Prénom : Bailey comme l'alcool mais le S en moins, Henrik est le prénom de son grand-père. Nom : Lloyd, il porte le nom de son père. Surnom : Riki à cause de son second prénom. Sexe : Masculin et ça se voit.

Taille : 1m72 Poids : 70kg Âge & DOB : 16 ans, un certain 6 Juin Nationalité : Anglais par son père et Américain par sa mère.

Métier / Etudes : Lycéen Orientation sexuelle : Hétérosexuel  Statut social : Célibataire Ambition : Astronaute : quand il avait 5 ans. Devenir le maître du monde : il n’y a pas si longtemps. Se taper Kim Kardashian : impossible, elle doit être morte maintenant. Survivre : c’est presque plus réalisable que ses autres rêves d’avenir.

Bailey est un adolescent difficile, c'est le moins que l'on puisse dire. Pour ne pas être piqué à vif, il s'est brodé une carapace désagréable. Il a tendance à mal répondre, que ce soit à ses professeurs ou à ses parents. Il a mauvais caractère, même s'il ne s'énerve pas facilement. Il a la bâche facile et ne supporte pas la critique. Il peut parfois être bagarreur, surtout quand ça touche à son père. C'est vrai que le paternel a un humour tout pourri et le fiston n'aime pas vraiment que les autres puissent se moquer de lui. Toutes les fois où il s'est battu, c'est pour cette raison, même s'il n'a pas trouvé bon de le dire, préférant se faire punir que d'avoir à l'avouer. Parce qu'il est protecteur avec les personnes qui lui sont chères et n'aiment pas les voir avoir mal.

Bailey n'est pas non plus un tendre, il a du mal à vraiment dire les choses importantes. Il a même tendance à montrer son attachement avec des gestes sûrement maladroits, plutôt que par la parole. Il est têtu, prétentieux et mais manque cruellement de confiance en lui, bien qu'il s'évertue à faire croire le contraire. Avant l'épidémie, il était tombé dans l'engrenage de la drogue et s'est retrouvé pendant quelques mois en désintoxication. Cette partie de son existence a fait ressortir certains traits de son caractère ou en dévoiler de nouveau. Il mentait assez souvent et volait aussi pour se procurer ses produits. Quitte même à voler ses propres parents. Il a toujours tenté de dépasser les limites, en espérant que son père se montre plus sévère avec lui, afin de le remettre dans le droit chemin.

Il est pessimiste et voit toujours le verre à moitié vide, plutôt qu'à moitié plein. Il s'est mis dans la tête que son père était mort, pour éviter de souffrir si un jour il devait le croiser en zombie. Mais dans le fond, ce n'est pas un monstre et il se ment à lui-même. Bailey est également calculateur et manipulateur. C'est un sportif, parfois lunatique, mais une chose est certaine, c'est que même s'il est égoïste et salement possessif, il aime énormément son père et c'est ce qui l'a toujours aidé à tenir. Peut-être même encore à l'heure d'aujourd'hui. 


Jeune garçon d’un mètre soixante-douze, Bailey pèse environ soixante-dix kilos. De gabarit, c’est un adolescent plutôt bien musclé, aimant le sport en général et la musculation en particulier. D’un premier coup d’oeil, il est parfaitement possible de voir qu’il s’agit d’un mec. Il ne fait pas partie de ces androgynes à qui l’on balance un « monsieur, dame » pour ne pas avoir l’air bête. Et ce n’est pas le poil au menton qui ira dire le contraire. Parce que le gosse, il commence déjà à en avoir. Même s’il n’a pas pour ambition d’être aussi poilu que son cher père, il n’est pas en reste.

On peut rajouter également, que c’est un beau garçon. Ses traits sont parfaitement bien dessinés et ses cheveux châtains font clairement ressortir le bleu de ses yeux. D’ailleurs, sa coupe de cheveux pourrait faire un parfait sujet de thèse. Comment parvient-il à les faire tenir ? Il a ce côté cheveux en vrac qui plait tant aux filles. Mais si d’ordinaire les garçons le font exprès, chez lui c’est naturel et ça l’arrange, parce qu’il ne compte pas passer des heures à se coiffer tous les matins, avec des zombies au cul.

Si ses yeux sont un véritable piège à filles, Bailey sait aussi en jouer d’une autre façon. Son regard azur couplé à une bouille de chiot battu et il parvient pratiquement tout le temps à faire céder son père. Pratiquement… il y a des fois où quoiqu’il fasse ça ne fonctionne pas. Ce petit con a été assez gâté par la nature faut dire, parce qu’il a en plus un sourire ravageur.

Son côté sportif l’aide énormément à être endurant, quand faut courir pour échapper aux cadavres qui ont la dalle. Il a d’ailleurs déjà de belles tablettes de chocolat à en faire frémir plus d’une demoiselle.


Bailey est un garçon endurant de part son grand côté sportif. Mais aussi de par son caractère de merde, c’est un bon combattant, puisqu’il a toujours été bagarreur à ses heures.

Il a pratiqué le tir à la carabine dans un club, pendant pratiquement sept ans. Il sait parfaitement bien visé, mais ce n’est pas pour autant qu’il ne lui arrive pas de louper une cible.

C’est un touche-à-tout également. Il arrive toujours à se démerder avec pratiquement rien. Il a apprit la mécanique avec son grand frère et se trouve être plus manuel qu’intellectuel.

Par contre, pour la bouffe ne comptait pas sur lui, son père se souvient peut-être encore de l’omelette à la coquille. Ce n’est pas faute de lui avoir expliqué qu’il devait casser les oeufs. Et même si son Prof de père lui avait dit ça comme une boutade, finalement… Le fiston a bien cassé les oeufs, mais dans la poêle.

Avant l'épidémie Tout comme son petit frère Brett, Bailey a vu le jour à Oakland un certain sixième jour du mois de Juin. Sa mère était infirmière et son père, un grand Professeur de Français à l’Université. Sa vie n’a pas été un conte de fée. Détrompez-vous, ce n’est pas un gosse battu et son père n’avait rien d’un alcoolique violent. Il n’entre pas dans le cliché de l’ado difficile à cause de ses souffrances physiques de gamins. Non, il dira même lui-même l’inverse. Son père s’est toujours montré un peu trop gentil à son égard. Quand il prenait des baffes, ça venait de sa mère, jamais du paternel. Encore heureux, parce que vue la taille de ses mains, la douleur aurait été bien pire. Mais ce qui l’a détruit, c’est la séparation de ses parents. Son père partant vivre avec une autre et lui faisant directement un enfant. Bailey l’a tellement mal vécu, qu’il a prit ça pour un abandon. Lors des visites chez son père, il n’était pas rare qu’il se montre désagréable et même insolent envers la nouvelle femme de ce dernier. Il ne lui obéissait pas, lui rappelant sans cesse qu’elle n’avait rien à lui dire, n’étant pas sa mère. Mais encore là, lorsqu’il frôlait la limite du raisonnable, personne ne savait le recadré. Sa mère s’est mise en tête de le faire suivre une thérapie, un véritable échec. Puis vint le collège et ensuite le lycée. Accumulant les sports pour le canaliser, rien ne semblait fonctionner avec lui. Si bien, qu’il est tombé dans l’engrenage de la drogue. Il découchait même lorsque le lendemain, il avait cours. Il mentait à tout va et volait même de l’argent à son père, mais aussi à sa mère, pour financer ses produites illicites. Son boulot à l’école ne valait rien. Il ne foutait plus rien en cours. Pour le peu qu’il y était présent d’ailleurs. Tout ce qu’il voulait, c’était attiré l’attention sur lui afin de se sentir exister et important aux yeux de ses parents. Mais il n’a fait que détruire davantage sa propre famille. Lorsqu’il a été ramené par la police au domicile de sa mère, pour avoir volé dans un magasin, les disputes ont fusé entre les ex-concubins. Puis, il y a eu l’overdose qui a manqué de le laisser sur le carreau. A l’hôpital, il y est resté pendant quelques jours, mais là encore, les disputes se faisaient nombreuses. Son père, au bon coeur, voulait le prendre chez lui, malgré le décès de sa femme, pour l’aider à aller mieux. Plein de bonnes résolutions pour le bien de son fils. Mais son ex ne voyait pas les choses de cette façon. Elle l’accusait d’être trop laxiste et d’être plus un pote qu’un père, préférant envoyer le fiston en cure de désintoxication. Il y est resté pendant longtemps sans possibilité de voir sa famille, avant d’être autorisé à rejoindre son domicile les week-ends. Tantôt chez son père, tantôt chez sa mère. Il aurait pu aller mieux….

Après l'épidémie Mais tout est devenu bizarre. Il y a eu ce truc à l’hôpital, avec des gens en quarantaine. Etant loin de chez lui, il n’était pas bien au courant de ce qu’il pouvait se passer. On peut juste dire qu’il est tombé en plein dedans, sans rien avoir demandé. Ni même sans rien avoir vu venir. C’est lors d’un week-end passé chez sa mère, alors qu’il s’était barré dans le jardin pour fumer un joint, qu’il a entendu des cris émanant de la maison. Il est monté directement à l’étage, trouvant son frère en état de choc. Et pour cause, sa mère était en train de dévorer les entrailles de leur beau-père. Malgré la drogue dans son organisme - parce qu’il n’a jamais réellement arrêté -, il a eu la présence d’esprit d’attraper Brett par le bras, pour l’entrainer avec lui. Prenant le plus d’affaires et de nourritures possibles, ils ont fuit. Tout d’abord chez des voisins, puis ensuite au hasard de leurs pas, alors que la ville commençait à être gangrénée par l’épidémie. Une minorité de zombies s’est vite transformée en une majorité. A présent, les survivants sont en sous nombre. Bailey se trouve comme s’il était prisonnier de sa propre existence. D’un côté, le besoin d’insuline de son petit frère, pour ne pas mourir. De l’autre, son propre besoin en drogue. Et avec tout ça, il serait peut-être bien de croiser le papa. Sauf que… sauf que s’il venait à être avec eux, c’est forcé qu’il découvrirait le poteau rose concernant la dépendance toujours d’actualité de son cher fiston. Mais plus le temps passe et moins Bailey y croit. Pessimiste jusqu’au bout, il désespère de revoir un jour, les membres de sa famille. En compagnie de Brett, il a bien tenté de rejoindre le domicile de Jaden, mais avec tous les barrages et les hordes de rôdeurs, ils sont ralentis et le chemin se trouve être beaucoup plus difficile à réaliser.

Groupe souhaité : Les Solitaires pour le moment, parce qu'il n'a croisé personne de vivant dernièrement.
Rôle dans le groupe : C'est un duo, mais c'est lui qui commande, parce que c'est le plus âgé mais aussi le plus teigneux des deux.
Opinion du groupe: Il est un peu petit ce groupe. Et Bailey ne se sent pas de prendre toutes les décisions, surtout lorsqu'il se trouve complètement en manque. Il aimerait bien pouvoir se reposer sur quelqu'un lui aussi.
Autres groupes: Il ne sait même pas qu'ils existent.

Prénom : Nono
Age / DOB : 19 ans / 7 Décembre
Sexe : Fille
Pays : France
Skype : Je ne l'utilise plus, je sais pas si le compte est toujours ouvert
Fréquence de connexions : Aussi souvent que je le peux
Où as-tu connu le forum ? : Par Wolfgang
Quelles sont tes attentes vis-à-vis de Tyran-Land ? Retrouver mon père, être validé avoir plein de Keupins pour RP.
Des questions ? Pas pour l'instant

Film(s) favori(s) : Les pirates des caraïbes
Livre(s) favori(s) : Je ne sais pas lire.
Musique(s) favorite(s) : Bullet For My Valentine, System Of A Down, A7X, Metallica, Pantera
Plat(s) favori(s) : Lasagne bolo plein de bolo
Série(s) favorite(s) : TWD bien sûr
Le mot de la fin : Merci d'avoir été si patient avec moi