quartier ont fermé boutique et que des zombies traînent leurs pattes dans les rues, je m’approche des deux garçons pour leur hurler dans les tympans que la vie c’est cool avec Haribo. Haribo c’est BON la vie. J’entends la dernière phrase de Max. J’suis plutôt le genre de fille qui attirait l’attention avant (bon, ok, un peu encore maintenant), donc les phrases de lourde drague, je connais. Voir Max faire ça, ça me dévisse la mâchoire, quand il se marre, je comprends que c’était une blague, enfin j’espère très très très trèèèèèèèèèèèèèès fort.

Du coup, j’entame une danse de la joie, avec mes bonbecs ! Alors que je me lance dans le pas le plus complexe, un saut de biche réception j’me casse les chevilles, mon sauveur/partenaire/babysitter m’attrape par la peau du cou et me tire vers lui. Je pédale des pieds et des mains pour ne pas me casser la figure, j’évite de peu son pied et me stabilise dans une position d’une grâce incroyable. En plus, il me gronde. Je pince les lèvres en grondant.

« Ouais bah j’fais n’importe quoi mais j’viens de vous apprendre à rétamer un zombie et à nourrir la famille, la patrie et l’honneur. Nah. »

Je lance une mèche de mes cheveux bleus en arrière, façon princesse hautaine. Ils ne peuvent pas comprendre mon génie, je le sais. Je garde mes bonbons tout contre moi, en salivant d’avance. Comment ne pas avoir envie de les ouvrir maintenant et se bâfrer ? C’est la différence entre moi et Max. Lui, c’est un adulte, il se jette pas sur la nourriture. Alors que moi… j’ai juste envie de me rouler par terre pour avoir le droit d’en manger un… puis un autre… un autre encore… tous. J’ai envie de pleurer de bonheur, manger c’est toujours cool, encore plus quand c’est l’apocalypse et que trouver de la bouffe devient un véritable chemin de croix. Mais là… là… des bonbons. Je me sens REVIVRE !

Les garçons marchent devant, je joue les Rambo en m’imaginant surveillant leurs arrières, comme un héros. Bon, d’accord, j’ai juste envie de me faufiler entre eux pour écarter les deux garçons et attraper jalousement le bras de Max. Si le nouveau venu, Finley, est plus fort que moi, bah… ils ne voudront plus de moi, non ? Tant que j’ai les bonbons, je crois que je suis hors de danger. En fait, l’idée de bientôt manger du sucre me rend un peu plus hystérique que d’habitude, si cela est possible. J’ai envie de tacler un des garçons et de me barrer en courant. Mais comme Max et Henry me prennent déjà pour une gamine, il faut que je reste bien sage et que je me rende utile, en veillant aux arrières de Max pendant qu’il drague lourdement son nouveau pote. Je murmure tout bas « t’inquiète frangin, j’t’apprendrais l'art de la séduction». Et je ricane bêtement toute seule.

Aux abords du bungalow, je lance le sachet à Max et part farfouiller dans un bungalow que j’avais repéré les jours où je boude et que je quitte notre abri. Il y a des cadavres de bouteille un peu partout et je n’ai jamais osé rentrer. Mais là, le courage s’impose. Je crois que notre Team Fatale s’agrandit, nous les migrants de la mort, voguant sur des flots hasardeux. On est une fusion entre les Boat-People, Batman et un peu les Village People (pour ma dégaine). On est… les Bat-Peoples, yeah ! Erm…

La porte n’est pas fermée, matraque en avant, je me dirige dans le bungalow qui sent le renfermé, l’alcool et le clodo. Charmant. J’ai envie de vomir. Comme il ressemble au nôtre, je sais où trouver mes précieuses. Elles sont là, presque fraîches, d’une marque dégueu mais pas chère. Je souris. A vie, c’est beau, surtout avec de la 33 export. Il n’en reste qu’un pack mais ça ira ! Je les attrape rapidement, en essayant de ne pas en faire tomber et je galope vers mes amis.

« Eh ! Regardez ! Je ferme la porte d’un coup de pied, avec ça on a notre festin : les boissons ! »

Je souris comme une débile, comme si j’avais trouvé le vaccin contre les zonzon. C’est des bouteilles pratiques, pour ouvrir, il faut tourner. Je pose les autres bières à côté des bonbons et j’en décapsule une. Après une demi-bière, l’effet se fait ressentir. J’avais peut-être oublié que l’alcool et moi ça fait 36 (chandelles). Je commence à rire bêtement, mes fesses viennent de tomber dans une chaise. Ça tourne un peu. Je ne m’entends pas parler, mais je parle, ça c’est sûr. Je dis tout ce qui me vient à la tête. Ma famille, notre maison en banlieue, mon frère, Darry, Ben et puis encore mon frère qui est mort. Je leur dis combien je les aime, mais c’est un peu emmêlé et un peu haché par mes larmes. Je balbutie que j’aime bien Finley aussi, mais que les garçons vont me virer parce que je suis nulle. Je finis ma bière et j’en commence une autre en même temps. Je leur raconte comment j’ai rencontré un chanteur que j’aime bien et que je suis tombée dans un trou. Je raconte des trucs et je sais même pas si c’est vrai. Je crois que j’ai fini le pack et j’ai très envie de faire pipi. Mais ça ne se fait pas de faire pipi devant des gens alors pour tromper ma vessie je parle encore. Puis je titube un peu vers les toilettes. J’ai dû boire bière sur bière, je sais pas si les autres en ont eu, j’ai regardé la fond de ma bouteille tout le long de ma litanie. Je rigole encore un peu en tirant la chasse d’eau. Épuisée, je me couche en travers du couloir.
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Finley Haggerty
Finley Haggerty
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Re: 13/05/2025 — Donner un fusil à un schtroumpf   
Sam 26 Mar - 22:38
Un rire t'échappe à la réplique de M-a-x et toute appréhension te quitte ; un sourire naît sur ton visage. Tu t'apprêtes d'ailleurs à répliquer sur le même ton que lui quand Reii refait son apparition en sautillant autour de vous. Tu hausses les sourcils, confus, lorsque M-a-x te jette un coup d’œil plein d'incompréhension. Cependant, vous comprenez rapidement le fin de mot de l'histoire et tu trouves la jeune fille touchante dans sa manière de célébrer sa trouvaille.

M-a-x finit par la tirer vers lui et tu souris à nouveau. Ces deux-là semblent entretenir un lien assez solide et sincère. Ça renforce ton idée que tu prends la bonne décision en les suivant. Ton instinct te fait rarement défaut, après tout. Tu acceptes donc avec un enthousiasme non feint et la réplique de Reii t'arrache un léger rire – c'en devient contagieux, tous ces rires et sourires.

Tu emboîtes donc le pas à M-a-x sans hésitation. Tu pourrais repartir de ton côté si tu le souhaitais, tu le sais, mais tu ne le veux pas. Non, tu ne les connais que depuis peu de temps mais tu envies leur camaraderie facile et chaleureuse. Tu aimes le fait que ce genre de relation persiste dans le monde dans lequel vous vivez. Tout espoir n'est pas perdu, ils en sont la preuve.

Sur le chemin, M-a-x et toi entamez une discussion assez rapidement. Les questions attendues sont posées, tout comme d'autres qui le sont peut-être moins mais tu réponds à chacun du mieux que tu peux. Bien entendu, tu ne dis pas tout – tu n'as jamais été un grand bavard quant à ta vie privée – mais tu lui expliques que tu as quasiment vécu toute ta vie à Oakland, que tu as fait des études d'Anthropologie avant de devenir ethnologue et de parcourir un partie du globe. Tu précises aussi que tu as déménagé, durant les dernières années, à Washington mais que ta sœur participant à un essai clinique en début d'année tu es revenu en urgence dans le coin car tu étais sans nouvelle. Tu continues en racontant que tu as rejoint Oakland vers la mi-avril. Tu révèles également que tu as rencontré Ingvar une dizaine de jours plus tôt et que tu t'inquiètes pour lui, pour sa vie. Vous parlez aussi d'autres choses, tu ne te gênes d'ailleurs pas pour lui poser des questions à ton tour.

Reii reste en retrait pendant que vous discutez. Tu lui jettes deux ou trois coups d’œil et remarques qu'à chaque fois, elle tient le paquet de bonbons contre elle et semble à l’affût de ce qui se passe autour de vous. A chaque fois, cela t'arrache un sourire.

Lorsque vous arrivez au bungalow, la jeune femme s'empresse de jeter le paquet à M-a-x et s'éloigne sans aucune explication. Tu hausses les sourcils mais ça ne semble pas l'étonner. Tu le suis ensuite, fais la connaissance d'Henry et tu as l'occasion d'aller te coller sous la douche. Tu ne rechignes clairement pas. Tu ne t'es pas lavé depuis des semaines et tu dois sentir le fennec pour le nez des trois autres qui ont pu bénéficier d'eau depuis leur arrivée dans ce camp.
Tu ressors propre comme un sou neuf et c'est presque le paradis – tes critères sont bien moins exigeants depuis l'épidémie. Tu refais tes bandages puis tu voles de quoi te changer dans une valise qui traîne dans un coin, entrouverte, et dans une armoire. La sensation des vêtements propres sur ta peau est presque aphrodisiaque, tiens.

Lorsque tu reviens vers le groupe, tu ne ressens pas de réelle gêne de ton côté, comme si tu les connaissais depuis pas mal de temps. Juste une sensation de nouveauté qui ne te déstabilise pas vraiment et c'est plaisant. Tu prends la bière qu'on te tend avec un remerciement et tu glousses doucement aux paroles de Reii, qui semble déjà ressentir les effets de l'alcool. Pour ta part, tu as pris des cachets contre la douleur plus tôt mais tu bois quand même. Clairement, ça ne te tuera pas – puis, mieux vaut ça que les zombies.

La soirée se déroule tranquillement ; aucun zombie ne se profile à l'horizon. Tu participes aux conversations dès que tu en as l'occasion, tu apprécies le moment, oubliant momentanément tout ce qui ne va pas dans vos vies. La jeune femme parle beaucoup et finit par avouer qu'elle a peur que ses deux autres comparses se débarrassent d'elle si tu te joins au groupe. Ça n'a aucun sens, ça n'est pas comparable. Elle ne réalise pas que chacun d'entre eux semble tenir un rôle précis dans ce groupe. Quelques heures t'ont suffi pour comprendre ça. Leur groupe n'aurait clairement plus cet équilibre s'il l'un d'entre eux venait à disparaître. Tu essaies donc de la rassurer comme tu peux mais tu ne sais pas si c'est efficace ; les paroles de ses deux comparses auront clairement plus d'impact.

Tu finis par devoir aller aux toilettes et t'éclipses après t'être excusé. Tu fais tes affaires et réalises que tu peux à présent te laver les mains. Ce serait mentir que de dire que tu n'apprécies pas grandement la chose après toutes ces semaines passées à étaler les microbes et la crasse sur toi.
Sur le chemin du retour, ton regard se pose sur une étagère où trônent plusieurs livres. Tu en choisis un au hasard et tu ris tout seul quand tu lis le titre. Tu le feuillettes tout en retournant près des autres puis en te replaçant sur ta chaise. Tu bois une gorgée de bière avant de hausser les sourcils, confus. Tu relis une nouvelle fois le passage sous tes yeux mais décides que ton cerveau n'est pas apte à comprendre quoique ce soit ce soir.

Tu profite du trou dans la conversation pour prendre les autres à parti – oui, ce livre incompréhensible est ton adversaire dans ce face à face. « Sérieusement... La bière elle fait 30°C en vrai ou ce truc c'est de la branlette intellectuelle ? » Tu te redresses et commences à lire : « Il est évident que, même sans savoir qu'ils sont contradictoires, « être » ne peut signifier la même chose que « ne pas être » et si, à cela, nous ajoutions un sujet qui soit un, non pas qu’il puisse ne prédiquer qu’un seul individu – car il pourrait être un universel (comme l'homme prédique plusieurs individus) – mais bien qu’il ait une signification une et ne soit donc pas dans une situation d’homonymie, alors de ce fait apparaît que « l'homme est » et que « l'homme n'est pas » n'ont pas la même signification, mais, bien plus qu'une différence de significations, ces deux propositions sont contradictoires en vertu de la vérité supposée de la première proposition, c'est-à-dire l'affirmation, car dire vrai c'est dire uni ce qui est uni et séparé ce qui est séparé, en ce sens, dire faux c'est dire uni ce qui est séparé et dire séparé ce qui est uni ; donc il est évident que si « l'homme est » est une proposition vraie, « l'homme n'est pas » est nécessairement fausse car elle sépare ce qui est uni. »

Une fois le dernier mot de la citation prononcé, tu ne sourcilles pas, interdit, tant tu n'as pas compris où l'autre gonze voulait en venir...
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Maximilian Carlton
Chef incontestée psychorigide
Maximilian Carlton
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Re: 13/05/2025 — Donner un fusil à un schtroumpf   
Lun 4 Avr - 19:25
Donner un fusil à un Schtroumpf
13 mai 2025 ; Reiiko A. Jäger & Finley Haggerty & Maximilian Carlton


- Ouais bah j’fais n’importe quoi mais j’viens de vous apprendre à rétamer un zombie et à nourrir la famille, la patrie et l’honneur. Nah.

Le moins que l'on puisse dire c'est que Reiiko me surprendra surement encore souvent. Têtue et quelque peu lunatique la jeune fille venait de passer d'agressive à toute souriante en l'espace de quelques secondes à peine. Toutes les filles étaient-elles comme ça ? Combien de fois je m'étais retrouvé avec une nana me gueulant dessus sans même comprendre quels étaient mes tords... Une autre espèce, en somme, et de voir Reiiko comme cela ne faisait que renforcer mon idée quelque peu caricaturale et cliché.
Finalement, nous quittons la grande sans grand regret, je pense, laissant quelques cadavres en décomposition derrière nous. Alors que je marche devant en entamant la conversation avec Finley, Reiiko court derrière nous. En me retournant, je la surprend plusieurs fois les bras en l'air dans de drôles de postures théâtrales, tel un agent secret. Un haussement de sourcil, sans commentaire, même si elle ne se fait pas prier pour commenter mes... techniques de drague ? Je la regarde de travers, clairement peu sûr de l qualité de ses propres approches. Elle draguait comment, elle ? En agitant des Haribo et en effectuant des danses vaudous ? Je ne prends pas la peine de lui répondre, elle est déjà repartie gambader, de toutes manières.

Reiiko devant, Finley et moi abordons des questions bateaux. D'où venons nous ? Qui sommes nous, et tout le tralala habituel. Finley n'est pas du genre m'as-tu vu à se mettre en avant en déballant sa vie, mais il reste tout de même une personne agréable et affable. Il me raconte ses déménagements et l'histoire de sa soeur alors que je lui parle du cancer de ma mère et du peu de chance qu'elle ait survécu... Tout comme sa soeur. Je ne peux m'empêcher de sourire en coin parce que le monde est petit et qu'il n'y avait que très peu de possibilité de rencontrer un proche d'une autre patiente du même essai clinique que ma mère...
Mais je change rapidement de sujet, ne souhaitant pas enfoncer le clou. Lorsqu'il me parle de ce "Ingvar", là aussi je joue au pessimiste en lui disant que Oakland, c'est vraiment la OGNON ! en ce moment. Comme s'il ne le savait pas.

De file en aiguille, ils arrivent au bungalow ainsi qu'à la fin de leur sujet de conversation. Reii me balance son sachet de bonbon sans un avertissement ; je le rattrape gauchement, manquant de le flanquer par terre en la regardant gambader vers un bungalow voisin. J'échange à nouveau un regard incrédule avec Finley. Incroyable, cette nana.

- On va te présenter Henry, il doit être dans le bungalow.

Je ne savais pas trop quelle serait sa réaction, mais je comptais sur son flegme et sur la confiance qu'il semblait m'accorder. J'ouvre la porte du bungalow et le vois assit à la table occupé à nettoyer notre fusil à pompe. Je fais les présentations grossières puis Finley file à la douche. Henry en profite pour s'éclipser pour une mission ravitaillement, me donnant alors le monopole du commandement.
Je m'installe tranquillement sur l'une des chaises de la salle à manger me basculant e arrière, les mains derrière la tête en profitant du silence environnant. Je peux entendre l'eau couler dans la salle de bain lorsque Reii défonce à moitié la porte... un pack de bière sous le bras.

- Eh ! Regardez ! Avec ça on a notre festin : les boissons !

Je hausse un sourcil alors qu'elle pose bruyamment son "festin" sur la table, à coté des bonbons avant de l'ouvrir pour me moquer d'elle.

- C'est de ton âge, ça ?

D'un mouvement de tête, je désigne clairement l'alcool. Elle ne prend même pas la peine de me répondre et se décapsule une bière en se laissant tomber sur une chaise. Je souris et me sers à mon tour. On passe alors plusieurs minutes à se chamailler alors qu'elle descend sa bière plutôt vite, pour une gamine. Mon sourire s'élargit lorsque ses mouvements deviennent plus approximatifs et que sa langue se délit. Elle parle, elle raconte ; les mots coulent de sa bouche comme d'une fontaine cassée qui répand son liquide sur le bitume. Elle parle d'un certain Darry, de son frère, se met à pleurer et est à la fois exaspérante et adorable. Elle raconte certains évènements qu'elle avait déjà abordés et d'autres dont elle n'avait jamais parlé. Lorsque Finley nous rejoint en plein milieu de son monologue je lui tends une bière sans interrompre Reiiko. Je la console comme je peux en lui disant que, mais non elle n'est pas inutile et que même si Finley s'avère être le meilleur camarade du monde on ne la laissera pas tomber... Sauf si elle fait sa gamine. Bien sur, c'est une blague et je m'assure qu'elle le comprend bien. Finley aussi essaye de la rassurer et je me dis vraiment qu'il pourrait avoir sa place ici, parmi nous. Chacun enchaine les bières, vidant peu à peu le pack de 12 même pas entamé ramené par la jeune fille. En observant les bouteilles vident aligner devant nous, on peut compter les points. Reiiko 3 ; Finley 5 ; The King Of The Handsom Bats 4.
Et je me retrouve alors avec 2 alcoolo à gérer, mais cela me fait marrer parce qu'il se pourrait bien que moi aussi je ressente les effets de l'alcool sur mon corps et mon esprit tout de même affaibli. Avant, j'aurais pu m'enfiler un litre de bière en ayant à peine quelques bulles dans le cerveau. Aujourd'hui, plus rien n'était pareil. Finley part aux toilettes, puis finalement Reiiko lorsque le jeune homme revient avec un livre en main. Je sais que je ne vais pas trop tarder à y aller non plus lorsque j'aperçois Reiiko s'étaler dans le couloir, les bras en l'air.

Finley, lui, commence un monologue philosophique. Je l'écoute, le visage fermé, essayant de comprendre les palabres auxquelles je semble être... Totalement hermétique. Lorsqu'il finit sa lecture, je le regarde.

- Tu sais, déjà à l'époque la philo était un terrain obscure pour moi, alors là...

Ecoutez moi, on dirait un vieux papi parlant de sa jeunesse.

- J'pense qu'on devrait demander son avis au schtroumpf. HEY REIIKO !

Je hurle surement un peu fort, mais tant pis. Je me redresse, poussant ma chaise trop brutalement et marche un peu de travers jusqu'au couloir d'où dépasse une masse de cheveux bleus. Je me penche alors et lui attrape les poignets pour la tirer dans le salon.

- Faut que t'y ailles plus molo sur la bouffe, poulette, parce que tu pèses ton poids !

Bien sur, cela est encore une fois une blague. Elle ne devait déjà pas être bien grosse avant l'invasion des macchabées et cela ne s'est pas arrangé.
Debout dans le salon, tirant Reiiko autour de la table comme une vieille serpillère je ne pense même pas à la témérité de notre situation. Advienne que pourra !
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Reiiko A. Jäger
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Reiiko A. Jäger
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Re: 13/05/2025 — Donner un fusil à un schtroumpf   
Jeu 14 Avr - 10:36
« C’est de ton âge ça ? »

Pour toute réponse à ce gros bébé de Maxours, je lui tire la langue et me vautre très élégamment dans une chaise. J’aurais peut-être dû l’écouter étant donné que l’instant d’après je suis couchée face contre le lino froid du bungalow et j’apprécie grandement le contact frais contre mon visage brûlant. Ça tourne un peu et je sens un haut-le-cœur me saisir. Je crois qu’en allant faire pipi (ça urgeait), j’ai croisé Henry, ou Finley, ou un zombie pacifique. Il m’enjambe comme si de rien était, c’est assez déplaisant, en guise de vengeance, j’attrape sa jambe pour le faire tomber mais je griffe de l’air. Un rugissement m’échappe, à moins que ce ne soit un rot. Bravo pour l’élégance, Reii, avec ça c’est vrai que tu vas marquer des points. J’écoute vaguement ma proie qui s’est échappée vomir un tas de mots, un tas de phrases entrecoupées de plein de signes de ponctuation.

The King Of The Handsom Bats se lève comme un gros balrog… balourd bourré afin de demander à un schtroumpf afin d’éclairer leurs esprits étriqués face à cette grande philosophie martienne… marxienne. Sauf que forcément, le Schtroumpf ne pouvait être que moi, la fille avec les cheveux bleus. Quel humour The King Of The Handsom Bats, avec un tel sens du rire, c’est sûr que Fin va tomber dans tes bras, que dis-je ? Nu dans ton lit ! L’image, qui s’impose dans mon esprit malgré moi, provoque une grosse nausée. Mi-titubant, mi-marchant, ce très cher The King Of The Handsom Bats s’approche de moi, je le sens pas ce coup-là, non… vraiment pas.  

Il essaie de m’attraper les bras, sentant venir la bêtise j’entame mon mouvement ninja anti-viol anti-« je traîne ma pote par les bras quand je suis rond comme un ballon ». A deux doigts de crever un œil à The King Of The Handsom Bats, je décide de plutôt me laisser faire en geignant faiblement « j’ai envie de faire pipi… j’ai envie de faire pipi…. J’ai…. Envie… boarf ». Sa petite remarque me cingle. Je saute sur mes pieds en me positionne face aux garçons pour bien leur en mettre plein les yeux. Je pose mes mains sur mes hanches, le menton bien haut et je me cambre.

« Admire ça The King Of The Handsom Bats, t’en verra aucune de plus belle ! J’essaie de pointer mon doigt vers sa poitrine, au lieu de ça je touche son nez. J’suis trop bonne pour vous ! »

J’agite ma tête comme une reine pour bien leur signifier qu’ils ne pourront jamais trouver mieux que moi, et que ma présence parmi ces gueux est déjà un immense honneur que je leur fais. Non mais. J’attrape au vol le livre et lance à Fin : « File moi ça, le bleu… ahah, le bleu… », j’me trouve vachement drôle, mais pas le temps d’se gausser, les bébés ont besoin de sa magnificence moi. C’est simple comme bonjour, leur truc, j’dois leur montrer le chemin, ces pauvres brebis égarées. Je me dirige vers le couloir qui mène aux chambres, et me poste devant la première pièce : celle où The King Of The Handsom Bats a dézingué un vilain pas beau.

« Alors, les enfants. En ce moment je suis, bah ouais, chuis là ! Je rentre dans la pièce et hausse le ton : et là je suis plus, parce que je suis plus lààààààà ! »

Je ressors de la pièce super fière de moi et m’affale sur la chaise à côté de The King Of The Handsom Bats. Enfin, ça c’était le projet parce que je la loupe carrément et tombe sur le cul, ayant auparavant heurté la jambe de The King Of The Handsom Bats, manquant de peu de me vautrer sur lui. Clouée au sol par des vertiges, je ferme les yeux, à moitié endormie. Je crois que je bave un peu, tiens.
« C’est de ton âge ça ? »

Pour toute réponse à ce gros bébé de Maxours, je lui tire la langue et me vautre très élégamment dans une chaise. J’aurais peut-être dû l’écouter étant donné que l’instant d’après je suis couchée face contre le lino froid du bungalow et j’apprécie grandement le contact frais contre mon visage brûlant. Ça tourne un peu et je sens un haut-le-cœur me saisir. Je crois qu’en allant faire pipi (ça urgeait), j’ai croisé Henry, ou Finley, ou un zombie pacifique. Il m’enjambe comme si de rien était, c’est assez déplaisant, en guise de vengeance, j’attrape sa jambe pour le faire tomber mais je griffe de l’air. Un rugissement m’échappe, à moins que ce ne soit un rot. Bravo pour l’élégance, Reii, avec ça c’est vrai que tu vas marquer des points. J’écoute vaguement ma proie qui s’est échappée vomir un tas de mots, un tas de phrases entrecoupées de plein de signes de ponctuation.

The King Of The Handsom Bats se lève comme un gros balrog… balourd bourré afin de demander à un schtroumpf afin d’éclairer leurs esprits étriqués face à cette grande philosophie martienne… marxienne. Sauf que forcément, le Schtroumpf ne pouvait être que moi, la fille avec les cheveux bleus. Quel humour The King Of The Handsom Bats, avec un tel sens du rire, c’est sûr que Fin va tomber dans tes bras, que dis-je ? Nu dans ton lit ! L’image, qui s’impose dans mon esprit malgré moi, provoque une grosse nausée. Mi-titubant, mi-marchant, ce très cher The King Of The Handsom Bats s’approche de moi, je le sens pas ce coup-là, non… vraiment pas.  

Il essaie de m’attraper les bras, sentant venir la bêtise j’entame mon mouvement ninja anti-viol anti-« je traîne ma pote par les bras quand je suis rond comme un ballon ». A deux doigts de crever un œil à The King Of The Handsom Bats, je décide de plutôt me laisser faire en geignant faiblement « j’ai envie de faire pipi… j’ai envie de faire pipi…. J’ai…. Envie… boarf ». Sa petite remarque me cingle. Je saute sur mes pieds en me positionne face aux garçons pour bien leur en mettre plein les yeux. Je pose mes mains sur mes hanches, le menton bien haut et je me cambre.

« Admire ça The King Of The Handsom Bats, t’en verra aucune de plus belle ! J’essaie de pointer mon doigt vers sa poitrine, au lieu de ça je touche son nez. J’suis trop bonne pour vous ! »

J’agite ma tête comme une reine pour bien leur signifier qu’ils ne pourront jamais trouver mieux que moi, et que ma présence parmi ces gueux est déjà un immense honneur que je leur fais. Non mais. J’attrape au vol le livre et lance à Fin : « File moi ça, le bleu… ahah, le bleu… », j’me trouve vachement drôle, mais pas le temps d’se gausser, les bébés ont besoin de sa magnificence moi. C’est simple comme bonjour, leur truc, j’dois leur montrer le chemin, ces pauvres brebis égarées. Je me dirige vers le couloir qui mène aux chambres, et me poste devant la première pièce : celle où The King Of The Handsom Bats a dézingué un vilain pas beau.

« Alors, les enfants. En ce moment je suis, bah ouais, chuis là ! Je rentre dans la pièce et hausse le ton : et là je suis plus, parce que je suis plus lààààààà ! »

Je ressors de la pièce super fière de moi et m’affale sur la chaise à côté de The King Of The Handsom Bats. Enfin, ça c’était le projet parce que je la loupe carrément et tombe sur le cul, ayant auparavant heurté la jambe de The King Of The Handsom Bats, manquant de peu de me vautrer sur lui. Clouée au sol par des vertiges, je ferme les yeux, à moitié endormie. Je crois que je bave un peu, tiens.
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Re: 13/05/2025 — Donner un fusil à un schtroumpf   
Lun 18 Avr - 1:18
M-a-x est aussi paumé que toi, semble-t-il. Il demande à Reii (de son doux prénom Reiiko, comme tu l'as appris dans la soirée) ce qu'elle en pense et c'est à ce moment-là que tu constates qu'elle est étalée au sol en train de... tu ne sais pas. En réalité, tu es passé à côté d'elle tout à l'heure, sans t'en rendre compte. Tu étais absorbé par le livre et seul ton inconscient a eu la présence d'esprit de te faire lever la jambe un peu plus pour éviter le truc bleu qui était par terre, quel qu'il soit.

L'autre homme va donc la chercher et la tire sur le sol jusqu'aux chaises, t'arrachant un rire au passage. Étrangement, elle ne réagit qu'à la remarque sur son poids. Tu ne sais pas trop ce qu'elle cherche à faire par la suite mais tu suis la scène, amusé, en sirotant ta bière – tu ne sais plus à combien tu en es mais ça commence à te monter à la tête, à vrai dire. 

Reii t'arrache le livre des mains et tu manques de lâcher ta bière sous la surprise. Tu te réinstalles correctement sur ta chaise et tu écoutes la suite de ses paroles, intrigué par ce qu'elle pourrait avoir compris à tout ce charabia. Sauf que, dans un premier temps, elle s'éloigne et va se poster devant l'une des pièces, dans le couloir. Tu fronces les sourcils perdus. Elle passe à son explication et... tu es toujours aussi perdu. Tu ne commentes pas alors qu'elle revient (tenter) de s'asseoir et finit par terre, comme il y a à peine une minute.  

« Je suis pas certain que ça soit aussi simple que ça, Reii... » Tu regardes à nouveau le couloir, pensif, mais, non. Tu ne saisis toujours pas, si c'est vraiment ça. Tu la regardes à nouveau et tu vois un filet de bave couler au coin de ses lèvres. Tu glousses en te redressant sur ton siège. Tu continues ensuite, plus pour M-a-x qu'autre chose, par la force des choses. « Elle est toujours montée sur un ressort comme ça ? » Tu ris doucement à nouveau et prends une nouvelle gorgée.


Dernière édition par Finley Haggerty le Mer 1 Juin - 19:42, édité 1 fois
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Re: 13/05/2025 — Donner un fusil à un schtroumpf   
Mer 20 Avr - 21:55
Donner un fusil à un Schtroumpf
13 mai 2025 ; Reiiko A. Jäger & Finley Haggerty & Maximilian Carlton


- Ouais bah j’fais n’importe quoi mais j’viens de vous apprendre à rétamer un zombie et à nourrir la famille, la patrie et l’honneur. Nah.


Je suis les évènements sans trop me rendre compte du ridicule de la situation. Du point de vue d'une personne sobre, tout ce cirque doit lui paraitre bien fou. Bien que joyeux avec une certaine envie de chanter des chansons paillardes, je reste conscient de la situation, des évènements et un rire gras me monte à la gorge avant de se déployer dans l'air ambiant. Je crois que je me sens bien, sans savoir si c'est à cause de l'alcool ou de tout autre chose... Peut-être simplement d'être entouré de personnes sympathiques ou peut-être aussi cette situation normale, appartenant à un autre temps.
Mes pensées s'embrouillent et je me rend bien compte que mes mouvements sont plus approximatifs, plus lourds, plus erratiques. Alors, quand Reii s'en va, hurle dans une autre pièce puis revient, sûre d'elle, j'échange un regard avec Fin avant d'exploser de rire en me tordant sur le canapé. Alors que moi j'explose, fin reste dubitatif.

- Je suis pas certain que ça soit aussi simple que ça, Reii...
- Moi je lui donne un 20/20 direct !

... Dis-je avant de me marrer encore un peu. J'ai rien compris au blabla de Fin et j'ai rien compris à ce que vient de dire Reii. A vrai dire, je n'ai même pas saisi le rapport... Peut-être bien que je suis fichtrement con, mais je m'en fiche, surtout maintenant.
Reiiko finit par reparaitre en zigzagant jusque nous. Elle tente de s'assoir et... Se vautre magistralement. Alors qu'elle loupe la chaise et heurte ma jambe un nouvel éclat de rire sort de ma bouche pour se répercuter dans la pièce. Les bras autour du ventre je tangue et je pleure tant la scène est comique. Mon épaule heurte celle de Fin alors que je continue de pleurer à m'en couper le souffle. Réussissant peu à peu à me calmer, je prend tout de même le temps de vérifier qu'elle n'est pas totalement KO. Essuyant la base au coin de sa bouche avec sa propre chemise je souffle un coup avant de me lever et de la soulever le plus délicatement possible pour le mec bourré que je suis. J'effectue trois pas, l'allonge sur le canapé en face en manquant de lui tomber dessus, mon front s'enfonçant dans les rembourrages du dossier du canapé.
Je finis de dégager mes bras alors qu'un ronflement s'élève de la gamine. Je souris, presque attendri par ce monstre alors que je me laisse tomber à ma place, à côté de Finn.

- Elle est toujours montée sur un ressort comme ça ?
- Laisse tomber. Si c'est pas les morts au dehors qui nous tuent, c'est elle qui finira par avoir notre peau.

... Et je ne suis pas loin de le penser. Je m'installe tranquillement, avançant mes fesses près du bord et posant ma tête sur le dossier, contre le mur.
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Re: 13/05/2025 — Donner un fusil à un schtroumpf   
Mer 1 Juin - 20:47
Tu ris à nouveau à la réplique et fixes un instant la jeune fille en train de dormir à poings fermés. Elle semble avoir été relativement épargnée par l'apocalypse. Tu te doutes qu'elle a dû vivre son lot de choses traumatisantes, comme chacun d'entre vous, mais tu admires le fait qu'elle ait réussi à garder son innocence et ses humeurs enfantines. En prenant du recul, tu réalises que tu es devenu plus ou moins taciturne. Tu ne t'es pas renfermé totalement sur toi-même pour la simple et bonne raison que, ces derniers temps, tu as croisé des survivants à qui tu as pu faire confiance. Tu espères que ce sera la même chose pour Maximilian, Reii et Henry.
Tu aimerais vraiment ne plus être seul, pouvoir faire pleinement confiance à quelqu'un. A part Sasha, on ne peut dire qu'il y ait eu foule ces dernières années.

Quoiqu'il en soit, tu discutes encore quelque temps avec ton nouveau compagnon avant que le moment soit venu d'aller récupérer un peu de force et, honnêtement, ça ne te ferait pas de mal. L'alcool sert d'anesthésiant, mais tu sais que, demain matin, tu vas douiller sévère ; tu n'as pas hâte d'y être. Tu en viens d'ailleurs à demander à M.a.x où tu pourrais prendre un peu de repos et tu le laisses te guider et tout t'expliquer.

Après lui avoir dit bonne nuit, tu l'interpelles pour attirer son attention et déglutis rapidement. « Merci. » Tu le fixes intensément pour bien faire passer le message. « Merci pour… » Tu tentes de rassembler ta pensée mais l'alcool, la fatigue n'aidant pas, tu échoues à trouver les mots qui transmettraient la gratitude réelle que tu ressens envers lui. Pour t'avoir sauvé, avec Reii. Pour son accueil chaleureux. Pour cette soirée presque normale avec eux. Tu fais un geste de la main vague pour expliquer que tu englobes tout : les événements, la journée, ce lieu, lui, eux. « Pour tout. » Un sourire en coin léger apparaît sur ton visage, malgré ta gêne.
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Re: 13/05/2025 — Donner un fusil à un schtroumpf   
Mer 8 Juin - 21:08
Donner un fusil à un Schtroumpf
13 mai 2025 ; Reiiko A. Jäger & Finley Haggerty & Maximilian Carlton


On continue notre discussion sur fond de ronflements sonores. Demain, si je m'en souviens je ne manquerai pas de la vanner avec ça, pour toutes les fois où elle a râler parce que soit disant on lui ronflait en stéréo avec Henry dans les oreilles. Mpf, quelle menteuse, c'est bien elle le dinosaure aux ronflements de castafiore ici !
La discussion finit par se tarir et chacun sent l'alcool retomber et la journée refaire surface. Pauvre Fin qui a surement du courir sur des kilomètres avant de tomber sur nous...

Finalement, je me lève et l'entraine pour lui montrer la chambre où a dormi Reiiko les autres jours. Elle dormira sur le canapé, moins de chance que ses ronflements arrivent à nous réveiller... Alors que je m’apprête à refermer la porte de la chambre derrière moi, une couverture sous le bras pour le schtroumpf, Finley me retient avec quelques mots. Un simple merci, répété, sincère. Je lui offre mon sourire le plus chaleureux.

- T'as plus qu'à nous sauver et on sera quitte ! Ca devrait arriver vite avec Reii, t'inquiètes.

Je lui fais un dernier sourire avant de refermer la porte derrière moi et d'aller prendre le premier tour de garde.
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